Vladimir Poutine a placé les filiales russes de Danone et de Carlsberg sous la « gestion temporaire » de l’agence des participations de l’Etat, puisqu’il n’y a toujours pas de repreneurs russes.
Danone, c’est aussi Activia, Actimel, Silk, Volvic, Evian, etc. En Russie 95% de son chiffre d’affaires était réalisé sur les produits laitiers depuis le rachat en 2010 de la firme russe Unimilk, la deuxième entreprise privée du secteur. Danone, c’est en Russie une douzaine d’usines et 7.000 salariés.
Si l’expropriation devenait définitive, Danone perdrait non seulement toute perspective en Russie pour les beaux yeux de la politique russophobe, mais 1 milliard d’euros, soit l’équivalent de tout son bénéfice mondial de l’an dernier.
Commentaires
Comme la plupart des multinationales pourries jusqu'au trognon, Danone et ses sous-marques font la promotion des PD's.
Je me réjouirai quand ils se casseront la figure. Et on fera nos yaourts-maison nous-mêmes avec du lait non empoisonné des pesticides.
Un milliard d'euros par jour, c'est ce qu'a coûté à la France le pseudo-covid géré par Micronus Alanus Bubulculus. En revanche les GAFAM, banque Rothschild, BlackRock et apparentés se sont enrichis comme jamais aucun groupe de riches oligarques dans toute l'histoire humaine.
Aujourd'hui on s'apprête à exproprier les Français, pour rembourser Rothschild et BlackRock. D'accord avec Dauphin : le sort des multinationales de l'agro-alimentaire, qui font travailler des enfants esclaves sur les plantations de cacao ivoiriennes ou nous vendent des yaourts remplis de probiotiques normalement destinés à engraisser les porcs (les "fameux" Activia que les mamans sont ravies de payer plus cher pour la santé de leurs enfants), ce sort ne m'importe pas.
Excellent ! Qu'ils perdent leur fric ces cons-là !