Le gouvernement hongrois fait savoir qu’il n’arrêterait pas Vladimir Poutine s’il venait dans le pays, parce que « nous n'avons pas les lois nécessaires pour arrêter le président russe ». En outre ce mandat d’arrêt de la CPI est « regrettable », parce qu’il va « dans le sens de l'escalade plutôt que dans celui de la paix ».
Le ministre des Affaires étrangère d’Afrique du Sud confirme que Poutine est invité au sommet des BRICS l’été prochain à Durban. « Un mandat d'arrêt peut être une source d'inquiétude, mais pas dans ce cas. »
Commentaires
Tiens stravromachin a rejoint theotruc.
Ces discussions me semblent insensées tant il semble évident qu'un chef d'État en visite protocolaire est protégé par son statut diplomatique. Certes c'est la théorie que l'histoire a vue bien souvent bafouée, mais je doute de voir Poutine se rendre dans un pays capable d'une telle forfaiture depuis leur virage stratégique (exit l'occident collectif).