Le 6 février, Elon Musk a publié ce document en disant :
Une source anonyme vient de m'envoyer ce document de Disney. C’est du racisme et sexisme institutionnalisé obligatoire !
En effet, les « normes d’inclusion » imposent que au moins 50% des personnages de fiction, des acteurs, des producteurs, des réalisateurs, « viennent de Groupes Sous-représentés ».
On remarque l’euphémisme. Mais c’est que, en même temps, il est interdit de demander à ces mêmes personnes si elles s’identifient à une race, un genre, une orientation sexuelle, etc.
Hier, Elon Musk a publié l’intégralité du document : « Voici tout l’ensemble de lois racistes, sexistes, discriminatoires, appliquées par la Gestapo DEI de Disney. » (DEI : diversité, équité, inclusion).
Puis : « Mais attendez, il y en a encore ! ».
Avec cette conclusion : « Pas étonnant que la plupart des films produits ces dernières années soient nuls. Le simple fait d'essayer de naviguer dans le champ de mines de la DEI va anéantir le processus créatif ! »
Elon Musk a certainement reçu ces documents dans le cadre du procès intenté à Disney par une actrice, Gina Carano, qui jouait le rôle de Cara Dune dans les deux premières saisons de The Mandalorian, et a été virée pour avoir publié dans les réseaux sociaux des propos contre l’idéologie du genre, Black Lives Matter, le confinement et l’obligation des masques… Elon Musk a pris à sa charge les frais du procès.