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Chronique des cinglé·e·s

Un soi-disant « homme transgenre » va bientôt accoucher à l’hôpital de Montreuil. Il s’agit donc évidemment d'une femme déguisée en homme. Mais c’est le branlebas de combat pour savoir comment gérer la chose. C’est une première. Donc le personnel a reçu une « formation aux questions de transidentité ».

La formation est délivrée par l’association OUTrans, qui a signé un partenariat avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche « afin de mettre en place un module de formation pour le personnel soignant ».

Bien sûr, le personnel qui va voir une femme sur le point d’accoucher, ou après l’accouchement, risque fort de l’appeler spontanément « Madame » au lieu de « Monsieur ». Mais ce n’est pas grave. Il suffira de « s’excuser brièvement » et d’employer le « bon » vocable...

Mais ce qui est le plus urgent, selon le lobby, c’est de « dégenrer les documents ». Car ils en sont restés au préjugé moyenâgeux selon lequel une personne qui accouche est une femme.

Pourtant cela fait déjà un certain temps qu’on voit dans les maternités des affiches comme celle-ci, sur l’importance du « parent non-allaitant ». On remarque que sur l’affiche le parent non-allaitant peut être un homme ou une femme : il y a même deux femmes parents non-allaitants pour un homme. A deux contre un que l’invisible parent allaitant est un « homme »…

PARENT-NON-ALLAITANT-411x600.jpg

Commentaires

  • Si vous lisez bien la légende, le parent allaitant est une femme : car le non-allaitant est invité à masser/câliner/faire danser "maman". Comme quoi il y a toujours des progrès à accomplir dans l'outrance. (et on ne se lasse pas de cette inflation du participe présent substantivé . Remarquez que le migrant a totalement effacé l'immigré...)

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