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Enfin…

La vérité commence à se faire jour même dans nos médias officiels du mensonge. Même à France Info !

À Bakhmut, la paix paraît bien loin et les échanges de tirs d’artillerie font chaque jour de nouvelles victimes parmi les civils restés sur place. "Les tirs sont de plus en plus forts", témoigne Natalia. Les artilleurs ukrainiens sont positionnés dans la ville et les habitants ont du mal à l’accepter. "Les combats dans les villes ne devraient pas exister : si les Russes nous tirent dessus c’est parce que les militaires ukrainiens sont positionnés ici, dans la ville", poursuit Natalia.

Et aussi :

Natalia et son mari Vladimir sont en colère. Une colère rentrée que l’on censure, car il est difficile de prendre position contre son propre camp. "On a même peur de s’exprimer, déplore Natalia. Si quelqu’un l’apprend, ça peut être un problème. Je pourrais en dire plus mais c’est dangereux de dire un mot de trop." Natalia et Vladimir ont eu le courage de témoigner. Beaucoup, à Bakhmut, préfèrent garder le silence. La peur du mot en trop, sans doute.

Si de nombreux quartiers de Marioupol ont été démolis, c’est parce que les Ukrainiens prenaient position dans les immeubles. Ce n’était pas de la propagande russe, c’était la vérité. Et s’il fallait une preuve de plus que les innombrables témoignages, les vidéos et les photos, il y a le fait que par exemple à Kherson, ville de près de 300.000 habitants, pas une maison n’a été touchée par un tir russe. Parce que l’armée ukrainienne n’a pas pris position dans cette ville.

Et pendant ce temps-là les Ukrainiens continuent de cibler délibérément les civils, en bombardant le marché de Donetsk (encore quatre morts hier) ou le marché de Chernobaevka ce matin (deux morts), notamment avec des canons français.

N.B. Dès l’ouverture du couloir humanitaire ouvert ce matin par les Russes pour évacuer les civils réfugiés dans l’usine Azot de Siéviérodonetsk, les Ukrainiens ont commencé à bombarder le dit couloir…

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