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Pilotes

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Commentaires

  • C'est vrai que les cours d'atterrissage seront assurés... par les Russes.
    C'est déjà une économie !

  • Cela fait penser aux terroristes du 11 septembre.
    Ils viennent apprendre à piloter aux USA, mais ne sont pas intéressés par ce qui concerne l'atterrissage. Pas une tête d'oeuf pour avoir l'ombre du commencement d'un sentiment de doute. Je persiste à penser que ça sent un peu la merde cette histoire.
    Là disons, si on croit ce qu'elle dit car elle est partisane, c'est plus franc. Les instructeurs savent pertinemment qu'ils ont une espérance de vie similaire à celle des kamikaze japonais. Ils sont pressés de les envoyer se faire transformer en chaleur et lumière et ne prennent pas de pincettes. Et bien sûr, ils emploient des français pour ça. Pour ces derniers les problèmes de conscience, pour les américains les achats d'avions de chasse.
    Après tout, pour un américain il est écrit sur les billets de banque "In God we trust".
    Ya rien de personnel, c'est juste du business.

  • Comme le disent les membres de la tribu: Dieu soit «  loué » et même plusieurs fois

  • Cela s'apparente aux Kamikaze lors de la fin de la guerre américaino-japonaise !
    Cela sent la fin !

  • " Du pain pour les canards "
    https://youtu.be/ZsyylJWPkYM?si=DjEP-1CBDqXl9mvX

  • Au cas où certains n'auraient pas compris, c'est une blague (d'humour noir) de Katya Kopylova.

  • Désolé, j'ai plongé, même si j'avais des réserves tellement c'était gros.

  • @Victor
    J'ai toujours eu beaucoup de mal avec les films de guerre français. Les Russes et les Amerloques sont très forts, les Angliches parfois potables, les Allemands pas mauvais...
    Dans le film de Schoendoerffer dont vous proposez une séquence, l'acteur qui interprète le capitaine Jégu de Kerveguen sonne faux. Il est très mauvais. Vous pouvez en juger parce que vous constatez immédiatement, malgré le soin apporté aux décors, à l'éclairage, etc., que vous êtes dans la fiction.
    J'ai oublié un Italien dans les bons metteurs en scène de guerre, c'est le Sergio Leone du Bon, la brute et le truand. A un moment, Eli Wallach flingue un type depuis sa baignoire. C'est peu vraisemblable, la poudre doit être mouillée, n'est-ce pas ? Alors le gars a passé plusieurs poignées de secondes à lui expliquer qu'il avait appris à tirer de la main gauche, qu'il l'avait à sa pogne, qu'il venait pour se venger, etc. Wallach le tue et lui dit : "Quand on tire, on raconte pas sa vie !" C'est un peu ce qu'on a envie de dire au capitaine Jégu de Kerveguen...
    Avec trois bouts de ficelle, une dolly et quelques acteurs bien dirigés, ce juif de Kubrick, en débit de nombreuses erreurs historiques, vous faisait partager le destin des soldats français dans les tranchées (Les Sentiers de la gloire). Il avait du génie.

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