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Et à Apt en Provence
http://lespelerinagesdeprovence.org/reportages2014-apt.html
Oui, 2 villes de cette France bénie sont marquées par Sainte Anne : Kern Anna au Morbihan en 1623-1624, depuis SAINTE-ANNE D'AURAY....et APT !
Sainte Anne décéda à l'âge de 56 ans, 8 années après la mort de saint Joachim , 12 ans après la naissance de la Très Sainte Vierge Marie qui vécut 3 années auprès d'elle avant d'être consacrée au Temple les 9 années avant la mort de sa mère [Maria d'Agréda in La Cité mystique de Dieu" 1660 - Tome 2, partie 1, livre 2, chapitre 19, page 360, 361]
"Sainte Anne décéda à l'âge de 56 ans, 8 années après la mort de saint Joachim."
Il y aurait une thèse de doctorat à écrire là-dessus : sainteté et longévité... Avec les Saints Innocents, les 11000 Vierges, les martyres et les innombrables victimes des crimes rituels j...ifs, l'espérance de vie d'un saint catholique doit être aussi élevée que celle d'un éphémère asthmatique.
Oui, Maria de Agreda a retrouvé les cartes d'identité de Ste Anne et St Joachim conservées depuis les recensements et leurs avis de décès dans la gazette de Sion.
Finalement, vous êtes bien formaté ,sans vous en rendre comote,, vous aussi, par la rationalité des Lumières..
Ne croyez pas ce que vous ne pouvez prouver....cela limitera fortement votre compréhension des choses. Mais, bon, les Temps sont ainsi
Pour ma part, ce que de grands saints mystiques ont reçu de la part de Notre Seigneur, ces précisions qui vous herissent tant, moi, je les reçois comme des précisions qui aident à notre compréhension, rend le cours des choses si proches de notre vécu, nous fortifient dans ce monde sceptique. J'en rends grâce à Notre Seigneur....tout petit devant Lui !
Figurez-vous qu'il y a quelques décennies, je m'étais enthousiasmé pour Agréda, Emmerich et Valtorta. Mais après plusieurs relectures et peut-être l'âge aidant, je me suis aperçu qu'elles se basaient sur les évangiles apocryphes avec des variantes, mais aussi beaucoup de contradictions entre elles. Si les trois sont inspirées ou ont des visions de mêmes événements historiques et qu'elles les relatent de façon différente, il y a de quoi se méfier sérieusement. Valtorta est à part, c'est une avalanche de personnages qui parlent comme des moulins qui ont des comportements inconséquents. Malheureusement le film "choosen" reprend qu'elles épisodes de Valtorta (comme le harcèlement du pauvre Matthieu par les autres apôtres et le cabotinage de Jésus et St Jean baptiste), Valtorta raconte que Jésus exige du jeune lépreux qu'il confesse ses péchés en public et autres histoires romancées à la napolitaine etc. La Ste Vierge de Valtorta se comporte à la limite de l'hystérie. Il y a un juste milieu entre le rationalisme anti-chrétien et les élucubrations de "mystiques" à l'imagination fertile. L'Eglise est très prudente sur ces questions et elle n'est pas rationaliste pour autant (je parle de la véritable Eglise, pas des néo-protestants qui l'occupent).
Il n'y a pas contradiction ; il faut savoir examiner le contexte.
Les dires d'A-C Emmerich furent transcrits par un (ou même plus d'un) secrétaire, d'où certaines imprécisions dues à l'humeur du ou des 'scribes'.
Maria d'Agréda nous rapporte des paroles tandis que Maria Valtorta nous décrit en direct, et écrivit les dix mille pages du récit évangélique, toujours comme un témoin privilégié, ce à quoi, par grâce insigne de Notre Seigneur, elle a l'honneur d'assister ; elle reprend aussi des paroles de Jésus, de Marie, d'Azarias,... mais à chaque fois, elle signale le fait.
Les révélations qu'elle a reçues sont étalées sur plusieurs années. Aucune erreur ne les entache. Pie XII l'a recommandée.
Chacune apporte des précisions sur l' Enseignement du Christ, la Bonne Nouvelle.
Je ne vois pas de contradictions.
Elle n'est pas trop sollicitée, à mon avis. Demandons-lui ce que sa Fille ne saurait lui refuser.
Il n'y a pas contradiction ; il faut savoir examiner le contexte.
Les dires d'A-C Emmerich furent transcrits par un (ou même plus d'un) secrétaire, d'où certaines imprécisions dues à l'humeur du ou des 'scribes'.
Maria d'Agréda nous rapporte des paroles tandis que Maria Valtorta nous décrit en direct, et écrivit les dix mille pages du récit évangélique, toujours comme un témoin privilégié, ce à quoi, par grâce insigne de Notre Seigneur, elle a l'honneur d'assister ; elle reprend aussi des paroles de Jésus, de Marie, d'Azarias,... mais à chaque fois, elle signale le fait.
Les révélations qu'elle a reçues sont étalées sur plusieurs années. Aucune erreur ne les entache. Pie XII l'a recommandée.
Chacune apporte des précisions sur l' Enseignement du Christ, la Bonne Nouvelle.
Je ne vois pas de contradictions.
Commentaires
Et à Apt en Provence
http://lespelerinagesdeprovence.org/reportages2014-apt.html
Oui, 2 villes de cette France bénie sont marquées par Sainte Anne : Kern Anna au Morbihan en 1623-1624, depuis SAINTE-ANNE D'AURAY....et APT !
Sainte Anne décéda à l'âge de 56 ans, 8 années après la mort de saint Joachim , 12 ans après la naissance de la Très Sainte Vierge Marie qui vécut 3 années auprès d'elle avant d'être consacrée au Temple les 9 années avant la mort de sa mère [Maria d'Agréda in La Cité mystique de Dieu" 1660 - Tome 2, partie 1, livre 2, chapitre 19, page 360, 361]
"Sainte Anne décéda à l'âge de 56 ans, 8 années après la mort de saint Joachim."
Il y aurait une thèse de doctorat à écrire là-dessus : sainteté et longévité... Avec les Saints Innocents, les 11000 Vierges, les martyres et les innombrables victimes des crimes rituels j...ifs, l'espérance de vie d'un saint catholique doit être aussi élevée que celle d'un éphémère asthmatique.
Oui, Maria de Agreda a retrouvé les cartes d'identité de Ste Anne et St Joachim conservées depuis les recensements et leurs avis de décès dans la gazette de Sion.
Finalement, vous êtes bien formaté ,sans vous en rendre comote,, vous aussi, par la rationalité des Lumières..
Ne croyez pas ce que vous ne pouvez prouver....cela limitera fortement votre compréhension des choses. Mais, bon, les Temps sont ainsi
Pour ma part, ce que de grands saints mystiques ont reçu de la part de Notre Seigneur, ces précisions qui vous herissent tant, moi, je les reçois comme des précisions qui aident à notre compréhension, rend le cours des choses si proches de notre vécu, nous fortifient dans ce monde sceptique. J'en rends grâce à Notre Seigneur....tout petit devant Lui !
Figurez-vous qu'il y a quelques décennies, je m'étais enthousiasmé pour Agréda, Emmerich et Valtorta. Mais après plusieurs relectures et peut-être l'âge aidant, je me suis aperçu qu'elles se basaient sur les évangiles apocryphes avec des variantes, mais aussi beaucoup de contradictions entre elles. Si les trois sont inspirées ou ont des visions de mêmes événements historiques et qu'elles les relatent de façon différente, il y a de quoi se méfier sérieusement. Valtorta est à part, c'est une avalanche de personnages qui parlent comme des moulins qui ont des comportements inconséquents. Malheureusement le film "choosen" reprend qu'elles épisodes de Valtorta (comme le harcèlement du pauvre Matthieu par les autres apôtres et le cabotinage de Jésus et St Jean baptiste), Valtorta raconte que Jésus exige du jeune lépreux qu'il confesse ses péchés en public et autres histoires romancées à la napolitaine etc. La Ste Vierge de Valtorta se comporte à la limite de l'hystérie. Il y a un juste milieu entre le rationalisme anti-chrétien et les élucubrations de "mystiques" à l'imagination fertile. L'Eglise est très prudente sur ces questions et elle n'est pas rationaliste pour autant (je parle de la véritable Eglise, pas des néo-protestants qui l'occupent).
Il n'y a pas contradiction ; il faut savoir examiner le contexte.
Les dires d'A-C Emmerich furent transcrits par un (ou même plus d'un) secrétaire, d'où certaines imprécisions dues à l'humeur du ou des 'scribes'.
Maria d'Agréda nous rapporte des paroles tandis que Maria Valtorta nous décrit en direct, et écrivit les dix mille pages du récit évangélique, toujours comme un témoin privilégié, ce à quoi, par grâce insigne de Notre Seigneur, elle a l'honneur d'assister ; elle reprend aussi des paroles de Jésus, de Marie, d'Azarias,... mais à chaque fois, elle signale le fait.
Les révélations qu'elle a reçues sont étalées sur plusieurs années. Aucune erreur ne les entache. Pie XII l'a recommandée.
Chacune apporte des précisions sur l' Enseignement du Christ, la Bonne Nouvelle.
Je ne vois pas de contradictions.
Elle n'est pas trop sollicitée, à mon avis. Demandons-lui ce que sa Fille ne saurait lui refuser.
Il n'y a pas contradiction ; il faut savoir examiner le contexte.
Les dires d'A-C Emmerich furent transcrits par un (ou même plus d'un) secrétaire, d'où certaines imprécisions dues à l'humeur du ou des 'scribes'.
Maria d'Agréda nous rapporte des paroles tandis que Maria Valtorta nous décrit en direct, et écrivit les dix mille pages du récit évangélique, toujours comme un témoin privilégié, ce à quoi, par grâce insigne de Notre Seigneur, elle a l'honneur d'assister ; elle reprend aussi des paroles de Jésus, de Marie, d'Azarias,... mais à chaque fois, elle signale le fait.
Les révélations qu'elle a reçues sont étalées sur plusieurs années. Aucune erreur ne les entache. Pie XII l'a recommandée.
Chacune apporte des précisions sur l' Enseignement du Christ, la Bonne Nouvelle.
Je ne vois pas de contradictions.
Cette réponse est destinée a Dauphin. Désolé.