Le Premier ministre roumain Marcel Ciolacu, dans un entretien au Spiegel, dit que « l'Union européenne doit envisager des mesures en cas de victoire de la Russie dans le conflit en Ukraine ».
L'une d’elles doit être l'interdiction totale du commerce avec la Russie.
Il ajoute que de telles mesures seront nécessaires, quelles que soient les conséquences qu'elles entraîneront pour la population de l'UE.
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Le président finlandais Sauli Niinisto a répondu aux questions du New York Times. Aucune surprise à en attendre. L’homme qui a fait entrer son pays dans l’OTAN est évidemment un parfait russophobe, ou cosacophobe, puisque, dit-il, les Finlandais appellent les Russes des Cosaques. Mais au détour de la conversation une information intéressante :
« Lors de leurs rencontres avant l'invasion de février 2022, M. Niinisto a déclaré que M. Poutine était axé, agressif et bien informé, voire obsessionnel, sur la culture russe. Il a déclaré avoir décidé de tester M. Poutine en l'interrogeant sur le poème de Mikhaïl Lermontov sur la mort de Pouchkine, le plus grand poète russe. M. Poutine a parlé pendant plus d'une demi-heure. "Il savait tout sur ce sujet - pour lui, c'est la Russie, la Russie dans son ensemble", a déclaré M. Niinisto. »
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Réflexion d’un Serbe sur son fil X (ex-Twitter) où il suit de très près la guerre en Ukraine :
« Lorsque votre pays est en guerre avec votre voisin, qui se trouve être le plus grand pays de la planète, et que vous n'avez plus d'armes propres, ni d'argent pour votre budget, et que dans le même temps, vous décimez votre population. De plus, vos mécènes continuent à vous encourager à vous battre et à fournir ce qui manque parce qu'ils veulent affaiblir vos voisins au détriment de la vie de votre peuple. Peu à peu, vous réalisez : “Mince, c'est ce qu'ils avaient prévu depuis le début, en provoquant mes voisins”. Et alors vous voyez votre propre gouvernement se remplir les poches - à ce moment-là, même la dernière personne devrait se rendre compte qu'elle a été trompée. »
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Ce week-end il y avait comme chaque année pour Roch Hachana le grand rassemblement hassidique dans l’ancienne ville juive de Ouman en Ukraine : quelque 40.000 personnes, surtout israéliennes, malgré les exhortations de Netanyahou à ne pas y aller. On a pu y voir de nouvelles manifestations de « judéo-bandérisme »
Le journaliste Vladislav Davidzon, ami de BHL, avec l’acteur Luzer Tversky, arborant le drapeau judéo-bandérite. Donc judéo-nazi. Non, ce n’est pas une blague. Ce drapeau est devenu spécialement populaire à partir de 2014 (Maïdan), date de cette photo :
Et à Ouman on a pu voir par exemple un soldat du bataillon nazi Azov avec un patch judéo-bandérite embrasser un juif hassidique.
L’oligarque Igor Kolomoïsky, financier de plusieurs milices nazies dont Azov, et grand sponsor de Zelensky qui vient de le mettre en prison, arbore volontiers un T-shirt où il se proclame « Judéobandéra ». Rappelons que les Ukrainiens qui se battaient sous le drapeau rouge et noir avaient fait allégeance au Reich et avaient massacré eux-mêmes des milliers de juifs, puis participé à la déportation des autres vers les camps.
Commentaires
Le Premier ministre roumain Marcel Colaku fait de la lèche à Biden et Zelensky. Il devrait comprendre que la Russie a tout à gagner à ne pas commercer avec les voyous pédomanes occidentaux et à développer le BRICS. Tout pays qui développe son autarcie gagne en liberté et prospérité Tout pays qui secoue le joug monétaire américano-sioniste est sur le bon chemin. Le mondialisme est une immense dictature qui s'est étendue comme la gangrène.
Le pire ennemi de la communauté juive c'est l'assimilation des juifs aux communautés dans lesquelles ils vivent, l'antisémitisme ressoude la communauté et leur garantit l'immunité morale.
Cette association, quoique ponctuelle et sûrement opportuniste, ne m'étonne pas du tout, Le mouvement sioniste révisionniste de Vladimir Jabotinsky qui a fondé le Betar, et qui était très peu religieux et voulait que les juifs utilisent tous les moyens pour faire subvenir le Grand Israël du Nil à l'Euphrate en chassant ou tuant les arabes, ce mouvement défilait à Berlin et avait pris des contactes sérieux avec Himmler et d'autres dignitaires nationaux socialistes pour obtenir l'émigration des juifs allemands en Palestine ou Rothschild avait déjà spolié les habitants en achetant des terres de passage, n'appartenant à personne donc invendables, et les mouvements sionistes començaient à chasser et terrorriser les habitants arabes.
L'association entre deux idéologies racialistes ne doit étonner personne.
Ce qui me désole le plus, c'est que des catholiques, dont Bandera, aient pu se compromettre avec l'idéologie condamnée sans ambiguïté par l'encyclique Mitt Brennender Sorge.
"Le pire ennemi de la communauté juive c'est l'assimilation des juifs aux communautés dans lesquelles ils vivent, l'antisémitisme ressoude la communauté et leur garantit l'immunité morale."
Ils ne s'assimilent ni ne veulent être assimilés et ce qu'ils appellent l'antisémitisme procède autant à leurs yeux, de la part des peuples qui les accueillent, de la bonne volonté à les assimiler que du refus de se laisser gouverner par eux à coups de trique.
Pour le comprendre jusqu'à un certain point, vous pouvez vous figurer un ado très perturbé plongé jusqu'au cou dans la haine de soi et des autres, mais qui s'est trouvé une communauté (disons des Punks, des Skinheads ou un gang de braqueurs) qu'il déteste résolument mais à laquelle il est très fier d'appartenir parce qu'au moins ses membres font chier tous ceux qui n'en font pas partie.
"Rappelons que les Ukrainiens qui se battaient sous le drapeau rouge et noir avaient fait allégeance au Reich et avaient massacré eux-mêmes des milliers de juifs, puis participé à la déportation des autres vers les camps."
Puisque cet argument ne dérange ni les juifs (67 000 selon Wiki, dans un pays de 44 millions d'habitants présidé par un membre de leur tribu), ni les nazis, il faut l'utiliser avec circonspection ou peut-être le laisser à cette majorité écrasante d'Ukrainiens qui ne sont ni juifs ni nazis.
Toutes proportions gardées, je ne vois pas beaucoup de différences entre cette connivence et celle qu'on peut observer chez nous entre la clique de voyous à écarteler en place de Grève qui tient l'Etat et les médias et la canaille de nos banlieues. La différence de proportion signalée tient au fait que notre canaille instrumentalisée est assurément beaucoup plus massive et moins disciplinée que les nazis ukrainiens. Pour ceux qui les instrumentalisent, je dirais que couper quelques milliers de leurs têtes les calmerait sûrement.
Ecartelés, oui mais après avoir été roués. La tradition, c'est important.
Puisque selon l'article 3 de la Déclaration du 26 août 89 qui est le catéchisme de notre République "la souveraineté réside essentiellement dans la nation", il faudra plaider la lèse-majesté. Celle-ci est passible de l'écartèlement et non de la roue.
Ils n'ont pas pensé à fonder un groupe "nazisme et dialogue"?
Ils pourraient palper des subventions de toute part et BHL y viendrait pérorer. Lui, dès qu'il y a un micro et une caméra, il ne peut pas s'empêcher de faire du vent avec sa bouche. Et puis c'est intellectuellement plus confortable de combattre le régime soviétique trente ans après sa mort et quand la gauche a cessé de le louer.
Peut-être même que des chanteurs besogneux de gauche feraient la queue pour y chanter.
N'est-ce pas la communauté de lumière qui est devenue l'arbitre des élégances?
Igor et Volodymyr vont à l'enterement d'un copain catholique d'Azov. Igor dit: "tu sais chez eux il y a une quête, tu dois donner de l'argent". "Non!" crie tout effrayé Volo qui se ravise et propose de parier sur qui donnera le moins possible. Passe la cérémonie et arrive le moment fatidique. Volodymyr qui avait préparé son coup jette un kopek de gryvna en regardant goguenard son comparse. Igor lui ne jette rien et dit : "nous sommes ensemble".
Li papa di Samuel rencontre li papa di Moshe :
- Ti connais mon fils ?
- Comment, si j'y li connais, c'i li meilleur ami di mon fils. Y alors ?
- Figuire-toi que mon fils je l'ai envoyé à Haifa chez li milleur rav de Haifa pour apprendre la Torah.
- Y alors ?
- Il y est revenu catholique ! Tu ti rends compte !!?
Le papa de Moshe manque s'évanouir...
- Quoi ? Ton fils ? Catholique ? Quil horrire ! Ti connais mon fils ?
- Mais comment, si j'y li connais, c'i li meilleur ami di mon fils. On vient d'en parler, non ? Ti es bête ou quoi ?
- Jistement. J'y l'ai envoyé à Tel-Aviv, chez le grand rav tout ça, pir apprendre la torah, il y est revenu catholique !
- C'y pas vrai ?
- Si, c'y vrai !
- Allons voir li rav Sholomomol, il va nous éclairer.
Li voilà partis...
- Shalom, rav âgé. Ti connais nos deux fils, Samuel et Moshé ?
- Mais comment, si j'y lis connais tis lis deux, c'i sont lis meilleur ami di mon fils.
- On lis a envoyés en Israël, y sont rivenus cathos !
- Comment ? Quille histoire ! Mais mon fils Salomon, c'y pareil. Milleur rabbin di Jirusalem, trois mois de stage ! Il est rentré catho. Sa mire plire tout le temps ! C'ist affreux ! Vinez avec moi ! Nous allons fire ine prière dans la synagogue.
Les voilà entrés et le rabbin commence la prière :
- Signeur, nos fils sont partis en stage en Tirre Sainte, ils reviennent catholiques. Ki faut-il faire ?
Alors Dieu répond au rabbin :
- Ti connais mon fils ?
Merci pour ces informations uniques
Cet article illustré m'explique pourquoi il y a des drapeaux Ukrainiens et aussi des drapeaux noirs et rouges dans les cimetières militaires de cette guerre contre la Russie.
Merci.
Le Rouge et le noir sont des couleurs extrêmes. Le Rose et le vert, du même Stendhal, a eu moins de succès. Ce fut la même chose pour Lautner : Les Tontons flingueurs ont eu beaucoup plus de succès que Tata la demi-molle.