La Comece, c’est la commission des épiscopats de la communauté européenne (on ne leur a pas encore dit que depuis 1993 c’est l’Union européenne…). Les évêques sont donc préoccupés par la crise énergétique. C’est en effet une réflexion originale qui les distingue fortement des autres institutions, et qui a en outre une forte plus-value évangélisatrice.
L’article est illustré par une photo d’un cimetière de soldats ukrainiens. Pour souligner que la crise énergétique c’est la faute de la Russie qui tue tout et tout le monde.
Donc les évêques n’ont pas vu non plus que la crise est due uniquement aux sanctions aberrantes contre la Russie, et non à la Russie.
La Comece remportera peut-être le premier prix du conformisme, mais elle fait surtout une fois de plus la preuve qu’elle ne sert à rien, sinon à en rajouter dans le mensonge officiel. Heureusement, personne n’écoute ce qu’elle dit.
Commentaires
Ils n'ont pas changé de sigle car cela ferait COMEUE, meuh, meuh, comme des bovins qu'ils sont. Les plus inquiets sont les évêques allemands, leurs grosses berlines (fabriquées à Berlin) consomment beaucoup et leurs palais épiscopaux trop chauffés.
Pour la com-machin, la remarque sur son inutilité est finement observée.
Le tri des ordures ménagères, l'accueil des migrants, le réchauffement climatique, le covid, la crise énergétique...
"Bénissez-moi mon Père, car j'ai péché. La semaine dernière j'ai mis mes bouteilles vides dans le récipient pour le recyclage du verre sans en retirer les bouchons. Je n'ai rien donné aux respectables nord-Africains qui viennent en bande bousculer un peu tout le monde à la sortie de la messe. J'ai pris ma voiture diesel pour aller embrasser ma grand-mère, alors que je n'ai même pas reçu ma quatrième dose. Je prends un bain chaud tous les deux jours, au risque de priver les nazis ukrainiens de canons César."
"Je vois, mon fils, que vous avez des bas résilles, une muselière et une laisse pour chien. Vous êtes venu, samedi dernier, à la bénédiction ?"
"Je préfèrerais que vous m'appeliez mon fille ou ma fils, si ça ne vous dérange pas. Je suis du genre indéterminé."
"Bien, je vais vous donner l'absolution. Servez-vous en préservatifs à la sortie : ils sont dans le bénitier, entre l'hydrogel et le distributeur de masques. Et pour pénitence, vous irez rapidement recevoir votre quatrième dose !"