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Hongrie

La Commission européenne saisit la Cour de Justice de l’UE d’un recours contre la loi hongroise qui interdit de faire auprès des moins de 18 ans de la propagande à propos des « divergences par rapport à l’identité personnelle correspondant au sexe à la naissance, un changement de sexe ou l’homosexualité ».

Selon la Commission européenne, cette loi « viole les droits fondamentaux des personnes LGBT ».

Elle viole en effet le droit des pervers de profiter des fragilités de l’adolescence pour se procurer de la chair fraîche.

Réaction d’un eurodéputé LREM :

« C’est historique. Pour la toute première fois, une procédure d’infraction sur les sujets LGBT est portée devant la Cour. C’est le signe que la Commission prend les valeurs européennes au sérieux, on ne peut que s’en réjouir. »

Les valeurs européennes, ce n’est donc pas seulement promouvoir la fierté des relations sexuelles contre nature, c’est aussi garantir leur promotion auprès des enfants et des adolescents.

Heureusement, Orban a derrière lui la grande majorité de la population hongroise, comme on l’a encore vu aux toutes dernières élections qui ont été un retentissant fiasco pour l’opposition. Mais le fossé ne cesse de s’élargir entre la Hongrie et l’UE. Jusqu’où ?

D’autant que c’est sur tous les sujets. Viktor Orban vient de déclarer à la radio à propos des sanctions contre la Russie :

« Au début, j'ai pensé que nous nous sommes simplement tiré une balle dans le pied, mais l'économie européenne s'est tiré une balle dans les poumons et est asphyxiée. Il y a des pays engagés dans la politique de sanctions mais Bruxelles doit admettre que c'était une erreur, qu’elles n'ont pas atteint leur but, et qu'elles ont même eu un effet contraire. Bruxelles croyait que la politique des sanctions pénaliserait les Russes, mais elle nous pénalise encore plus. »

Les extraits et la traduction ci-dessus sont de l'AFP. Voici ce qu'en dit Reuters traduit par RT-France:

« Au départ, je pensais que nous nous étions seulement tiré une balle dans le pied, mais maintenant il est clair que l'économie européenne s'est tirée une balle dans les poumons et qu'elle est à bout de souffle. Le moment de vérité doit venir de Bruxelles, lorsque les dirigeants admettront qu'ils ont fait une erreur de calcul, que la politique de sanctions était fondée sur des hypothèses erronées et qu'elle doit être modifiée. Les sanctions n'aident pas l'Ukraine, en revanche, elles sont mauvaises pour l'économie européenne et si ça continue comme ça, elles vont tuer l'économie européenne. »

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