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Il avait attrapé le soi-disant covid et aujourd'hui il se fait photographier avec le virus.
C'est un peu gros pour un virus
Dans virus, il y a russe. Encore la faute de Poutine.
- Dans ma langue maternelle, "on vî rus" ça signifie (en Français) un vieux Russe. Ce qui donne raison à Michel : le fautif ça ne peut donc être que Vlad, et pas du tout l'autre Vlod.
- Demandons d'urgence à son "altitude vertigineuse Imbroglio", l'ouverture du procès en béatification du (petit) pianiste Zizilinsky : son altitude aime tant les originaux du membre viril.
Je ne suis pas sûr de bien comprendre le sens de ce post. Est-ce de dire qu'avec un chef de gouvernement aussi pourri, l'Arménie ne mérite vraiment plus qu'on la plaigne, qu'on la soutienne face à l'invasion, qu'on la considère comme un pays chrétien ?
Et pourquoi, dans la même veine, ne pas avoir mis une photo de Poutine avec son ami Kim? Mais comme je ne suis pas certain de bien comprendre le sens de la photo avec Soros, je me trompe peut-être.
Les rapprochements, traités et autres accords diplomatiques et économiques entre Etats ne relèvent pas du jugement moral. Le seul jugement moral à porter sur un chef d'Etat en tant que tel consiste dans la réponse, parfois complexe, à la question "Agit-il de bonne foi dans l'intérêt de la nation qu'il incarne et qu'il représente ?"
Dans le cas de saint Louis, de Garcia Moreno, du maréchal Pétain ou de Salazar, on ne saurait avoir de doute. Pour un exemple plus actuel, je serais tenté de dire Assad, pour qui j'ai la plus vive admiration et auquel il ne me viendrait pas à l'esprit de reprocher son actuel voyage en Chine, même si les dirigeants chinois sont une bande de salopards qui servent de modèles aux Rothschild, Soros, Bill Gates, Klaus Schwab et autre Macron en matière de la plus sournoise, brutale et dégueulasse ingénierie sociale jamais conçue par un cerveau de damné.
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Il avait attrapé le soi-disant covid et aujourd'hui il se fait photographier avec le virus.
C'est un peu gros pour un virus
Dans virus, il y a russe. Encore la faute de Poutine.
- Dans ma langue maternelle, "on vî rus" ça signifie (en Français) un vieux Russe. Ce qui donne raison à Michel : le fautif ça ne peut donc être que Vlad, et pas du tout l'autre Vlod.
- Demandons d'urgence à son "altitude vertigineuse Imbroglio", l'ouverture du procès en béatification du (petit) pianiste Zizilinsky : son altitude aime tant les originaux du membre viril.
Je ne suis pas sûr de bien comprendre le sens de ce post. Est-ce de dire qu'avec un chef de gouvernement aussi pourri, l'Arménie ne mérite vraiment plus qu'on la plaigne, qu'on la soutienne face à l'invasion, qu'on la considère comme un pays chrétien ?
Et pourquoi, dans la même veine, ne pas avoir mis une photo de Poutine avec son ami Kim? Mais comme je ne suis pas certain de bien comprendre le sens de la photo avec Soros, je me trompe peut-être.
Les rapprochements, traités et autres accords diplomatiques et économiques entre Etats ne relèvent pas du jugement moral. Le seul jugement moral à porter sur un chef d'Etat en tant que tel consiste dans la réponse, parfois complexe, à la question "Agit-il de bonne foi dans l'intérêt de la nation qu'il incarne et qu'il représente ?"
Dans le cas de saint Louis, de Garcia Moreno, du maréchal Pétain ou de Salazar, on ne saurait avoir de doute. Pour un exemple plus actuel, je serais tenté de dire Assad, pour qui j'ai la plus vive admiration et auquel il ne me viendrait pas à l'esprit de reprocher son actuel voyage en Chine, même si les dirigeants chinois sont une bande de salopards qui servent de modèles aux Rothschild, Soros, Bill Gates, Klaus Schwab et autre Macron en matière de la plus sournoise, brutale et dégueulasse ingénierie sociale jamais conçue par un cerveau de damné.