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Les laïcards

Un grignotage des laïcards du gouvernement:

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Commentaires

  • A propos des cinq religieuses du couvent de Santa Caterina d'Alessandria à Pérouse qui sont punies pour avoir refusé de se faire injecter.
    Les médias locaux spéculent sur le fait que le diocèse pourrait chercher à tirer profit de la vente de la prestigieuse propriété, qui se trouve dans le centre historique de la ville.
    (vu sur le blog de Zagami)

  • Macron veut peut-être tester avec l'Alsace-Lorraine ce que Zélensky à fait au Donbass-Donestk.. Et étape suivante, interdiction de l'alsacien dans l'espace public.?

  • Comment! Aucun signataire au nom de la Moselle? Au fait, la Lorraine a aussi des "racines profondes" quoique diverses.

  • Je crois qu'il faut regarder deux éléments juridiques dont la combinaison se révèle problématique en cette affaire :
    1. Le droit local
    2. L'étendue et le statut de la région Grand-Est

    Il ne faut pas être grand clerc pour déduire du redécoupage régional récent la volonté de fondre le droit local d'Alsace-Moselle dans le droit commun, pour le faire disparaitre progressivement. D'un point de vue constitutionnel, si le droit local est recevable depuis 1919, sa diminution dans la direction du droit commun l'est aussi (il faudrait cependant établir si c'est seulement par la loi ou non). Seule son augmentation est inconstitutionnelle. Maintenant, les tribunes publiques, c'est bien. Mais les recours administratifs c'est mieux. Que feront ces élus sur un plan juridique ? Enfin, il n'est pas inintéressant de constater que seul l'art.1 de la loi de 1905 a valeur constitutionnelle en France. L'art.2 qui dispose que la République ne reconnaît ni ne salarié aucun culte n'a pas de valeur constitutionnelle en raison de l'existence de régimes de cultes reconnus qui dérogent au régime commun, notamment en Alsace-Moselle. C'est ainsi que les cultes, dans ces contrées, accomplissent un service public de l'État. Si d'un point de vue juridique personne n'agit, il ne faudra pas pleurer sous les coups de pouvoirs publics qui portent atteinte à des entités de droit public pour mieux anéantir la liberté de conscience et de culte en France (telles que définies par la loi de 1905 art.1-2 et par la convention européenne des droits de l'homme art.9). On n'est pas obligé d'approuver l'ensemble des principes et des dispositions de la République. On n'est pas obligé non plus d'être idiot, lorsqu'en France, les pouvoirs publics s'exonerent eux mêmes de la République, avec ses principes, ses droits, et éventuellement ses valeurs qui sont subitement sans importance dès lors qu'il s'agit de contraindre les consciences et d'en jouir sans entraves. Il faut cogner par le moyen du droit.

  • " Il faut cogner par le moyen du droit." la dictature actuellement en place se moque du droit et des droits des citoyens. La preuve avec la farce covidienne et les mesures hystériques de répression après avoir institué "l'état d'urgence". S'il y avait en France séparation des pouvoirs et un pouvoir juridique appliquant le droit, les recours auraient quelques chances d'être utiles. Nous sommes en dictature, toutes vos connaissances en droit ne servent plus à rien, vous devez en être conscient, même si vous ne croyez pas encore que c'est si grave.

  • Je m'étais promis d'aller déchirer l'affiche à l'effigie du tyran à côté de mon bureau de vote, mais mon épouse m'apprend ce soir que quelqu'un s'en est déjà chargé.
    Il faut aller voter, même blanc, car plus les votes électroniques seront proportionnellement nombreux, plus le dégueulasse aura de chances d'être au second tour. Et s'il est au second tour, il se réélira.

  • L'unification des deux départements alsaciens renforce au contraire l'identité alsacienne. La région Alsace à laquelle on finira par aboutir financera davantage l'enseignement de l'alsacien et défendra son droit propre.
    C'est la Moselle qui risque de perdre le sien.

  • D'un point de vue général, ça me fait penser à l'histoire de celui qui, dans ses prières au Seigneur, se plaignait sans cesse de ne jamais gagner au Loto, alors qu'il négligeait toujours d'acheter un billet...

    S'agissant des mesures administratives relatives à l'obligation vaccinale directe pour les personnels de santé, des causes sont pendantes devant des juridictions d'appel. En effet, des recourants ont obtenu la condamnation de leur hôpital en 1ere instance à les réintégrer et à leur verser les retards de salaire. Un des motifs des décisions était le statut des vaccins en phase d'expérimentation, ce que le gouvernement a toujours nié par une escroquerie intellectuelle appliquée aux critères juridiques contraignants en la matière (en droit français et européen).

    Nous sommes régis par une République et des autorités publiques dont les principes sont effectivement critiquables (personnellement, je suis très sévère avec la DHC de 1789). Mais la politique de la chaise vide m'apparaît comme une forme de paresse et finalement comme un manquement au Sacrement de Confirmation qui donne une "force spéciale" pour propager la foi et la défendre (Paul VI, constitution apostolique "Divinae consortes naturae"). La politique de la chaise vide, parce que nous serions "en dictature", revient enfin à discréditer l'effort courageux de juristes catholiques ou de bonne volonté, ou d'associations, qui prennent en charge des causes apparemment perdues. Je pense aux combats juridiques de Maître Jérôme Triomphe pour la dignité et les droits des personnes en situation de vie précaire. Je pense aux combats sans relâche de l'Agrif pour la dignité et la liberté des croyants contre toute forme de dénigrement ou d'ostracisme. Je pense aux causes administratives relatives aux restrictions cultuelles, parfois introduites par des collectifs opposés par principe à la République ou à la vision de la liberté religieuse portée par Vatican II (ils ont bien fait d'agir, mais allez chercher là-dedans un minimum syndical de cohérence pratique et finalement intellectuelle). Au fond, s'agissant d'abord des fidèles laïcs, il n'est jamais permis de déserter, même en République française, régime de droit public à la fois critiquable et existant. Sous cet angle, 1892 fut un excellent millésime.

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