Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Les pervers


« Le Dr Olson a pris une décision : tu es dans une situation idéale pour commencer avec des bloqueurs de puberté, et elle promet de te donner des œstrogènes dans deux ans. Il n’y a pas besoin d’attendre 16 ans pour cela, tu sais. »

Et on insère les bloqueurs dans les bras du garçon de 11 ans, ce qui fait très mal. Le garçon pleure et crie.

« Et c’est un nouveau chapitre qui s’ouvre dans la vie de cette jeune fille. »

Et la mère remercie chaleureusement, tandis que dans le couloir son fils s'agrippe tristement à ses nounours, et elle est heureuse en pensant qu’il y a vingt ans son fils n’aurait pas pu devenir une fille…

Ceci se passe au "Centre de santé et de développement des jeunes trans" de l'hôpital pour enfants de Los Angeles. Je découvre à cette occasion que le Dr Olson-Kennedy est un « pédiatre » célèbre dans tous les Etats-Unis pour sa propagande effrénée en faveur des « transitions de genre » des enfants, y compris chirurgicales. Elle est notamment une adepte de la « mastectomie radicale » pour que les adolescentes s’imaginent devenir des garçons, et quand on lui objecte que la fille soi-disant devenue garçon pourrait changer d’avis une fois adulte, elle répond tranquillement qu’il lui suffira de se faire poser des implants mammaires…

Et ces pervers roulent sur l’or (car c’est devenu un business extrêmement lucratif) alors qu’ils devraient être en prison.

Commentaires

  • Je suis relativement optimiste : l'immonde connerie de ces deux bonnes femmes (sa mère et la pédiatre) devrait prochainement convaincre ce jeune garçon de ne surtout pas "changer de sexe" si c'est au risque de devenir comme elles. Il optera pour un environnement résolument viril, par exemple les Marines ou les Trappistes.

  • Ce pauvre enfant n'a que 11 ans. Comment pourrait-il se défendre? D'autant que si son géniteur (admettons qu'il soit encore non loin de lui et que l'enfant n'ait pas été conçu par "sperme anonyme") s'il s'opposait à ce qui se passe avec son fils, se verrait retirer la garde du petit garçon
    Comment une telle société qui en est arrivé là (et un tel pays) peut-il croire qu'il va dominer le monde ?

  • Juvénal se posait la même question à propos de l'Empire romain, qui a tenu encore deux siècles après lui...

  • Pour revenir sur ces images de cauchemar, rappelons qu'Alfred Hitchcock, qu'il n'est pas absurde de comparer à Shakespeare, s'est intéressé à quelques tueurs en série dont les plus emblématiques sont celui de Psycho et de Frenzy. Le metteur en scène (catholique anglais et minoritaire beaucoup plus que freudien, même s'il écrivit presque tous ses scénarios avec des juifs) s'intéresse par ailleurs, dans presque tous ses films (et spécialement ceux-là), à la relation mère-fils.
    Une approche superficielle, c'est que les tueurs en série ont une relation compliquée avec leur mère. Une approche plus fouillée, c'est que les mères de tueurs en série sont des dingues. Pardon pour la vulgarité crue de la remarque, mais il y a un type aux Etats-Unis, qui a tué je ne sais pas combien de femmes, et dont la biographie nous apprend qu'à l'âge de seize ans sa mère lui lavait le pénis dans le lavabo avant de le border.
    Voilà le genre de personnalités que ces bonnes femmes castratrices (c'est le cas de le dire...), qui devraient être en prison (moi je les tuerais direct...), nous fabriquent. Si tant est que ces deux monstres hommasses soient réellement des femmes... Mais ça revient au même pour cette fois.

Écrire un commentaire

Optionnel