RT a fait le décompte des articles dans les grands médias américains sur la mort du journaliste américain Gonzalo Lira torturé et mort le 12 janvier dans une prison ukrainienne, et dans la seule journée d’hier sur la mort de l’activiste russe Navalny dans une prison russe.
Avec, en dessous, un « bonus » : l’agence Reuters a publié zéro dépêche sur la mort de Lira, et 26 hier sur Navalny.
C’est que Gonzalo Lira était critique du gouvernement ukrainien, ce qui mérite la deuxième mort politico-médiatique, tandis que Navalny, bien que d’extrême droite selon les critères de la classe politico-médiatique, était le chouchou de tout l’établissement occidental, et surtout que sa mort permet impunément d’accuser Poutine (de façon véritablement délirante, et proprement indigne quand ce sont des chefs d’Etat et de gouvernement) et de fantasmer sur une révolte du peuple russe…
Commentaires
Merci monsieur Daoudal. Totalement en phase avec l'esprit de votre bloc. Informations exclusivee et mise en perspective unique