John Clauser a reçu le prix Nobel de physique en 2022. Il était invité à présenter demain un séminaire sur les modèles climatiques au Fonds monétaire international. Mais son invitation a été « suspendue » (sic) parce qu’un activiste de la dictature climatique a fait remarquer par courriel au directeur du Bureau d'évaluation indépendant (sic) du FMI, Pablo Moreno, que John Clauser a dit il y a un mois au « Quantum Corea » : « Je ne crois pas qu’il y ait une crise du climat ». Pablo Moreno a aussitôt supprimé l’invitation à John Clauser. Lequel avait déjà publiquement rejeté les dogmes du GIEC et critiqué la politique climatique de Jobidon, et a rejoint cette année la « Coalition CO2 » qui est non seulement climatosceptique mais plaide pour une utilisation accrue du CO2, nécessaire à la vie.
Commentaires
Bonjour,
je trouve qu'il y a un peu une incohérence dans vos positions. Dans l'article précédent vous citez la dame que le parti animaliste fustige: « Ce sont des propos diffamants et sans fondement de la part d’imbéciles hystériques qui n’y connaissent rien." Le parti animaliste donne un avis sur un emploi d animal alors qu'il n'y connait rien.
Mais lorsqu un physicien ,qui n'est pas climatologue, donne son avis sur le clima, sujet qu'il ne connait pas. et qu'on ne le convie pas à une conférence vous le faite passer pour une victime....
N'adopteriez vous pas le comportement de la gauche: il y a les bonnes et les mauvaises victimes ?
Le prix Nobel de physique connait les mécanismes du climat beaucoup mieux que la majorité des esclaves de la propagande délirante sur le réchauffement causé par un gaz infime, et pour lequel l'homme est une cause plus qu'infime.
Une belle occasion de vous taire a été perdue.
@Yann Je renchéris sur Bainville écrit:: avant de faire de la physique quantique, John Clauser a étudié la physique pendant des années et au cas où vous ne le sauriez pas le climat est basé sur des phénomènes physiques qu'on essaie de modéliser avec des programmes informatiques pas très au point (mais qu'on peut manipuler dans le sens voulu par le GIEC). Et quand c'était un météorologiste lyonnais de haut niveau comme le fut Marcel Leroux (+2008) qui démasquait les guignols du GIEC, on le traitait de charlatan. Comme vous le faites, Yann, avec Clauser, les journalopes (Bac+2) traitaient Leroux d'incompétent.
Lisez autre chose que Le Monde ou science et Vie, vous gagnerez en esprit critique
https://www.climato-realistes.fr/lettre-dinformation-sur-le-climat-n13/
lire:" je renchéris sur ce que Bainville vous à écrit"
Et un document d'une entrevue de Marcel Leroux de 2004
Où il met bien l'accent sur la confusion voulue entre "climat" et "pollution" pour minimiser cette dernière. Les les financeurs des climatoréchauffistes sont des pollueurs (industrie pétrolière, chimique, phytosanitaire etc...)
Avec le lien
https://www.agriculture-environnement.fr/2004/11/08/le-rechauffement-climatique-est-un-mythe
Delphin, you are the best : I love you !!!
Vous avez dit G. I. E. C. ?
C'est pas un truc inventé par Mme Tatcher pour réduire l'influence du syndicat des mineurs britanniques ?
Et puis... Il veut quoi, ce sigle ?
Groupement pour Induire en Erreur sur le Climat. C'est bien ça !
Bonjour,
précisions: je ne lis pas le monde et je n'ai pas un bac+2, je travaille dans les sciences du climat: une chose est de connaitre les mécanismes de base de la physique: grosso modo: l'air plus chaud et plus humide par rapport à son environnement monte.
Autre chose est de se colletiner les modèles, travailler dessus, choisir les bons paramètres. Il ne me viendrait pas à l'idée d'écrire un article de quantique même si j'en ai fait dans ma jeunesse. A chacun son métier
@Yann "choisir les bons paramètres" Vous avez tout dit. Et quand d'autres, comme Marcel Leroux, donnent d'autres paramètres , vous et le GIEC prétendez qu'ils ne sont pas bons et quand il vous présente des observations et mesures qui contredisent vos modèles, vous le traitez de complotiste?
Puisque vous avez fait un peu de physique vous devriez vous intéresser aux variations de l'activité solaire et à l'effet régulateur des températures du cycle de l'eau.
@Dauphin
Pour se représenter les modèles climatiques, il faut se représenter un filet qui couvre la terre et on en rajoute 70 au dessus. Les calculs se font de croisement de filet en croisement de filet. Les premiers filets avaient une maille de 500 km, actuellement la maille est d'une centaine de km.
Quand je dis choisir les bons paramètres, non je n'ai pas tout dit quand j'ai dit ça, c'est ce qu'on appelle la paramétrisation sous maille: Je vais prendre un exemple actuellement caduc mais plus simple pédagogiquement. Si le point de maille tombe sur de la glace avec une maille sur de la banquise mais les 3 autres mailles qui entourent ce point dans l'eau, comment vais choisir mon albédo (c'est à dire la capacité à réfléchir le rayonnement solaire) vais je prendre celui de la glace ou celui de l'eau ou un mix entre les deux et quel mix ?
Voilà ce qu'on appelle choisir les bons paramètres.
Deuxio: Oui on tient compte dans les modèles des paramètres solaires, à savoir la variation de l'excentricité, la variation de l'obliquité et la précession. En effet pour valider les modèles de climats, on s'appuie sur les climat passés. Que l'on connait indirectement grâce à l'analyse de carottes glacières qui permettent de remonter jusqu'à 800 000 ans et 400 000 ans (carottage de Vostock de 3623 m) en particulier avec l'analyse d'oxygène 18 qui est corrélé assez directement à la température. Or ces périodes sont bien supérieures aux fréquences de variation du rayonnement solaire, donc nous sommes obligés de l'intégrer dans les modèles.
Mr Leroux que vous citez est certainement quelqu'un de très bien, je n'ai pas lu ses publications: elles datent de plus de 20 ans, une éternité dans les sciences climatiques
@Dauphin
Pour finir, je n'ai traité personne de complotiste. Si d'autres l'ont fait, merci de ne pas m'imputer ce trait.
Non ce que je reproche à nombre de personnes de la droite conservatrice, c'est de de "jeter le bébé avec l'eau du bain". Je m'explique:
Oui il y a nombre de personnes , pour des raisons qui leur sont propres, sont angoissées par ce réchauffement, oui il y en a qui aimerait recycler les vieilles lunes marxiste et s'appuyer sur une sorte de bureaucratie qui gère la pénurie au détriment de la liberté et de la responsabilité individuelle. Mais ce n'est pas une raison pour jeter le travail de toute une communauté scientifique qui quoi qu'on en dise s'appuie sur la rationalité.
J'ai l'impression que c'est le même trait psychologique que certaines personnes de gauche qui nient la réalité de l'immigration au prétexte de ne pas vouloir stigmatiser parce qu' elles ne veulent pas que les immigrés actuels soient les juifs d'antan et veulent prévenir tout mouvement de haine.
Il existe peut-être un spécialiste du climat capable de prédire l'avenir sans se tromper, mais il ne fait sûrement pas partie du cercle des alarmistes qui tiennent le haut du pavé depuis trente ans, époque à laquelle je commençais ma médiocre carrière de professeur de collège et de lycée. La géographie n'était pas encore une science 100% sociale et les manuels de seconde étaient illustrés de prétendues images satellitales de la banquise arctique, très "didactiques" : la banquise il y a vingt ans, toute blanche, et une autre image parfaitement superposable, aujourd'hui plus de banquise. Pour l'an 2000, ces mêmes manuels annonçaient l'accueil des Esquimaux, celui des insulaires (en particulier ceux de l'océan Indien...) et bien entendu d'une grande partie de l'Afrique. Sur ce dernier point, force est de reconnaître que nous sommes servis, même si ce continent a vu sa population doubler depuis trente ans. Quant à l'émigration africaine, elle est liée au climat dans la mesure où le Sahel est un espace fragile agressé par des pratiques agricoles inadaptées.
Il n'est pas nécessaire d'être climatologue pour constater que pour le reste rien de ce qui était prédit par les oiseaux de malheur ne s'est produit. Il en est du réchauffement climatique comme de ces "pandémies" supposées faire 500 millions de morts et dont les seuls effets vraiment mortels sont dus aux mesures de contrainte adoptées par nos immondes dirigeants, aux assassinats dans les EHPAD et à l'injection d'un prétendu "vaccin" hautement toxique.
Apparemment, pour résister aux injonctions et autres injections gouvernementales, il fallait un peu de bon sens et de la défiance à l'égard des immondes saloperies qui "décident". Il n'était pas nécessaire de rien connaître à la médecine ou à la pharmacie. Molière était-il médecin ou apothicaire pour se payer la tête de cette engeance dans des œuvres immortelles qui furent comme ressuscitées par l'hypocondrie irréductible et niaise et par le grégarisme imbécile de l'humain de base qui applaudissait les soignants à sa fenêtre avant de s'en foutre comme de son premier slip quand les plus honnêtes d'entre eux ont été suspendus ?
Vous avez exactement le même schéma avec le prétendu réchauffement climatique auquel je me flatte de ne rien connaître, sauf qu'on m'annonce depuis quarante ans de terribles cataclysmes qui ne se sont jamais produits (pas plus cette année que les précédentes) et que je vois bien qu'il s'agit de réserver aux oligarques, qui tiennent les médias et ont déjà le privilège des yachts de 50 mètres et des jets privés, le droit de rouler en Ferrari pendant que la valetaille prendra sa bicyclette ! C'est ça le projet, et il n'y a rien d'autre !
L'incitation à rouler électrique contre toute logique fait évidemment partie du plan. Dès que le thermique aura été complètement interdit, on annoncera à la minorité qui continue de se servir d'une voiture (électrique) que l'électrique n'est plus possible, qu'il faut des métaux rares, que ça pollue autant que le thermique et que la seule solution contre le "réchauffement", c'est le vélo !
Pour nos gouvernants, la piétaille sera toujours responsable de ce qui arrive (et beaucoup des malheurs qui nous arrivent sont. dus aux décisions de ces salopards que Stavrolus a raison de traiter d'immondes saloperies). Le réchauffement climatique d'origine anthropique, la bonne blague, vous y croyez, Yann?
Si vous y croyez vous êtes disciple d'Al Gore, le pétrolier milliardaire vice-président de Clinton pendant huit ans, chargé de démarrer le canular dans les années 1990. Avant lui il y avait bien eu le club de Rome , mais c'était plus primaire comme bobards.
Souvenons-nous aussi, dans ces années 1990, de la propagande "couche d'ozone", le fameux "trou", les épidémies de cancers de la peau sous les hautes latitudes, l'Australie en particulier. A l'époque, j'y ai cru... Tout à coup on n'en a plus parlé. Apparemment, on avait trouvé un nouveau gaz réfrigérant pour les frigos, un propulseur pour les aérosols : Mme Ozone était contente, elle s'est reconstituée en moins de deux pour nous remercier de ces brillantes mesurettes... Les merdias sont passés à autre chose...
Oui, l'ozone et son trou (encore une invention des PD qui nous gouvernent), sachant que les gaz substitués n'étaient pas meilleurs que le "coupable", pour un effet non démontré. D'ailleurs l'ozone est utilisé par les écolo-terroristes pour paralyser la circulation en cas de grosses chaleurs. Sachant que l'ozone se forme dans les zones boisées dégageant de l'oxygène par photosynthèse et non pas dans les villes, c'est encore un moyen de tenir sous stress les foules. Et parlons des cancers de la peau: il est prouvé que ce sont les crèmes solaires et les cosmétiques avec leurs adjuvants qui en sont la cause principale et non les UV seuls. Un scandale de plus!
@Stabrolus @Dauphin
Bien sûr, vous avez raison concernant la panique, le cynisme et l'incompétence de certains. On fait paniquer les gens, d'un point de vue de la presse ça fait vendre.
On joue sue les passions plutôt que de s'adresser à l'intelligence des gens. Avec en plus des erreurs, des grossissements et des simplifications. Vous avez mille fois raison concernant ce volet.
Là ou vous avez tort, c'est que le réchauffement climatique n'est pas une question de foi (vous de pas y croire, ce qui relève de la foi). C'est une question de science.
Depuis des siècles, ce qui a fait avancer l'occident c est sa science: relecture par les pairs, des gens qui passent du temps à réfléchir sur des problèmes similaires.
oui on peut toujours se moquer des médecins alors qu on n'est pas médecin comme Moliere. La critique est aisée quand on ne s'est pas confronté au problème.
Étre capable de garder l'équilibre entre l'usage de sa raison et la capacité de dire "je ne sais pas, c'est hoers de mon domaine de compétences" est quelquechose de de délicat.
Vous dites que le réchauffement (ou le non-réchauffement) climatique n'est pas une question de foi. Il faut à mon avis aborder la question sous un autre angle qui est celui de la croyance : en effet, comme nous le dit saint Paul (Epître aux Ephésiens) : "Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême..."
Ce que veut dire saint Paul, c'est qu'il n'y a qu'une croyance religieuse qui détienne la Vérité et qu'elle seule mérite d'être appelée la foi.
Cette réserve étant formulée, il est facile de vous répondre. Vous me confondez avec l'adversaire qui, lui, cherche à nous imposer une croyance dont le fond religieux gnostique s'appuie, dans ses présupposés écolo-climatiques, sur le culte d'une nature déifiée qu'on pourrait appeler la Terre-Mère ou la Pachamama, culte qui est aux antipodes de la vraie foi, bien que Bergoglio l'ait fait entrer à Saint-Pierre en octobre 2019..
Ne pas croire, ce n'est pas nécessairement croire ne pas. C'est exiger les preuves ou au moins les indices de conclusions qui s'appuieraient sur une démarche scientifique rigoureuse, indices ou preuves qui doivent être à la portée d'un individu non scientifique d'intelligence moyenne. Force est de reconnaître, dans la scandaleuse fausse pandémie de covid 19 comme pour les théories "réchauffistes", non seulement que ces preuves ou ces indices ont toujours fait défaut, mais que les dirigeants politiques relayés par les médias (à moins que ce ne soit le contraire) ne se sont jamais privés de s'appuyer sur des experts corrompus pour inventer à destination de l'opinion publique de fausses preuves et de faux indices. Leur plus récente trouvaille a consisté, je crois, à comparer les températures mesurées au sol (en Grèce, en Arizona) avec les relevés d'années précédentes faits dans l'atmosphère. Il paraît aussi que Macron est en train de nous concocter une loi pour punir les "climato-sceptiques" ! Va-t-on les assimiler aux "antisémites" ? On croit rêver !
Pendant la "crise du covid" ceux qui osaient critiquer la politique gouvernementale étaient accusés de ne pas croire en la science. De nombreux personnels médicaux, y compris des sommités médicales, ont été virés au motif qu'ils ne croyaient pas à la science. Refrain répété ad nauseam par les ministres, leurs conseillers et les médias. Et quand on a fini par accepter de les réintégrer, le refrain est revenu: il ne faut pas réintégrer des gens qui ne croient pas en la science.
Eh bien moi je crois en la Sainte Trinité, en l'Incarnation et en la Rédemption. Et je ne crois pas ceux qui me somment de croire à autre chose.
D'autre part je sais qu'au XIe siècle on faisait du vin en Suède et qu'on appela ainsi le Groenland parce qu'il était vert. Tandis qu'il y a eu des hivers à Versailles où l'eau gelait dans les carafes.
Et je sais aussi qu'en 1975 "la science" à laquelle il faut croire annonçait un catastrophique refroidissement.
http://yvesdaoudal.hautetfort.com/files/newsweek_coolingworld.pdf
@Stavrolus
Vous écrivez:
"C'est exiger les preuves ou au moins les indices de conclusions qui s'appuieraient sur une démarche scientifique rigoureuse, indices ou preuves qui doivent être à la portée d'un individu non scientifique d'intelligence moyenne"
Les concepts utilisés sont sommes toute assez simple: j'en faisais mention dans un post précédent: l'air +chaud et +humide que la moyenne s'élève (principe d'Archimède ) ensuite la vapeur d'eau contenue dans l'air condense et il pleut. Il y a l'effet de serre...
Ce qui rend complexe les choses c'est la multiplicité des paramètres et des rétroactions qui rend difficile l'appréhension des ,résultats par un hommes si brillant et si intelligent soit-il. Les calculateurs sont nécessaires tellement les calculs sont complexes.
Concernant les températures, C'est une c****rie de la part de certains politiques. Les scientifiques de Météo-France en particulier ont bien précisé que les températures énoncées n'étaient pas comparables.
Les polémiques scientifiques concernant le covid ne sont pas de mon domaine de compétence. En tant que citoyen, je trouve que la gestion a été catastrophique: on a lésé l' hôpital d'argent pendant des années pour faire des économies. Au moment où on en a besoin, parce que l'hôpital n'est pas en mesure de faire face, on bloque l'économie, on détruit le lien social, on abime la jeunesse et on dépense 400 000 milliards.
@Yves Daoudal
Vous écrivez: "D'autre part je sais qu'au XIe siècle on faisait du vin en Suède et qu'on appela ainsi le Groenland parce qu'il était vert. Tandis qu'il y a eu des hivers à Versailles où l'eau gelait dans les carafes"
Vous avez tout à fait raison.
Sur le très long terme, ce sont les paramètres solaires qui règlent le climat. Actuellement nous sommes entre deux ères glacière. Cette ère interglaciaire s'appelle l'holocène. Il y a différentes variation du climat à l'intérieur de cette ère. Et il y a eu effectivement un petit optimum médiéval avec des températures plus élevées que la moyenne, au maximum +1 degré atteint mais sur plusieurs siècles. En comparaison, actuellement nous nommes à +1,1°C en une centaine d'année.
Et ensuite il y a eu un petit âge glaciaire dû très vraisemblablement à une série d'émission volcaniques extrêmement importantes. Il y a une de très importantes émission de particules souffrées qui réfléchissent le rayonnement solaire et provoquent un refroidissement planétaires qui a durée plusieurs siècles. Et effectivement l'eau gelait dans les carafes à Versailles.
Pour le point du covid, je ne suis pas comptable des la manières dont la communauté scientifique médicale gère ses conflits internes
@Yves Daoudal
Un dernier point: vous accordez bien votre foi à ceux qui disent que le Groenland était vert au moyen âge et que l'eau gelait à Versailles et vous ne l'avez pas expérimenté par vous-même
@Yann Le réchauffement observé est-il d'origine anthropique? Vous n'avez pas répondu à ma question. D'après tout de que vous écrivez, c'est non. Confirmez-vous?
Vous n'abordez pas l'évaporation qui refroidit. Plus la température monte, plus les océans s'évaporent et plus le refroidissement induit est important. Le CO2 n'a qu'une action infime en effet de serre, c'est la vapeur d'eau et le cycle condensation-évaporation est auto-stabilisant. Autrement, aucune vie sur Terre ne serait possible.
@Dauphin
Le co2 en proportion des autres gaz représente effectivement 0.0035% de la quantité de gaz dans l'atmosphère. La vapeur d'eau représente 0.25% de "l'air sec".
Est ce que le réchauffement est d'origine anthropique ?
Il y a eu des simulations avec le CO2 rajouté par l'homme et les courbes de température très proches des observations.
Puis des simulations sans le CO2 rajouté par l'homme et les courbes de températures obtenues continuent dans la lignée des températures du début du 19ème, c'est à dire que cela ne colle pas au réchauffement observé.
En même temps on a rajouté en 100 ans dans l'atmosphère du carbone qui avait été enfoui pendant 300 millions d'années, ça ne peut que déstabiliser le système.
Quant à la vapeur d'eau, ce n'est pas considéré comme un forçage extérieur. Toutefois avec le réchauffement, il y a une capacité de l'air à contenir plus de vapeur d'eau donc une absorption plus grande des infrarouges donc un réchauffement plus importants.
Oui il y a un phénomène de réchauffement de l'air lorsqu'il y a condensation et réchauffement lorsqu'il y a évaporation et grosso modo, il y a équilibre entre les deux. Mais cette libération de "chaleur latente" (pour reprendre l'ancien terme) n'est pas le facteur du réchauffement. Le facteur du réchauffement est l'absorption des infrarouges. Et heureusement qu'il y a cette absorption et qu'il y a du co2 sinon il ferait -18°C sur terre. Mais
"in medios stat virtus" ni trop peu ni trop.
@yann, " réchauffement lorsqu'il y a évaporation " Je corrige votre faute de frappe: " refroidissement lorsqu'il y a évaporation "
Plus il y a de vapeur d'eau plus il y a de nuages avec leur effet "parasol" qui renvoient une partie du rayonnement solaire, d'où refroidissement. Une évaporation importante des océans refroidit les océans et les nuages formés, par effet parasol, rajoutent à ce refroidissement. La régulation est automatique. Le réchauffement anthropique est un bobard. Il n'y a pas d'homme sur la lune , ni mars, pourtant leur température augmente.
Merci pour votre correction.
Les nuages ne sont pas de la vapeur d'eau mais de l'eau, surfondue pour la plupart,
Effectivement le paramétrage de l'albedo des nuages est une question.
Sur quels arguments scientifiques vous appuyez vous pour dire que le réchauffement est un bobard?
Il y a tellement de rétroactions dans tous les sens que c'est à mon avis plus que difficile pour donner une direction de réchauffement ou de refroidissment en se basant uniquement sur des raisonnement "avec les mains"
@yann Je répète: "le réchauffement actuel n'est pas dû à l'activité humaine, le réchauffement d'origine anthropique est un bobard" Le réchauffement observé actuellement se produit dans tout le système solaire (preuve qu'il vient de l'activité du soleil) et son amplitude future est surestimée par des simulations fantaisistes du GIEC. La courbe en forme de crosse de "hockey" est un bobard. La montée du niveau des océans estimée en mètres (!!!!) est un bobard destiné à effrayer les gogos. Le niveau des mers baisse de quelques cm à certains endroits et monte à d'autres en fonction des mouvements très lents de l'écorce terrestre. L'xploitation du pétrole en mer du Nord a fait baisser le niveau de l'eau par léger affaissement du plancher du fond marin . Tout phénomène observé est interprété par les climatoterroristes dans le sens qui leur convient, ce n'est pas de la science. Depuis 1880 tous les 20-30 ans,, surtout aux USA, la presse annonçait alternativement soit une glaciation soit un réchauffement. Par contre le véritable problème est la pollution de l'air et de l'eau et il n'est pas résolu, voir la Chine, les USA et l'Allemagne.
Merci pour ce sujet qui nous change un peu du "beau mec" Poutine. Au sujet du "réchauffement" et de la "sécheresse" macroniennes (Macron étant un mec très très moche), ne jamais oublier les adages du roman d'Orwell : "La sécheresse, ça mouille ; la chaleur, ça refroidit ; la santé, ça rend malade ; le président, on l'a élu !!!"
@Dauphin
Pourriez vous préciser vos sources sur l'augmentation de l'activité solaire s'il vous plait ?
Par avance merci.
Tapez "augmentation de l'activité solaire dans le système solaire" dans n'importe quel moteur de recherche. Vous êtes chercheur, vous devriez savoir faire? Et après vous ferez votre marché et vous trouverez les copains du giec qui nient l'influence du soleil sur le climat et accusent le CO2 et d'autres pour réalistes , par exemple:
https://www.climato-realistes.fr/activite-solaire-le-cycle-solaire-25-depasse-le-cycle-24/
Vous n'avez pas répondu: le réchauffement climatique est-il dû à l'activité humaine?
L'augmentation du CO2 suit l'augmentation de la T et pas l'inverse, ce qui met par terre les affirmations du GIEC.
@Dauphin
"Vous n'avez pas répondu : le réchauffement climatique est-il dû à l'activité humaine ?"
Je ne veux pas en rajouter sur cet inépuisable sujet, mais quel réchauffement ?
Avec les hystériques, il faut contester le présupposé : le 11 Septembre, où sont les avions ? Le Covid, montrez-moi le virus ! J'en ai d'autres comme ça, qui ont 80 ans mais dont il est interdit de parler !
Bonjour
Merci pour vos sources concernant le rayonnement solaire je vais regarder.
Il m'avait semblé avoir répondu sur le thème de la responsabilité de l'homme:
1 de façon simpliste: on a injecté dans l'atmosphère en moins de 200 ans du carbone qui a mis 300 millions d'années à s'enterrer.
2 Les simulations des modèles avec les injections de carbones faites par l'homme suivent les courbes de températures actuelles.
Les simulations des modèles sans les injections de carbones restent à des températures de 1.1 °C sous ce que nous connaissons actuellement.
Après vous en faites ce que vous voulez.
Pour les courbes de carbones qui suivent les courbes de températures lors des précédentes variations de climat:
Je prends le cas d'un refroidissement.
Les paramètres solaires diminuaient l''irradiation solaire. Ce qui provoquait un début de refroidissement du système terre atmosphère, en particulier des océans. (Via la persistance des la calotte polaire et l'augmentation de l'albedo )
Ce refroidissement des océans favorise l'absorption du CO2 par les océans. C'est pourquoi la courbe de température précède la courbe de co2. Cette baisse de CO2 diminuait l'effet de serre et on avait une boucle rétroactive qui accentuait le refroidissement.
Voilà très grossièrement le principe.
Je vais regarder vos documents
Permettez moi de vous faire suivre ce lien issu de la Boulder pour l'ensoleillement
https://lasp.colorado.edu/sorce/data/tsi-data/
Cordialement
Une dernière remarque:
Si les courbes de tempé relevées ne vous plaisent pas
demandez aux viticulteurs s'il n'y a pas de réchauffement: depuis les années 50 le début des vendanges est passé de début octobre à quasiment mi-aout, en particulier dans le Vaucluse
Merci pour le lien . Vous prenez le cas du refroidissement et baisse de CO2. En cas de réchauffement (par le passé les causes ne sont pas anthropiques) les océans libèrent le CO2 (et d'autres gaz dissous) et sa teneur augmente. Comment distinguez-vous ce CO2 en excès dû aux océans réchauffés du CO2 en excès que le GIEC attribue à l'activité humaine? Et quelle est la proportion relative. La combustion d'énergie fossile donne du CO2 avec les seuls isotopes C12 et C13. Or, on trouve toujours du C14 dans le CO2 mesuré que ce soit au-dessus des océans (normal, ils sont des réservoirs de C14) qu'au-dessus des villes industrielles (anormal, car il ne devrait pas y en avoir, le carbone venant de combustibles fossiles supposés sans C14) Réfléchissez à cette question.
Le GIEC commet un abus en attribuant tout l'excès de CO2 à l'activité humaine.
C'est une escroquerie.
@Dauphin
Veuillez m'excuser d'avoir interrompu le fil de la discussion; quelques jours de congés.
Je vais répondre d'une manière plus exhaustive à votre dernier post. Et ensuite je ferai un post de conclusion.
@Dauphin:
Commençons par des rappels.
1 - l'équilibre de dissolution du CO2 dans les océans dépend de la température de l'eau mais aussi de son acidité et de la pression partielle de l'atmosphère en CO2. Quand les océans sont plus chauds, l'équilibre est déplacé et la quantité de CO2 dissous est moindre. Plus il fait chaud et plus il y a de l'agitation moléculaire et plus le CO2 dissous dans l'eau a du mal à y rester. Logique.
Mais l'augmentation de la pression partielle en CO2 de l'atmosphère déplace l'équilibre dans l'autre sens. Plus il y a de molécules de CO2 dans l'air et plus il y en a qui se dissolvent dans l'eau. Rien de mystérieux.
Une partie du CO2 dissous réagit avec l'eau pour donner des ions H+ et des ions hydrogénocarbonates HCO3 - (impossible de l'écrire correctement directement dans zimbra) et des ions carbonates CO3 2-
Plus il y a de CO2 dissous et plus la réaction CO2 + H2O donne H+ + HCO3 - est décalée vers la droite (loi d'équilibre de Le Chatelier) donc cela consomme du CO2 dissous dans l'eau : c'est une boucle de rétroaction négative.
Comment tout cela fonctionne-t-il aujourd'hui :
Forçage = émissions anthropiques de CO2
rétroaction 1 : la pressions partielle atmosphérique en CO2 augmente donc déplacement de l'équilibre de dissolution vers davantage de CO2 dissous (rétroaction négative puisque cela réduit le CO2 atmosphérique)
rétroaction 2 : l'acidité augmente donc le CO2 dissous diminue donc davantage de CO2 atmosphérique passe dans les océans pour respecter l'équilibre de dissolution.
C'est bien ce qu'on observe : le pH a diminué de 0,1 unité depuis la période préindustrielle. Comme l'échelle pH est logarithmique, cela signifie 30 % de H+ en plus dans les océans.
Donc malgré le réchauffement actuel, les autres facteurs (surtout la pression partielle) font que la quantité de CO2 dissous AUGMENTE et non pas diminue à cause du réchauffement actuel !
Donc, aujourd'hui, il n'y a pas de CO2 en excès libéré par les océans.
Qu'attend-on pour l'avenir ?
L'effet prépondérant de l'augmentation de la pression partielle va continuer à faire que les océans vont absorber de plus en plus de CO2 atmosphérique d'ici la fin du siècle mais de moins en moins efficacement au fur et à mesure que les océans se réchauffent. Aujourd'hui, les océans et les terres absorbent 52 % du CO2 (dont 26 % par les océans) qu'on déverse année après année dans l'atmosphère. Dans un monde à +2 °C, c'est de moins en moins.
Si on regarde le total cumulé d'ici 2100, dans un monde à 1,5°C, c'est 70% du total du CO2 émis qui est absorbé par les océans+Terres .Ce n'est plus que 65 % et dans un monde à +4 ou +5 °C, ce n'est plus que 40 %.
Quand le forçage initial N'EST PAS une augmentation anthropique de CO2 alors le réchauffement des océans qui déplace l'équilibre de dissolution a tendance à faire augmenter la quantité de CO2 atmosphérique : boucle de rétroaction positive.
Ex. les sorties de glaciation depuis le début du Pléistocène il y a 2,6 millions d'années. Les paramètres astronomiques font que de temps à autres il y a un petit réchauffement. Ce qui provoque un réchauffement des océans, un déplacement de l'équilibre de dissolution et donc une augmentation du CO2 atmosphérique et dont cela accélère le réchauffement.
Sans les boucles de rétroactions positives comme le dégazage ou la fonte des glaces arctiques, on n'arriverait pas à sortir des périodes glaciaires : le forçage astronomique n'est pas assez fort pour cela. Comme le dit Gilles Ramstein, le paléoclimatologue, le forçage astronomique est la petite musique mais les boucles de rétractions sont la caisse de résonance sans laquelle il ne se passe rien.
Quand aux cas plus anciens, il sont à examiner au cas par cas. Lors de la crise du permien par exemple où 90 % des espèces vivantes ont disparu, il a eu des éruptions volcaniques pendant un million d'années. Cela a libéré de (vraiment très) grandes quantités de CO2. Les océans ont passé les 30 °C en T moyenne et cela a fait dégazer le CO2. On est bien au-delà des niveaux de réchauffement actuel. Cela a aussi déstabilisé les hydrates de méthane, provoqué des pluies acides qui ont éliminer une bonne partie de la vie sur Terre (ça et la température de 50 à 60 °C sur les continents).
On en n'est pas encore là.
C12, C13, C14
Le C12 et le C13 sont des isotopes stables du C. Le C14 est radioactif avec une période de demi-vie de 5 700 ans. Tous les 5 700 ans, la moitié du C14 dans un échantillon se désintègre. Au bout d'un certain temps, il n'en reste quasiment plus.
Charbon et pétrole, enfouis depuis des dizaines à centaines de millions d'années sont extrêmement pauvres en C14.
Le C14 se forme en permanence dans la haute atmosphère par bombardement d'atomes d'azote par des rayons cosmiques. Les centrales nucléaires au graphite et les explosions et tests de tous genres ont provoqué une augmentation brutale du taux de C14 dans l'atmosphère depuis les années 1950.
Vous dites " on trouve toujours du C14 dans le CO2 mesuré que ce soit au-dessus des océans (normal, ils sont des réservoirs de C14) " : cette assertion n’a aucun fondement scientifique. Le C14 se forme dans la haute atmosphère, il descend, s'oxyde en CO2 et une partie passe dans les océans sous forme dissoute. Pas plus ni moins de C14 dans l'atmosphère que dans les océans.
A ma connaissance, il n'y a pas de cartographie spatiale des concentrations en C14 sérieuse. Le brassage de l'atmosphère est trop rapide et les quantité trop faibles pour qu'on voit quelques choses.
Pouvez vous me montrer qu’il y a plus de C14 en ville qu’en campagne ?
Les plantes utilisent le CO2 pour la photosynthèse. De façon préférentielle, elles utilisent du C12 plutôt que du C13. Ne me demandez pas pourquoi. La proportion de C13 dans les plantes est donc moins importante que dans l'atmosphère.
Le charbon, le pétrole et le gaz naturel issus de plantes très très anciennes sont donc relativement plus pauvres en C13 et très très pauvres en C14. Quand on les brûle, l'atmosphère est donc enrichie en carbone contenant surtout du C12. La concentration en C13 et en C14 diminue donc année après année par effet de dilution.
C'est ce qu'on observe. Voir https://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosclim1/motscles/Images/carbone14.html Depuis le pic des activités nucléaires, le taux de C14 par rapport au C12 diminue et il diminue beaucoup plus vite qu'à cause de la décroissance radioactive. Le rapport C14/C12 diminue par effet de dilution. Le C12 augmente à tout vitesse mais pas le C14.
Si l'augmentation du CO2 atmosphérique était d'origine volcanique, le rapport C13/C12 dans l'atmosphère serait plus élevé. C'est bien du carbone d'origine vivante qui est brûlé.
Pourriez vous me prouver que le taux de C14 plus important en villes et quel rapport avec le sujet ?
Pourriez vous m’expliquer d'où vient le CO2 s'il ne vient pas de la combustion des combustibles fossiles ainsi que la baisse du taux de O2 dans l'atmosphère ? O2 qui sert à bruler les combustibles fossiles.
Le gaz c'est CH4
La combustion du méthane CH4 + 2O2 donne CO2 + H2O
Le charbon, c'est du carbone la combustion c'est C + O2 donne CO2.
L'essence c'est essentiellement de l'iso-octane C8H18 La combustion : C8H18 + 25/2 O2 donne 8CO2 + 9H2O sauf erreur de calcul.
On connaît les consommations mondiales :
Pétrole : 4221,4 millions de tonnes par JOUR !
Gaz : 4036.9 milliards de M3 en 2021
Charbon : 167.58 exajoules (trop de différences entre les qualités de charbon pour se contenter des tonnes)
Ces chiffres sont issus du rapport annuel de BP Voir le site https://www.bp.com/en/global/corporate/energy-economics/statistical-review-of-world-energy.html
Quelques ordres de grandeurs :
Combustion des combustibles fossiles : 35-36 Gt de CO2 chaque année, en augmentation constante. En 2022, nouveau record d'émissions.
Changement d'usage des terres environ 4-5 Gt de CO2 par an.
Volcanisme : bon an mal an 0,1 Gt de C soit 10 fois moins que les émissions des zones humides.
émissions des océans. Elles sont négatives puisqu'ils absorbent du CO2. Environ 26 % du total émis dans l'atmosphère. Le flux naturel serait des émissions de 0,7 Gt de C (pas de CO2) par an mais les modifications anthropiques du cycle du carbone font que les océans absorbent 2,3 Gt de C +/- 0,7 Gt. Le bilan final est une absorption. L'augmentation de pression partielle est l'effet qui domine en ce moment. Les océans sont des puits net de carbone.
@Dauphin:
Post de conclusion:
A travers ces post, j'ai surtout cherché à dire qu'il ne fallait pas confondre hystérie médiatique et réchauffement climatique (RC).
Y-at-il un complot concernant le réchauffement climatique ?
Cela supposerait la complicité de centaines de milliers de personnes sans que jamais personnes ne fasse défection.
Tout le monde serait complice, les climatologues mais aussi les agronomes, le chimistes, les pétroliers, les gaziers, les océanographes, les glaciologues, les biologistes, tous les services méteo du monde qui relèvent la température,les vulcanologues...
ça fait beaucoup !
Autre point, dans ses deux premiers volets, le GIEC ne fait que compiler la science de son temps. Le GIEC ne dit rien de neuf. Le GIEC rapporte les travaux des scientifiques de par le vaste monde.
En tout cas, je vous souhaite une bonne continuation dans votre recherche de ce qui est vrai.
Bien cordialement
Macron, sors de ce corps !
@Yann Merci, ce que vous dites du CO2 est exact, mais vous négligez l'ordre de grandeur de l'influence du CO2 comparée à celle de la vapeur d'eau (cycles condensation-évaporation qui sont auto-régulants). L'influence du CO2 est négligeable dans l'augmentation de température. Et la biomasse se charge de réguler tout cela, avec l'effet réservoir des eaux.
Conclusion: l'augmentation observée de température moyenne n'a rien à voir avec une quelconque activité humaine et elle est d'origine solaire.
Déjà en 2005 les magouilles du GIEC étaient dénoncées par quelques membres éminents et ils étaient nombreux.
Par exemple:
https://www.agriculture-environnement.fr/2005/03/05/demission-fracassante-au-giec
Un petit extrait que je cite: "Le Dr Landsea estime ainsi qu’« en toute bonne foi, [il] ne peu[t] donc pas continuer à contribuer personnellement à un processus qu'[il] considère comme motivé par des préjugés et comme scientifiquement non-fondé. » Par son éclat, l’action du Dr Landsea fait resurgir un problème soulevé auparavant par le climatologue australien John Zillman, membre durant de nombreuses années du bureau du GIEC. Ce dernier avait fini par affirmer que le GIEC avait de plus en plus « un rôle de soutien à un processus politique, au lieu de celui d’expert technique. »fin de citation. Et les Dr Landsea et Zillman, tout comme Leroux n'étaient pas n'importe qui.
Et si vous faites des recherches biblio vous en trouverez des milliers. Ce qui fait tomber votre argument puéril et théâtralisé de votre post de conclusion. Il ne suffit pas de lancer tous les médias à la chasse des sceptiques pour les faire taire.
Et la "crise" covid montre qu'effectivement presque TOUS les politiques, journalistes, médecins, hommes d'église, élites, peuvent tomber dans l'hystérie catastrophiste et devenir complices des pires saloperies ("vaccination" avec des non-vaccins, mixtures expérimentales non testées). Avec le GIEC c'est pareil. Le GIEC compile des résultats, mais il en publie sa propre interprétation, voilà où se trouve le problème. Un très faible pourcentage de manipulateurs qui embobine une forte majorité, face à un faible pourcentage d'opposants dénonciateurs de la manipulation. Vous vous situez dans lequel de ces 3 groupes, Yann?
Bientôt les mêmes vont nous effrayer avec une imminente invasion d'extraterrestres chassés de leurs planètes par une augmentation de 2 °C de leur température.