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Civilisation

J’apprends qu’il y a à sciences Po un professeur de danse de salon… Lequel est une femme, qui vient de se faire virer pour « discrimination » parce qu’elle tenait à faire danser des couples « homme-femme » et refusait de changer pour « leader-follower » qui permet des couples de même sexe.

« Ils ont remplacé les termes "homme-femme" par "leader-follower". J'ai continué à dire "homme" et "femme". Un élève a porté plainte. La direction m'a dit que je devais m'excuser ou partir », confirme-t-elle sur CNews. Et elle ajoute : « Je suis fière d'être femme. Avec ces théories, on est en train de bousiller la femme, elle ne va plus exister. » Et le wokisme s'étend à tout : « Une pianiste me dit que c'est en train d'arriver dans le piano parce qu'il y a plus de touches blanches que de touches noires. »

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En Belgique, la nouvelle version du « Guide d’Education à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle », utilisé dès la maternelle, explique :

Dès 5 ans, prendre conscience que son identité de genre peut correspondre ou ne pas correspondre à celle assignée à la naissance. Dès 9 ans, âge où se produit la grande partie du développement pour les corps mâles et les corps femelles, la notion de transgenre apparaît. Il s’agit d’informer l’enfant sur la possibilité de prendre des hormones ou de recourir à des opérations chirurgicales.

Le guide prévoit aussi de sensibiliser l’enfant, dès 9 ans, à la liberté de choisir son, sa ou ses partenaires. Et toujours à 9 ans, reconnaître que les partages de "sextos" ou de photos de "nudes" peuvent être excitants et être source de plaisir. Se sentir ainsi libre d’en envoyer dans le consentement.

Le guide est orné notamment du logo de la « Fédération des associations de parents de l’enseignement officiel ». « C’est un très bon guide. C’est clair que tout le monde ne partage pas cette vision, mais il est grand temps que ces formations prennent en compte les problématiques actuelles », dit Véronique De Thier, la responsable politique de Fapeo.

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La pièce « Pour un temps sois peu » a été annulée à Paris sous pression du lobby trans qui ne supportait pas que le personnage trans soit interprété par un acteur non trans.

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Des ateliers de lecture destinés aux enfants et animés par des drag-queens sont organisés depuis quelques années dans des bibliothèques et centres de loisirs municipaux. Prochaine "Lecture Drag" à Toulouse le 18 février 2023 à la bibliothèque municipale José Cabanis.

A Toulouse aussi à la libraire l’Ombre blanche.

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A Bordeaux, espace Saint-Rémi.

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A Paris, bibliothèque Louise Michel.

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Etc.

Mieux encore : à Bordeaux, le 11 décembre, une « cabaret baby party » réservée au 0-3 ans, avec une drag-queen vedette. Subventionné par la mairie.

Commentaires

  • Valaud Belkacem avait pourtant expliqué que la théorie du genre n'existait pas...

  • Cete femme, quoiqu'elle fasse ou pense par ailleurs, est courageuse.
    Plus que beaucoup de gens de droite, d'élus et de grands esprits qui n'ont pas le courage de nommer les choses par leur nom.

  • Bon, on va espérer que sur les zéro -3ans, il y ait zéro souvenirs plus tard …

  • Même les meurtriers endurcis s'en prennent aux pédomanes en prison. Il est heureux, en un sens, que les sodomites s'en prennent aux écoles maternelles et viennent faire des animations pour enfants déguisés en femmes dans les bibliothèques. C'est comme le sang coagulé des victimes du "vaccin" : on tire sur un vaisseau et toute la m... vient. Aucune société ne peut tolérer un pareil scandale et y survivre. Il est vrai que la nôtre n'y survivra pas, n'y a dores et déjà pas survécu.

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