Le tribunal administratif, saisi par la Ligue des droits de l’homme contre Dieu, a décidé sans surprise que le Pessebre, la crèche de Noël catalane installée dans le patio de la mairie de Perpignan, devait être démontée. Au nom de la laïcité, il n’y a pas de place pour Marie, Joseph et l’Enfant dans les lieux publics en France. Même décision que les années précédentes, notamment pour Béziers, où Robert Ménard s’est exécuté. Mais à Perpignan, et c’est une première depuis le début de l’affaire des crèches, Louis Aliot a décidé que la crèche resterait jusqu’au 2 janvier comme prévu.
Il faut dire qu’il a l’appui de tout le conseil municipal, qui a en effet voté à l’unanimité, le 17 décembre, une motion de sauvegarde du Pessebre. Chantal Bruzi déclarait au nom de l’opposition : « Nous allons vous soutenir dans le cadre de cette motion. Tout simplement parce que nous avions nous-mêmes à l’époque installé la crèche, que ce soit à la mairie ou à l’ancien Mess, à la Casa Payral ou au musée d’art contemporain. Parce que nous considérons que cela fait partie de notre culture et nous devons le maintenir. »
Et des Perpignanais se sont manifestés pour participer au versement de la pénalité de 100 € par jour décidée par le tribunal.
Commentaires
Le pouvoir judiciaire en France est pourri jusqu'au trognon car les juges, gauchistes dans leur majorité fréquentent les mêmes loges que les "élites de la libre pensée" ou même en font partie.
Libres-penseurs!! Laissez-moi rire, ni libres, ni penseurs, juste obsédés par leur rage anti-chrétienne. Des emmerdeurs, comme Macron qui veulent empêcher les autres de vivre.