Hier, un « touriste américain », comme disent les gazettes israéliennes, a pénétré dans le sanctuaire de la Flagellation, sur la Via dolorosa, à Jérusalem, est allé dans la chapelle de la Condamnation, a renversé la statue du Christ et lui a frappé la tête à coups de marteau. Arrêté par la police, il a crié : « Il ne peut y avoir d'idoles à Jérusalem, qui est la ville sainte. » Puis il a été conduit à l’hôpital pour une « évaluation psychiatrique », puisque bien sûr, là-bas comme ici, il s’agit de « déséquilibrés » : chez nous musulmans, chez eux israélites.
L’agence Fides ajoute :
« Dans le même temps, il convient de rappeler que ces dernières semaines, les quartiers chrétiens et arméniens de la vieille ville de Jérusalem ont été le théâtre d'une série d'actes d'intimidation à l'encontre des personnes et des lieux de culte, tandis que le bilan tragique des victimes de la chaîne de raids, d'attaques et de représailles qui se poursuit depuis des mois dans les territoires palestiniens occupés et en Israël s'alourdit de jour en jour. (…)
Les incidents de violence et d'intimidation à l'encontre de cibles chrétiennes dans la vieille ville de Jérusalem ont grimpé en flèche depuis le nouveau gouvernement israélien, dirigé par Benjamin Netanyahu et également soutenu par des formations religieuses ultranationalistes poussant une rhétorique anti-arabe.
Une grande partie de la récente vague d'actes de violence et d'intimidation a visé des lieux et des habitants du quartier arménien. Le 11 janvier, des inscriptions intimidantes sont apparues sur les murs des bâtiments du quartier, notamment les slogans "mort aux Arméniens" et "mort aux chrétiens". Le 26 janvier, une équipe d'une quarantaine de colons juifs a fait une descente dans un restaurant arménien près de la Nouvelle Porte, en criant des slogans sacrilèges contre Jésus. Les jours suivants, des prêtres et des laïcs chrétiens ont été attaqués avec des crachats et l'utilisation de gaz poivré dans les rues du quartier arménien.
Commentaires
Le Talmud ne mentionne que rarement le Christ. Son nom le plus ancien dans ce tissu d'obscénités et de prescriptions grotesques est Ben Pandera (le Fils de la Panthère), par déformation moqueuse du grec parthenos. Ce Ben Pandera est condamné à passer l'éternité dans un chaudron d'excréments bouillants (traité Gittin, folio 57a). Si quelqu'un veut connaître la cause de ce curieux châtiment, eh bien il s'agit des excréments de ses disciples (attaque directe contre l'Eucharistie).
Le scénariste des Enchaînés et de La Chevauchée fantastique (d'après le Boule de Suif de Maupassant), deux des plus grands films de tous les temps, tournés par deux cinéastes catholiques (Hitchcock et Ford), s'appelait Ben Hecht. En privé, Ben Hecht disait que le Sanhédrin aurait dû condamner Jésus à être dévoré par les chiens car personne n'aurait eu l'idée d'adorer "un morceau de viande hachée".
Ce sont là nos bons amis et nos "aînés dans la foi".
nos "aînés dans la foi"., oui, comme Caïn était l'aîné d'Abel.
C'est exactement ça le Talmud.
Justifier de n'avoir pas accueilli leur Messie, avoir fui la terre sainte après la destruction du Temple en 70 et la disparition des grands prêtres. Réécrire la Torah pour laisser des commentaires de commentaires aux générations de juifs dont l'obsession était de faire persécuter les disciples du Christ partout ou ils se trouvaient, d'influencer les pouvoirs pour l'intérêt et leur communauté, et vivre à part pour ne pas s'assimiler, ce qui est pire aux yeux des rabbins que la haine des juifs puisque celle-ci rapproche de leur communauté quand l'assimilation en éloigne,
Il y a un ouvrage, "le Talmud dévoilé" écrit par un pseudonyme d'un prêtre, sédévacantiste il semblerait, qui développe point par point la teneur de cet énorme ouvrage de 27 tomes en de multiples versions dont nombre n'existe pas en version française. L'avantage du Talmud c'est que ce n'est pas du texte doctrinal pur, mais du commentaire sans fin et donc explicite comment comprendre et pratiquer la loi.
Comme le coran et les hadiths, il faut en lire des études critiques. Un prêtre catholique en avait fait une bonne étude au début du 19eme siècle.
http://www.gpsdf.org/religions/le%20Talmoud%20de%20Babylone.pdf
C'est une remarque très profonde. Du reste, l'Ancien Testament fait souvent un triste sort aux aînés : Caïn, mais aussi Ismaël, Esaü, Ruben et quelques autres. Ces aînés que les musulmans aiment bien, ce qui donne raison à Houellebecq.