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On touche le fond

Quand à Vienne, l’une des grandes capitales de la culture mondiale, on en arrive à inaugurer une telle déjection comme une œuvre d’art, et que tous les médias sont en extase ou feignent de ne pas voir que le roi est pourri, c’est qu’il n’y a plus d’espoir pour ce qui fut une civilisation.

2,1 millions d’euros pour « 33 » étrons qui célèbrent la diversité, le climat, etc.

Les inaugurateurs sont le maire de Vienne et le président de la République autrichienne en personne.

Commentaires

  • Non, on ne touche pas le fond, Ceci est pensé et voulu. En langage clair, ils vous disent;
    - On vous emmerdera jusqu'au bout pour nos projets.
    Artistes et élus même combat au service de la bête.
    On avance, blasphème après blasphème, coups de poignard, meurtres, trahisons. lois iniques et castratrices.
    Dieu scrute les âmes, tout est enregistré, rien ne Lui échappe.
    Ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas...

  • Oui, un peu comme le truc gonflable de la place Vendôme sous Hollande. Ils disaient en clair aux français "enfoncez-vous ça bande de merdes". Bravo à celui qui l'a détruit.

  • MIchelin est-il sponsor pour avoir des bibendums?

  • Il ne manque que la cal Schönborn pour compléter la bande de guignols. Il aime aussi les "bel" art, il en remplit sa cathédrale et accueille les concerts gay-friendly.

  • "« 33 » étrons qui célèbrent la diversité, le climat, etc."
    Le collectif Gelitin (ou Gélatine) rassemble quatre "artistes" viennois, aimables plaisantins qu'on doit pouvoir affilier, pour l'inspiration, à Marcel Duchamp. A propos d'étrons, ils font en effet volontiers "dans le caca".
    Je ne suis pas certain qu'ils aient pour ambition d'alerter sur le réchauffement climatique ou de prôner la diversité ethnique. Ils sont peut-être moins corrompus idéologiquement que le "pape" François, avec ses "Anges inconscients" de la place Saint-Pierre.
    On peut -visiblement- les rattacher à un certain mauvais goût viennois, pas tellement éloigné de celui qui portait la bourgeoisie autrichienne à se trémousser sur les valses de Strauss entre deux croissants, pendant que le génial Schubert crevait de la syphilis dans une indifférence assez générale.

  • Le comique passe bien en littérature, au théâtre, en bande dessinée, au cinéma ou dans la musique, très mal en sculpture, en peinture, en architecture. L'humour est transitoire et a besoin de mouvement : si ce machin doit rester dans le quartier il aura tôt fait de ne plus amuser personne.

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