Le jeudi 22 août, les prêtres en “service d’été” dans les paroisses du diocèse de Saint-Brieuc ont été reçus à la Maison diocésaine Saint-Yves par Mgr Denis Moutel, le Père Hervé Le Vézouët, vicaire général (c’est le blanc au fond), et Sœur Véronique Bonnevie, déléguée épiscopale à la Mission Universelle (sic), "pour un temps d’échanges et de présentation".
Commentaires
Merci beaucoup pour cette photo
On dirait une parodie !
Plus besoin des inconnus la réalité dépasse la fiction.
Cela dit respectons ces prêtres venus de loin et font certains sont brillants.
Attention aux mauvaises habitudes du clergé africain, je doute qu'elles les aient quitté en passant la frontière.
Ah oui ? Quelles mauvaises habitudes ?
Les nôtres, du moins certains d’entre eux, en ont aussi du côté bas…
"Dans mon pays, on s'assoie à l'évangile, alors asseyez-vous."
Si les woulou-woulou à la messe vous amuse, moi pas.
Je ne cherche à rien éluder, mais prenez la peine de vous informer, car vous ne me croiriez probablement pas, auprès de prêtres ayant longtemps pratiqué en Afrique.
La culture est ce qu'elle est et en devenant prêtre, et probablement de bons prêtres en dehors de ces travers, pour ceux qui sont concernés bien sûr certainement pas tous, mais on ne quitte pas sa culture, sa société et ses moeurs parce qu'on change de continent.
C'est juste une réflexion que la piété et les valeurs morales des prêtres africains peuvent être accompagnées de défauts qu'ils ont amenés dans leur valise.
Mais renseignez vous auprès de clercs ayant côtoyés ce clergé chez lui pour savoir ce qu'il en est.
Le dernier a m'en avoir parlé est un religieux français qui parlait même d'un monastère africain. Je doute qu'il aie voulu calomnier ou répandre des rumeurs et a confirmé ce que j'avais entendu par ailleurs, même si on n'aime pas parler de ça.
Chez nous, les prêtres débauchés ou déviants sont clairement en dehors des règles de comportement dans l'Eglise, y compris pour les fidèles, mais le célibat consacré, et même la continence sexuelle, n'est pas vu de la même façon dans toutes les cultures, sans parler du devoir d'aider matériellement sa famille et sa parenté quand on est dans une fonction considérée comme une réussite sociale.
Cela n'excuse personne, les problèmes y sont différents selon les cultures.
Quand je dis que le grand remplacement au sein de l'Eglise me fatigue, je me fais traiter de raciste.
Pendant ce temps, nos prêtres traditionnels partent en Afrique car les évêques n'en veulent pas en France.
On marche sur la tête...
La nature y compris religieuse a horreur du vide.
Comme tout est fait pour vider séminaires et noviciats, en allant chercher des clercs africains, qui manqueront de fait à leurs pays, il faut donc intégrer leur vision du monde à notre société.
Je préfère un prêtre africain spirituel et dévoué à l'Eglise et ses fidèles qu'un prêtre français animateur pastoral vaguement concerné par le salut des âmes. En confession, ce sont parfois les plus exigeants et pédagogues quand on compare à d'autres prêtres conciliaires, même si je n'aime pas ce terme.
Comme pour la société, avant le grand remplacement il y a l'instinct de mort de notre civilisation qui l'a permis. Que ce soit le païen Le Gallou ou le pédéraste Camus, leur usage de ce terme élude que sans catholicisme, notre civilisation revient à la barbarie antique, génie grec ou pas.
L'Eglise catholique du remplacement...