Lu dans le texte d’hommage du « compagnon » (depuis un an) du journaliste français tué en Ukraine :
Avec le temps, j'ai aussi appris que c'était quelqu'un sur qui je pouvais réellement compter, enthousiaste pour me suivre dans n'importe quel projet, que ce soit cuisiner ensemble une énième recette vegan, coller des paillettes sur un corset, aller prendre des photos dans un parc ou m'accompagner à un show de drag.
Addendum. Grâce au commentaire de Christian je découvre que "le compagnon" évoqué par les gazettes est en fait une compagne qui se dit "non binaire transmasculine agenre"... Magnifique.
Commentaires
Vous voulez dire qu'en plus, les roquettes sont homophobes!
C'est vrai qu'il va manquer à la prochaine Gay Pride en Seine Saint Denis.
La suite:
«Fred m'a connu avant mon coming-out. Il a été la 1ere personne à me genrer au masculin, à me rassurer, à m'aimer sans condition aucune. Il m'a toujours soutenu dans ma transition.
On se prenait régulièrement de l'homophobie dans la rue, des "pédés" aux sales regards.»:
https://www.instagram.com/p/CeNu3LIAt90/
repris par:
https://www.varmatin.com/conflits/journaliste-francais-mort-en-ukraine-le-message-dechirant-de-son-compagnon-sur-instagram-771116
le dit «compagnon», Sam, se définissant comme:
«une personne non binaire transmasculine agenre»:
https://www.instagram.com/p/Cd6RTUaLgaA/
«FIER.E D'ETRE TRANS»:
https://www.instagram.com/p/CdiTOyrrx9k/
«J'AI (ENFIN) ENLEVÉ (PRESQUE TOUT SEUL
"Avec le temps, j'ai aussi appris que c'était quelqu'un sur qui je pouvais réellement compter, enthousiaste pour me suivre dans n'importe quel projet, que ce soit cuisiner ensemble une énième recette vegan, coller des paillettes sur un corset, aller prendre des photos dans un parc ou m'accompagner à un show de drag... On se prenait régulièrement de l'homophobie dans la rue, des "pédés" aux sales regards."
Je ne sais pas lequel des deux avait besoin d'un corset, mais je vais demander à ma femme si elle ne voudrait pas faire sa "transition" : les distractions ont l'air sympa.