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Au Chili

Il y avait un « plébiscite » hier au Chili pour plébisciter la nouvelle Constitution concoctée par la gauche, destinée à remplacer l’horrible Constitution de l’infâme dictateur Pinochet qui était toujours en vigueur.

Une Constitution pleine de « droits », y compris à la santé (ah, ah, ah), au logement décent, bien sûr à l’avortement et à l’euthanasie, et qui protège la « famille » surtout LGBT, et pose en principe l’idéologie du genre.

Les évêques avaient pondu un document mi chèvre mi chou, appelant au « discernement » jésuito-bergogliesque, en soulignant les bons côtés, dont beaucoup de « droits » et la « protection de l’environnement et de la nature », mais critiquant le droit à l’avortement et à l’euthanasie et les limites au droit des parents à l’éducation, et à la liberté religieuse.

La Conférence des religieux et religieuses avait ensuite publié un texte où les critiques épiscopales étaient passées sous silence. L’appel à voter oui était très clair.

Eh bien les Chiliens ont dit non. A 62%.

Commentaires

  • 2 évêques avaient été clairs

  • Participation 87 % des électeurs (vote obligatoire). Et grosse surprise pour la gauche au pouvoir, les régions à majorité indienne ont voté pour le refus à plus de 80 %. La gauche avait mis quelques articles en faveur des indiens, mais à la mode USA, sans aucune délégation de pouvoir aux indiens. Les indiens ne sont pas tombés dans le panneau.
    Quand le peuple vote mal , on trouvera un moyen, comme dans les "démocraties" occidentales, de contourner cet échec.

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