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Genre

Le délire du genre a atteint l’OMS. Dans le cadre de la mise à jour de son manuel, l’Organisation mondiale de la Santé indique vouloir aller « au-delà » des « termes binaires », pour « reconnaître la diversité sexuelle et de genre ». Car « le sexe ne se limite pas à l’homme ou à la femme ».

Il y a tout de même des réactions. « C’est un rejet de la biologie de base – et une erreur », dit le professeur Jenny Gamble, spécialiste en obstétrique à l’université de Coventry. « La biologie est un facteur déterminant de la santé et de la maladie. » « Cette annonce n’est pas scientifique », dit simplement le Dr Karleen Gribble, spécialiste des soins infirmiers et d’obstétrique à l’université de Western Sydney.

Mais l’OMS va encore plus loin : elle a également déclaré qu’elle allait développer le concept d’« intersectionnalité », « qui examine comment les dynamiques de pouvoir liées au genre interagissent avec d’autres hiérarchies de privilèges ou de désavantages, entraînant des inégalités en matière de santé »…

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L’archéologie et la médecine légale sont désormais dans le collimateur des idéologues du genre. Car l’un des acquis de ces disciplines est de pouvoir déterminer le sexe des individus, même quand il ne reste que quelques ossements. Mais le groupe Trans Doe Task Force mène une campagne contre ces identifications qui « portent tort aux personnes non binaires ». En effet, rien ne permet de déterminer à quel genre s’identifiait la personne examinée. Par exemple, les scientifiques ne peuvent pas connaître le sexe d’un chasseur péruvien vieux de 9.000 ans parce qu’ils ne savent pas si le chasseur s’est identifié comme homme ou femme – un concept de « dualité » qui a été « imposé par les colonisateurs chrétiens ». Sic.

On note toutefois une certaine résistance. Elizabeth Weiss, professeur d’archéologie à l’université de San Jose, a déclaré que l’élimination des classifications de genre relevait d’une « falsification motivée par l’idéologie ». Ce sont des gens qui s’efforcent de « faire concorder tous leurs jargons académiques préférés ». Et de leur renvoyer la balle : la récente explosion du nombre de personnes s’identifiant comme transgenres suggère que cette tendance est « sociale et non biologique », et que « désexualiser rétroactivement efface ce fait évident ».

Commentaires

  • Que fait l'OMS dans cette galère ?
    Il faut que le peuple lutte contre ces foutaises !

  • Le monde a toujours été plein de gens dont le foutre dicte et dirige les principes, mais ce n'est que depuis peu que leurs principes règlent la marche du monde.

  • Le « Wiktionnaire » est lui aussi – à son tour ? je suppose que l’encyclopédie judéoservile (Wikipédia) l’a déjà été ? – la cible du lobby pédérastique – bien plus puissant que le Lobby : la preuve par Yves Mourousi, qui chaque année rendait visite à la fête des BBR, sans que jamais cela lui ait été compté. La démarche ? évidemment “genrer” les définitions des mots qui peuvent l’être, puis, à leur accoutumée, chouiner – dans le cadre du concours de pornographie mémorielle – contre ce que d’autres, moins serviles que la quasi-unanimité des participants au projet, écrivent, citent. Le refrain, celui venu d’Amérique : « You make me unconfortable. » – les professionnels du chocage chers au Zemmour – ; je n’ai pas suivi de très près les machinations des invertis, mais le dernier exemple auquel je pense a pour résultat : l’annulation des citations (issues de livres imprimés, et non pas de tweets approximatifs venant du sérail) apportées par le contributeur, et son blocage pendant une semaine, puis un mois supplémentaire, dans l’attente de son bannissement perpétuel.

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