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Sommet de l'OTAN : quelques citations

Le président des Etats-Unis à la tribune, flanqué de Zelensky :

“Now I want to hand it over to the President of Ukraine, who has as much courage as he has determination, ladies and gentlemen, President Putin.”

« Je passe la parole au président de l'Ukraine, qui a autant de courage que de détermination - mesdames et messieurs, le président Poutine. »

Le même Joe Biden, en réponse à un journaliste qui lui demande s’il a pleine confiance en Kamala Harris :

”I wouldn't have chosen Vice President Trump to be the vice president if she wasn't qualified to be the president.”

« Je n’aurais pas choisi le vice-président Trump pour être vice-président si elle n’était pas qualifiée pour être le président. »

Le même Joe Biden, remettant des décorations (oui c’était également hier dans le cadre des festivités de l’Otan) et lisant à voix haute sur le prompteur une phrase destinée à lui dire ce qu’il doit faire :

“I am pleased to present you with the highest civilian award of the United States. Presidential Medal of Freedom. Ask the military man to come out.”

« J'ai le plaisir de vous remettre la plus haute distinction civile des États-Unis. La médaille présidentielle de la liberté. Demandez au militaire de sortir des rangs. »

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Geert Wilders : le président Poutine rencontre le vice-président Trump.

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Josep Borrell, demandant une « armée » qui surveille internet et « reprogramme » les dissidents idéologiques :

“In Africa, people support Putin. They say: Putin saved Donbass, now he will come in Africa and will save it too. What intellectual processes stand behind such attitude? I can’t imagine what kind of work was done on their heads. We need a different army. We need people watching the network and people explaining what is going on, reprogramming the listeners, giving them correct information, in order to prevent an intervention in electoral processes. We don't need to drop bombs or deploy tanks; we need to disseminate news and occupy cyberspace. The EU is very active in this area.”

« En Afrique, les gens soutiennent Poutine. Ils disent : Poutine a sauvé le Donbass, maintenant il va venir en Afrique et la sauvera aussi. Quels sont les processus intellectuels qui sous-tendent une telle attitude ? Je ne peux pas imaginer quel genre de travail a été fait dans leur tête. Nous avons besoin d'une armée différente. Nous avons besoin de gens qui surveillent internet et qui expliquent ce qui se passe, qui reprogramment les auditeurs, qui leur donnent des informations correctes, afin d'empêcher une intervention dans les processus électoraux. Nous n'avons pas besoin de larguer des bombes ou de déployer des chars ; nous devons diffuser des informations et occuper le cyberespace. L'UE est très active dans ce domaine. »

*

Et puisque c'est le 75e anniversaire de l'OTAN, un petit rappel de ceux qui sont passés directement de l'Allemagne nazie à la direction de l'organisation atlantiste.

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Le premier est Adolf Heusinger. C'est lui que l'on voit ici, le premier à gauche, avec l'autre Adolf. Selon son hagiographie officielle, il était favorable à l'attentat contre Hitler. Outre le fait que rien ne le prouve, sa présence à côté du Führer au moment de l'attentat semble prouver le contraire...

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Commentaires

  • Et Walter Hallstein, premier président de la Commission européenne. La dénazification n'a jamais eu lieu. Ferdinand Porsche n'a jamais été jugé ni inquiété en Allemagne.

  • Pour ce qui est de Biden, tout le monde savait déjà il y a cinq ans qu'il était complètement ramolli et en outre que les mamans invitées à ses meetings avaient intérêt à serrer leur progéniture féminine de près car il n'hésitait pas à susurrer des mots doux à des gosses de six ans en leur faisant des bisous dans le cou. On devait savoir à peu près tout aussi des frasques de l'immonde Hunter (cigarettes de crack, whisky, cocaïne, détournements de fonds et petites pépées non consentantes).
    Ce qui est vraiment dégueu, aujourd'hui que l'Etat profond est déterminé à sortir ce débris cacochyme, c'est l'hypocrisie de la presse du monde entier qui "découvre" que, tiens, il n'est vraiment pas bien, le pauvre homme... On peut en dire autant des acteurs et actrices-"sandwichs" hollywoodiens du PD, comme George Clooney, qui affectent de prendre tout à coup la mesure d'un problème dont tous les Amerloques un tantinet informés sont parfaitement conscients depuis quatre ans. De surcroît, jamais ils n'ont élu ce type, c'est documenté !
    Pire que l'hypocrisie, il y a la bonne conscience : "Ah, vous voyez, on en parle, on est une presse "libre"..." Ben voyons, après cinq ans de mensonges !
    Le seul candidat démocrate crédible serait Robert Kennedy Jr, qu'on verrait plutôt comme vice-président de Trump. Il a le lourd défaut d'être favorable à l'avortement. Mais à part lui quel clown ou clownesse ou clown trans vont-ils dénicher pour rendre crédible un bidouillage électoral dans le style de celui de 2020 ? Si Trump est battu à la triche par une Michele Obama, ils vont à la guerre civile.

  • Entre Joe BIDEN et Emmanuel MACRON , lequel est le plus fou ? Relisez cette note datée du lendemain de l'élection , le 8 mai 2017 : https://reseauinternational.net/avons-nous-elu-un-fou/

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