Les pompiers français doivent lutter contre de graves incendies en plusieurs régions et ne sont pas assez nombreux.
Evidemment, on en a suspendu plus de 5.000 parce qu’ils n’avaient pas voulu se faire injecter le produit anti-covid.
Des voix se sont élevées pour demander qu’on les réintègre en urgence – parce qu’il y avait, vraiment, le feu…
Pas question, a dit le chef des pompiers, un certain Norbert Berginiat, qui restera dans l’histoire comme un de ceux qui n’ont pas fini de tourner en orbite.
« Déjà que l'on est en déficit collectif, si on a une épidémie parmi nos sapeurs-pompiers, ce sera une grosse catastrophe. Réintroduire des gens non-vaccinés, c'est prendre le risque de mettre à plat notre capacité d'intervention », a-t-il dit.
Au passage on se demande à quoi sert la « vaccination » si le moindre contaminant peut tout « mettre à plat »…
Alors, puisqu’on était réellement en sous-effectif, on a fait venir des centaines de pompiers étrangers. A qui on n’a pas demandé de passe vaccinal. Nombre d’entre eux – ceux qui viennent de pays où ce n’est pas obligatoire - n’ont pas reçu d’injection.
Si l’on suit Ubu Berginiat qui les a fait venir, ces étrangers pouvaient contaminer nos pompiers et mettre à plat leur capacité d’intervention…
Une preuve de plus, s’il en fallait, que tout cela n'a rien à voir avec la santé.
A propos, le monsieur, ci-dessous, c’est le ministre américain de la Défense. Il a subi quatre injections, on voit comment il observe les fameux gestes barrières, et c’est la deuxième fois cette année qu’il est malade du covid.
Commentaires
On est sûr que ça n'est pas une photo retouchée ???
Tout ça est parfaitement normal.
LLoyd Austin : [tttttschhhhh !] "Joe, I'm your father !" [ttttschhhh !]
Biden : "Yeaaaaaaah !"
Je n y comprends pas grand chose mais j ai noté que la communauté des fiertés est très sensible au covid (peut être parce que les malades du sida font parti des personnes vulnérables?) Et très favorable à la vaccination. Et très influente au sein du parti démocrate américain et de LREM.
Bon Florian philippot donne un contre exemple je le reconnais.
Nos dictateurs sont des nihilistes. Plutôt brûler que ré-intégrer les non-inoculés, plutôt crever aux urgences que réintégrer les soignants non intoxiqués avec leur saloperie. (enfin pas pour tout le monde, les "élites" ont droit à leur sérum physiologique)
Le père Ubu est battu !
Le monsieur avec son masque sous une visière est victime d'un reflet qui le fait ressembler à un méchant gorille de La Planète des Singes. Je n'ai pas lu le roman de Pierre Boule, mais je vais m'y mettre. Pour la saga cinématographique, le film de 1968, dû à Franklin Schaffner, est de la belle ouvrage avec un final qui compte parmi les plus réussis de toute l'histoire du cinéma.
Dans la vraie vie, les chimpanzés sont beaucoup plus agressifs et dangereux que les gorilles. Il y a vingt ans, j'ai visité un zoo près de Nagoya où il y avait une quinzaine de ces animaux dans une fosse qui jetaient des pierres en direction des visiteurs. Si quelqu'un était tombé dans la fosse, il aurait sûrement été dépecé comme Launay après la prise de la Bastille. Alors qu'il y a des histoires de mamans gorilles prenant soin d'un petit d'homme que sa mère négligente (style Anne d'Autriche ?) avait laissé tomber par-dessus la balustrade.
La Planète des Singes, c'était de la science-fiction en 1968. Aujourd'hui, une humanité décérébrée gouvernée par des chimpanzés est devenue notre réalité. C'est assez logique : le bébé chimpanzé marche sur ses membres postérieurs, tandis que le bébé humain marche à quatre pattes. Attendu que l'ontogenèse récapitule la phylogenèse, cela signifie que c'est le singe qui descend de l'homme et non pas le contraire. Je peux expliquer ça. Pierre Boule en tout cas était un visionnaire.
Pierre Boulle (et non Boule, pardon...), ici interviewé par Pierre Desgraupes, évoque la Bourse de Paris, le milieu politique et les tribunaux, trois espaces où les hommes se comportent comme des singes :
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i14190311/pierre-boulle-la-planete-des-singes1ere-partie