Le sénateur et docteur Alain Houpert a été condamné par la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins de Bourgogne Franche-Comté à l’interdiction d’exercer la médecine pendant 18 mois, dont 9 avec sursis. Son crime : avoir osé critiquer la dictature « sanitaire ». Il faisait l’objet de quatre plaintes, dont une du Conseil national de l’Ordre des médecins et une de « l’Union française pour une médecine libre » (sic), et devra verser 2.00€ à chaque plaignant.
Avant-hier, l’avocat Fabrice Di Vizio a été condamné par le Conseil de l’Ordre des avocats à six mois d’interdiction d’exercer avec sursis. Pour le même motif. Aujourd'hui il a twitté:
Commentaires
Un siècle et des bricoles consacrés par la Bête animée (et qui parle !) à combattre la vérité connue. On en arrive à de curieux extrêmes : les voyous en liberté, les innocents en prison, les dingues consultants au JT de vingt heures, experts du Covid avant de l'être de la guerre en Ukraine, les criminels à l'Elysée, les "hommes" enceints, etc.
On n'a jamais vu ça. M'étonne l'optimisme inexpugnable d'un Alexis Cossette, d'un Christian Combaz ! Ça va bientôt s'arrêter, les gars ! Si, si ! Les gens prennent conscience ! Trump va revenir au pouvoir ! Poutine va nous aider ! Les camionneurs bloquent le Brésil ! Marine Le Pen est un génie !
Les verdicts de ces chambres disciplinaires fantoches dépendent du nombre de franc-macs qui la composent. Pour un des plaignants "le conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom)", c'est 99%. Le professeur Perronne à été blanchi (le CNOM fait appel), pourtant il en a dit autant que Martine Wonner ou le Dr Houpert. Les dictateurs n'aiment pas ceux qui mettent en lumière leurs saloperies. Vu leur comportement, la majorité des médecins ont été des collabos. Donc un ordre de médecins collabos a perdu sa légitimité.
CNOM= collectif des névrosés et obsédés médecins.