Finalement la conférence des présidents des groupes du Parlement européen renonce à interroger publiquement Ursule sur les contrats de 35 milliards d’euros de vaccins Pfizer. Elle viendra seulement à une très discrète audition devant les seuls présidents de groupes, à une date qui n’est pas fixée…
C’est un désaveu cinglant de la commission spéciale sur le covid.
Pour faire bon poids, la conférence des présidents (ou faut-il dire le soviet mafieux ?) a décidé le même jour de ne pas révoquer l’accès des lobbyistes de Pfizer au Parlement européen.
C’est un second désaveu cinglant de la commission spéciale sur le covid.
Le PDG de Pfizer Albert Bourla a fait faux bond deux fois à la commission spéciale qui l’avait officiellement convoqué. Mais il a donc toujours ses entrées au Parlement. Normal, ça ferait de la peine à Ursule qu’ils ne puissent plus s’enlacer amoureusement.
Bref, le Parlement européen se déshonore une fois de plus. Il est vrai que c’est sa marque de fabrique, et qu’il a donc une réputation à tenir.
Commentaires
Le Politburo et le Soviet suprême étaient des institutions démocratiques à côté de ces deux merdes que sont la Commission et le Parlement européens. Au moins n'étaient-elles pas aussi ouvertement, cyniquement et puamment corrompues par les lobbys mondialistes.
Quant à l'abominable Ursule, j'espère qu'elle finira comme Beria. Quoique mes goûts aillent davantage au lynchage, façon Bernard-René Jourdan de Launay.