Le porte-parole du département d'État, Matthew Miller, s’en prend à la nouvelle loi hongroise destinée à « protéger la souveraineté », qui instaure une autorité chargée de prévenir les « interférences étrangères » dans le processus électoral.
« Cette nouvelle loi est incompatible avec nos valeurs communes de démocratie, de liberté individuelle et d'état de droit », dit-il.
Les Etats-Unis (et Soros) n’acceptent en effet que les lois qui permettent leur ingérence dans les affaires des autres.