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Décès mystères

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Il y a eu 53.800 décès de plus qu’attendus en 2022, nous dit l’INSEE.

Et de mettre en œuvre des trésors d’imagination pour l’expliquer.

Mais aucune explication n’explique l’énorme surmortalité des moins de 34 ans. Surtout pas la dernière, indiquée en désespoir de cause : « une pause dans la tendance à la baisse de la mortalité à chaque âge ». Les jeunes avaient oublié de mourir, ils ont dû se rattraper…

Car il n’est évidemment pas question d’évoquer les injections de produit à ARN.

Et ces imposteurs ne considèrent même pas le fait que la surmortalité des 15-34 ans soit plus forte que celle des plus de 95 ans !

Commentaires

  • C'est bien, de relayer ça. On est dévasté, désolé, effondré face au mensonge médiatique qui a rendu possible cet empoisonnement de la population par une autorité politique dévoyée. On s'explique mal que responsables et complices n'aient pas encore été passés par les armes.
    On en est à se demander si, la police continuant de bien vouloir servir le régime, même un retournement complet des médias permettrait d'abattre nos tyrans assassins. Pas sûr !
    Tout à l'heure, j'expliquais le suffrage proportionnel à mes élèves de troisième : j'écris des noms de partis au tableau avec le pourcentage d'électeurs et je m'arrange pour terminer la liste avec le parti Renaissance de Macron à 1 %. Sauf que je m'étais trompé dans mes calculs : il restait 11 % et non pas 1 % des voix. Un élève me fait la remarque et je rajoute un 1 devant le 1 pour faire 11%. Les élèves, presque tous, se mettent à huer : "Non, pas lui ! Pas 11 % pour Macron !"
    En soi, c'est assez joyeux, mais qu'est-ce qu'on peut faire ?

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