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Dr Greta

La faculté de théologie de l’université d’Helsinki décerne huit doctorats honoraires, à six professeurs d’université, un dirigeant de la Fédération luthérienne mondiale, et à… « Greta Thunberg, activist ».

Explication :

« La faculté de théologie étudie les questions centrales de l’humanité. Les plus grands espoirs et les plus grandes craintes. Les plus grandes menaces actuelles, telles que le changement climatique, la disparition de la nature et les guerres, sont des problèmes créés par l’homme. »

Avant, on disait que dans théologie il y a Theos, Dieu, et que la théologie s’intéresse donc à Dieu. Mais ça c’était avant. Aujourd’hui la théologie consiste à réciter le dogme de la religion climatique (sans Dieu).

Greta était en fait déjà docteur, de l’Université de Mons en Belgique (2019). Mais c’était un titre de « docteur honoris causa » générique, qui est décerné un peu à n’importe qui pour n’importe quoi (même Salvatore Adamo en est titulaire).

Commentaires

  • théologie protestante....ceci l'explique un peu !
    Ce serait catholique, les bras m'en tomberaient !

  • Bergoglio veut ratrapper le temps perdu et dépasser les protestants dans leurs insanités.

  • Celle qui a reçue son diplome à sa place, ce doit être celle qui la suit comme son ombre. Dès qu'une question gênante est posée au perroquet, elle enlève son bonnet, j'ai pas dit benêt, et cette dame intervient immédiatement pour mettre fin à l'entretien.
    Il existe un reportage de Quotidien je crois que je ne retrouve pas ou on voit bien cette situation.
    Elle n'a pas finie sa scolarité, est partie dans le militantisme portée par ses parents et un millionnaire suédois pour combattre sa dépression, et sert de caisse de résonance à des discours qu'on lui a mis dans la tête.
    Elle pourrait, à la limite, recevoir un diplôme de ventriloque.
    https://www.youtube.com/watch?v=Fti3-d04Fys&ab_channel=LeHuffPost

  • Quand Bébert prend le clavier c'est toujours long comme lacune.

  • Ou ### comme la lune

  • La faculté de théologie de l’université d’Helsinki fait de la "climato-théologie" panthéiste nous dirons naturaliste. Tout à fait en équation avec la mentalité de ce pays. Pour info:Le Nouveau totalitarisme (Suède). Huntford Roland. Fayard
    P217 : « En ce qui concerne la religion, le seul point de vue acceptable pour les intellectuels suédois est l'athéisme. On estime qu'aucune personne sensée ne peut sérieusement parler de religion. Par conséquent, on n'en parle pas. On considère que les livres sur la religion sont invendables de fait il n'en parait pour ainsi dire aucun. Teilhard de Chardin n'est pas traduit en suédois... ». C'est peut-être la seule langue dans laquelle il ne soit pas traduit !

    P 228 : La famille et la sexualité. Le mot « liberté » qui n'a plus guère de sens en Suède dans le domaine intellectuel et politique retrouve toute sa vigueur dans le domaine des mœurs. De même que « sécurité » est le credo de la politique, « liberté » est celui du sexe.
    En fait, cette liberté est, elle aussi, plus ou moins obligatoire. Et d'abord, comme le reste, elle fait l'objet d'une éducation systématique, à l'école, bien entendu, puis dans la vie.
    La R.F.S.U, Association nationale pour l'Éducation sexuelle est une « organisation corporative » dont la triple mission est « la diffusion de la technique érotique, celle du contrôle des naissances et les modifications de la morale ». Il s'agit moins de permissivité que de contrainte sociale. « Les écoliers suédois se sentent poussés à avoir des rapports sexuels, qu'ils le désirent ou non. Un garçon et une fille qui auraient peut-être préféré des relations platoniques se forceront au besoin pour les faire passer sur le plan sexuel. Telle est la coutume dans leur société et ils ont secrètement peur de ne pas être normaux s'ils ne couchent pas immédiatement ensemble ». Inutile de dire que la pilule est partout, sans parler des autres moyens contraceptifs, car deux précautions valent mieux qu'une.
    L'avortement, très libre, est le garant ultime de l'émancipation sexuelle. Le mariage existe encore mais est en recul. « La nouvelle législation, qui doit entrer en vigueur incessamment, n'a plus aucune infrastructure morale. Le mariage sera un simple contrat, que les signataires pourront établir ou résilier à volonté par une simple formalité administrative » (p. 238).
    Et la famille ? L'auteur n'en parle pas. Elle doit être le résidu naturel de cette planification des mœurs.

  • " Le mariage sera un simple contrat" Pourquoi "sera"? Dans le protestantisme, le mariage a toujours été un contrat résiliable à volonté. Et le luthéranisme était religion d'état jusqu'en 2000.

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