Le pitoyable Bardella, après avoir osé dire : « Je ne crois pas que Jean-Marie Le Pen était antisémite » (mais il n’est pas mort !), s’est rattrapé devant la pensée unique en affirmant que « les condamnations de Jean-Marie Le Pen (pour antisémitisme) sont un fait qu'on ne peut pas réfuter ».
Puisque les Macron et les Veran et les médias de l’imposture ont de nouveau entonné, et à grande voix, le couplet de Le Pen antisémite, je publie ci-dessous une analyse que j’avais faite en 1997, lors d’une de ces explosions médiatiques récurrentes. C’était à Présent, avant que je travaille avec Jean-Marie Le Pen. J’ai ensuite côtoyé Le Pen pendant dix ans, dans les bureaux du Front national et dans son bureau de Montretout et aussi chez lui, avec Jany, et ce sont de grands souvenirs. Je peux témoigner que les accusations de racisme et d’antisémitisme sont absurdes. Il s’agissait de prétextes qui tuent, pour l’empêcher d’arriver au pouvoir. En voici une preuve flagrante.
(Addendum. Le sinistre pitre Bardella, à plat ventre devant la police de la pensée, dit maintenant que Le Pen « s’est évidemment enfermé dans un antisémitisme qui a amené à une rupture politique en 2015 entre Marine Le Pen et son propre père ».)
L'affaire des « propos antisémites » de Le Pen est particulièrement révélatrice des manipulations auxquelles on se livre pour tenter de salir et de briser le président du Front national. L'enregistrement de la conversation révèle en effet de la façon la plus crue, non seulement le trucage des propos, mais aussi les méthodes employées pour arracher à Le Pen la petite phrase qu'on pourra monter en mayonnaise. Et si la petite phrase ne vient pas, on l'invente...
On se souvient que l'affaire a été lancée par l'hebdomadaire Le Point : il va paraître un livre, de Nicolas Domenach et Maurice Szafran, consacré à Chirac, mais qui comporte surtout une interview scandaleuse de Le Pen. Le chef du Front national y relance le fantasme du « complot juif », il accuse Chirac, sous l'influence de Friedmann, « un juif très juif », et Barzach, « son amie juive », de s'être fait l'otage du B'nai Brith et d'autres organisations juives, et d'avoir « touché des sommes d'argent énormes » pour qu'il refuse toute alliance avec le Front national.
Aussitôt la presse serve, toujours prête à aboyer au premier signal anti-Le Pen, relaye Le Point. Et bien entendu les radios et les télévisions se mettent de la partie. Une fois encore, Le Pen a jeté le masque. Le Pen proteste vivement qu'il n'a jamais employé les mots qu'on lui reproche, qu'il en a la preuve puisqu'il a gardé l'enregistrement de la conversation, et il constate que, comme par hasard, cette manipulation intervient au moment où Chirac est invité à présider la fête anniversaire de la création du Grand Sanhédrin par Napoléon : « D'aucuns auraient voulu dresser nos compatriotes d'origine juive contre le Front national qu'ils ne s'y seraient pas pris autrement. »
Le Pen ne se contente pas de protester. Il convoque les journalistes à une conférence de presse, où ils auront l'occasion d'entendre l'enregistrement de l'interview, et où on leur donnera le texte, retranscrit mot à mot, des propos effectivement prononcés. Ce qui leur permettra de se racheter, et de rétablir la vérité avec autant d'empressement et d'ardeur qu'ils en ont mis pour répandre la calomnie.
On sait que les journalistes se pressent aux conférences de presse de Le Pen. Ils s'y agglutinent comme des mouches, non pas pour entendre ce que Le Pen va expliquer quant à la doctrine ou la position du Front national sur tel ou tel sujet d'actualité, mais pour débusquer le mot qui tue, l'expression qu'on pourra retirer de son contexte pour en faire le prétexte à un nouveau scandale médiatique. Or, ce vendredi-là, il n'y avait aucun représentant du Point, l'hebdomadaire par qui le scandale était venu, il n'y avait ni Le Monde, ni Le Figaro, ni Libération, ni Le Parisien...
Les radios et télévisions, qui, elles, étaient là, furent frappées de mutisme une première fois au moment où Le Pen leur proposa de poser des questions (alors que d'habitude c'est le meilleur moment pour tenter d'obtenir la petite phrase à l'arraché), et une deuxième fois au moment de délivrer au bon peuple la vérité sur la manipulation qu'ils avaient relayée avec tant de complaisance. Le bon peuple n'a pas à savoir. Il doit en rester au mensonge que Le Pen est « antisémite » et qu'il le proclame. Sinon quoi ? il faudrait peut-être lui faire des excuses, aussi ?
Telle est la « déontologie » de l'audiovisuel. C'est la déontologie léniniste intégrée aux « valeurs de la République ». Tout ce qui sert le combat contre le Front national est moralement bon, y compris le mensonge, tout ce qui dessert ce combat est mauvais, surtout s'il s'agit de la vérité.
Le Point et les gros quotidiens parisiens n'étaient pas là, ils ne voulaient pas savoir, ils ne voulaient rien entendre, rien lire. Pour rester absolument dans le mensonge. Pour ne pas avoir la tentation de se dire que peut-être ils avaient eu tort.
Curieusement, il y eut une exception : France Soir, dont on connaît les éditoriaux suant de haine contre le Front national. Etait-ce avec l'intention de trouver de quoi alimenter et faire grossir encore le scandale ? Mais le fait est que ce journal a publié un article où, entre deux phrases fielleuses, était clairement indiqué que les termes qui ont fait scandale « ne se trouvent pas » dans l'enregistrement. Cet article porte témoignage : il est une spectaculaire condamnation des autres journaux de l'oligarchie, il les enfonce dans leur mensonge. On ne pouvait pas savoir ? France Soir savait, et l'a dit, malgré son engagement dans le combat contre le Front national.
L'enregistrement est « instructif », disait France Soir. En effet. Et la lecture du texte brut de l'entretien, transcrit mot à mot, est bien plus instructive encore. Car on n'y voit pas une interview, mais un interrogatoire, mené par deux fonctionnaires zélés de la police de la pensée qui cherchent à « faire tomber » le suspect condamné par avance.
Alors que Le Pen vient d'expliquer sa position sur le mode de scrutin et sur ce que cela implique quant à la stratégie du Front national, compte tenu de l'ostracisme du RPR et de l'UDF, Szafran insinue : « Si on suit bien votre démonstration, on a l'impression que ce que vous voulez nous dire c'est que Chirac et le RPR sont tenus par quelque chose. »
Szafran est sûr que Le Pen va embrayer automatiquement sur le « complot juif ». Au contraire, Le Pen proteste : « Ah non, ça ne peut pas sortir du tout de ce que je viens de dire ! », et il demande à Szafran d'expliquer où il veut en venir. Celui-ci refuse, et insiste : « Non. C'est inexplicable, ou vous ne voulez pas aller jusqu'au fond des choses. » Et comme un flic qui braque la lumière sur le prévenu il fulmine : « C'est une question que je pose là ! »
Le Pen répond : « Ce n'est pas le problème. » Car le problème qui se pose, explique-t-il, c'est de savoir pourquoi le RPR et l'UDF refusent la « discipline nationale » à droite alors que la gauche applique la « discipline républicaine ».
« Je vous pose la question ! », réplique Szafran, fermement arc-bouté sur son unique dessein d'entendre Le Pen parler d'un « complot juif ». Le Pen : « Ce n'est pas à moi qu'il faut la poser, il faut la poser à M. Jacques Chirac. » Szafran : « Lui il a donné la réponse. » Le Pen : « Jamais, il n'a jamais donné de réponse. Alors nous en sommes réduits à des hypothèses. »
Enfin, nous y voilà, semble se dire Szafran qui se délecte déjà : « J'aime les hypothèses », dit-il goulûment.
Le Pen va donner son « hypothèse ». Hélas pour Szafran, il ne va pas parler de « complot juif ». Il va exposer simplement une « hypothèse crédible », à savoir que les dirigeants de l'UDF et du RPR ont « pris des engagements ».
« Vis-à-vis de qui ? » s'exclame Szafran qui attend avec de plus en plus d'impatience son « complot juif ». « Il y a un engagement, de ne jamais s'allier avec le FN, qui a été révélé, répond tranquillement Le Pen, c'est vis-à-vis du B'nai Brith : on l'a vu dans Le Monde. »
Szafran n'en peut plus. Il ne veut pas entendre parler d'un engagement devant le B'nai Brith, surtout si c'était publié dans Le Monde, il veut entendre Le Pen dénoncer le « complot juif », et le temps passe. Alors Szafran disjoncte :
— Cela nous ramène de nouveau, via le B'nai Brith, à la guerre, l'occupation, si on suit bien votre...
Le Pen l'interrompt en s'exclamant :
— Non ! Non ! Là vous extrapolez !
Pour le moins, en effet. Mais Szafran joue l'étonnement. Alors Le Pen répète sa protestation, et revient au fait avéré, au communiqué du B'nai Brith publié par Le Monde en 1986. Et à ce que l'on constate depuis, à savoir que les partis de la majorité préfèrent perdre les élections plutôt que d'appeler à des reports de voix normaux au deuxième tour sur le candidat le moins éloigné.
Domenach prend le relais. Pas moyen de faire dire à Le Pen l'expression « complot juif », on va s'y prendre autrement : lui faire dire que Chirac a touché de l'argent des juifs :
— Quel est l'intérêt, qu'est-ce que ça peut rapporter à Chirac un engagement comme cela ? C'est cela que je ne comprends pas.
— Excellent, se contente de répondre Le Pen.
Domenach revient à la charge, et Le Pen répète simplement : « Excellent. » Domenach insiste encore : « Je n'ai jamais compris. » Réponse de Le Pen : « Moi non plus. » Alors c'est Domenach qui n'en peut plus, et il y va carrément : « Soit un intérêt financier ? » Le Pen fait mine que tout cela le dépasse et ne dit rien. Alors Szafran reprend le flambeau : « Mais si, vous avez compris. Vous ne voulez pas nous le dire, mais vous avez compris. »
« Pourquoi ? », répond Le Pen. Réplique immédiate de Szafran : « Je ne sais pas. Je vous pose la question, au lieu de nous dire que vous n'avez pas compris... » « Non, dit Le Pen, je... », et Szafran lui coupe la parole : « Vous avez forcément des hypothèses, des explications », et il ose jeter, après un tel harcèlement, comme une banderille : « Peut-être que vous ne voulez pas en faire part, ça je le veux bien. »
Le Pen répond :« Je trouve cela, même comme ça [l'engagement devant le B'nai Brith], assez inexplicable. Alors peut-être que ceci est la clef d'énormes sommes d'argent... » Szafran l'interrompt (enfin on le tient) mais Le Pen continue : « ou alors d'appuis considérables dans toutes sortes de domaines ».
Szafran tente un dernier argument, une dernière provocation à la petite phrase, en faisant valoir que le B'nai Brith, en France, ce n'est « rien, absolument rien, cela n'a aucun réseau, aucune puissance financière, ce n'est absolument rien en France, rien » (le B'nai Brith appréciera).
Mais Le Pen méprise la provocation et répond en homme d'Etat, après avoir mis un point final à l'interrogatoire sur le B'nai Brith :
— C'est peut-être un signe, un test, je ne sais pas. Moi, je pars toujours, en politique, des faits, je ne suis pas un idéologue. Le programme du Front national n'est pas mystérieux, il est bâti à partir des questions qui se posent. »
Et il dresse un bref inventaire des « problèmes concrets qui se posent au pays depuis 20 ans et que les différents partis politiques de droite comme de gauche ont été incapables de résoudre, si tant est qu'ils aient eu à un moment donné ou à un autre la volonté de les résoudre ».
Mais Szafran et Domenach ne sont pas venus pour entendre Le Pen parler de politique, ils sont venus soutirer des propos antisémites. L'approche par le refus d'alliance électorale ayant échoué, on va prendre un autre biais : les amis de Chirac, donc les influences qu'il peut subir...
Les deux interrogateurs parlent de Pandraud et de Dominati « qui auraient bien voulu qu'il y ait un rapprochement » entre Chirac et Le Pen, mais qui, s'ils ont reçu un accueil favorable auprès de Le Pen, se sont fait éconduire par Chirac.
Le Pen répond alors que pour lui « la politique c'est un art de rapports et de contacts, d'échanges de vues, de connaissances, de rapprochements ou au contraire d'écarts à partir d'une ligne choisie. « C'est exclusif, dirai-je, de l'exclusion. C'est exclusif des partis pris et personnellement je ne refuse jamais un contact, une rencontre, dont peut sortir plus de clarté... Je considère que cela fait partie du devoir de l'homme politique. »
Voilà qui est décidément très mauvais pour l'image d'extrémiste qu'il faut donner de Le Pen. On va insister, il en viendra peut-être au complot. On en revient donc au « retour négatif » de Pandraud et Dominati. Le Pen prend les choses à la blague, et, faisant parler Dominati et Pandraud : « C'est inexplicable, comment se fait-il que Chirac ait cette inimitié à ton égard ? Est-ce qu'il y a à cela une raison personnelle ? As-tu eu une rivalité amoureuse au Quartier latin, ou quelque chose comme ça ? »
« Non », répond sèchement Szafran. « Comment ? », s'étonne Le Pen. « Non, ce n'est pas cela », répète Szafran. Ce n'est pas qu'il soit spécialement renseigné sur la vie amoureuse des étudiants Le Pen ou Chirac, c'est qu'on n'est pas là pour plaisanter. Alors Le Pen va répondre sérieusement. Au fond. Pour dire que Chirac n'exprime jamais, même en privé, les raisons pour lesquelles il rejette toute alliance électorale avec le Front national. « Sinon qu'on sait qu'il a, disons, un tropisme de gauche. Et comme tous les gens élus confortablement à droite, il se paye le luxe de se dire qu'il aurait peut-être préféré faire cette carrière à gauche... Mais il y a quelque chose au fond de lui que j'ignore. J'essaye, j'ai essayé quand même de trouver, parce que c'est quand même une énigme pour moi. Et ça ne lui a pas mal réussi, si c'est un pacte qu'il a passé, avec qui que ce soit qu'il l'ait passé, eh bien ce pacte a fait de lui quand même, deux fois un chef du gouvernement et une fois un président de la République. Donc il n'a pas si mal vu, même si cette option, ce refus de l'alliance avec le Front national, a déporté sa ligne politique sur la gauche de façon très forte, au point même de vider le débat gauche-droite de sa substance. »
Au lieu de dire ce que l'on attend de lui sur le « pacte », Le Pen s'en sert uniquement pour faire une analyse politique. Que faire ? Domenach tente une dernière provocation, faisant état d'une conversation avec Michel Junot, qui lui aurait dit que Le Pen lui aurait demandé si Chirac « a une maîtresse juive ou pas, est-ce que ça pourrait... »
Autre version de la boutade de tout à l'heure, mais celle-là lancée par les interrogateurs sous forme d'accusation d'antisémitisme.
Or Le Pen va répondre sérieusement, sous forme explicitement interrogative, sur les influences qui s'exercent sur Chirac. Il s'interroge sur Jacques Friedmann, ami de toujours de Chirac (actuel patron de l'UAP, il fut son directeur de cabinet dès 1969), car Friedmann a dit un jour à Yvan Blot qu'il ressentait « une répulsion physique » à l'égard du Front national. Et Le Pen signale qu'il a « pensé que c'était Michèle Barzach à un moment donné qui l'influençait de façon hostile : elle n'aimait pas le Front national, elle le disait ».
« Oui, mais ils se sont fâchés », murmure Domenach en abandonnant la partie.
Ceux qui sont très fâchés, ce sont le Domenach et le Szafran. Très fâchés contre la vérité. Car il leur faut maintenant inventer les expressions antisémites pour que leur entretien présente un intérêt dans le cadre du combat contre Le Pen...
Commentaires
France Soir actuel reste la meilleure presse écrite. Pas dificile, objecteront beaucoup.
Il n'y a AUCUN motif rationnel pour employer les mots antisémite et antisémitisme, sauf à considérer les juifs comme ils se considèrent eux-mêmes, relativement au reste de l'humanité. Il devrait suffire de parler de racisme, antijuif si l'on veut, comme il existe un racisme antifrançais, d'ailleurs beaucoup plus répandu, surtout en France.
D'ailleurs actuellement les Israëliens nous donnent l'exemple de leur anti-sémitisme acharné. Les Palestiniens sont des sémites.
Non seulement les Palestiniens sont des sémites, mais si j'en crois la Bible ils descendent beaucoup plus sûrement d'Abraham et de Sem que Klarsfeld ou Jakubowicz.
Durafour crematoire c’est une saillie drolatique point final ?
C'était dans un contexte, et le contexte est le contraire de l'apparence: Durafour voulait cramer le Front national.
Durafour qui voulait cramer le FN, ce n'est pas de l'incitation à la haine? Il n'a pas été poursuivi? Le Pen aurait dû sortir: "Dumoulin crématoire"
Dont acte. M’enfin le choix du mot, quand même…
Et le point de détail, c’est peut être discutable et explicable, c’est d’une maladresse insigne.
Dont acte. M’enfin le choix du mot, quand même…
Et le point de détail, c’est peut être discutable et explicable, c’est d’une maladresse insigne.
Et les copains ukronazis d'Oskar, ce sont de grands philosémites ?
Saint Louis était-il antisémite ?
"Comment se fait-il que dans l'hémicycle au Sénat on ait une statue du prétendu Saint Louis, que nous appelons Louis IX, lui qui a inventé le port d'un signe distinctif pour les juifs et brûlé des Torah ? Déboulonnons ! », s’est insurgé Jean-Luc Mélenchon le 21 septembre dernier lors du lancement de l’institut La Boétie. Est-ce juste d’un point de vue historique ?"
https://www.lavie.fr/idees/debats/saint-louis-etait-il-antisemite-60042.php
"Saint Louis était-il antisémite ?" Qu'en pense l'oracle de ce blog, que nous sommes allés interroger dans son BMC de la Haute-Loire, le célèbre Théophrède ?
- théofrède et pas théophrède vercingétorix, était antilgbt son fils aîné voulait se faire greffer un utérus et se promener avec une plume eh bien vercingétorix a dit non paraît-il.mon arrièère-arrière trisaïeul a beaucoup souffert il a été torturé par vercingét...
- Heureusement que nous avons été vaincus par "le mari de toutes les femmes et la femme de toutes les maris."
- Que vrastolud la ferme !!!!
- Ouh ! Ouh ! Les filles de tous les sexes, venez jouer au docteur !
- l'immonde dauphin pourrait-il alker se faire voir chez les grecs on ne peut pas dormir dans ce lupanar je signale a& laimable assistance que je me suis occupé d'un bmc en indochine puis en afrique du nord et que je n'ai jamais été confronté à in pareil foutafe de gu.....
- Au lit, Théofrède !
- Mais, j'y suis déjà, bon sang de bois de bonnes sœurs de mes deux ! Alors, c'était ça l'enfer ?