Le dr Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’université de Mayence en Allemagne :
Ce que nous avons vu et ce dont nous sommes témoins actuellement, c’est ce que nous vous avions annoncé il y a près d’un an. Il n’y existe pas de vaccin que vous mettez dans votre muscle et qui puisse vous protéger contre une infection des voies respiratoires. Un point, c’est tout.
Quiconque dit le contraire est ou bien ignorant, ou bien il ment.
Malheureusement, 99,9 % des personnes qui disent cela sont ignorantes. Elles ne savent pas cela parce qu’elles ne l’ont jamais appris, elles ne l’ont jamais étudié, elles n’ont jamais fait de recherches. Et les 0,1 % qui le savent, soit ils sont achetés, soit ils sont criminels.
Puisque les faux « vaccins » occasionnent notamment des thromboses, et que cela se voit immédiatement dans les vaisseaux de l’œil, le dr Bakhti appelle les ophtalmologistes à collecter les données en photographiant les yeux de leurs patients.
Commentaires
il y a soit une véritable inconscience, soit la volonté de dépeupler. Pourquoi l’institut Paul Ehrlich ne tire-t-il toujours pas la sonnette d'alarme ? Alors qu'il y a une augmentation impressionnante de 24 000 % par rapport à la moyenne annuelle de 9,8 décès post-vaccinaux, dans la période qui précède le début des vaccinations contre le Covid-19 en Allemagne ! Aux USA, avant le début des « vaccinations Covid », le CDC signalait 235 décès en moyenne annuelle entre 2010 et 2020 après l'administration de toutes sortes de vaccins. Le 29 mars 2021, après seulement 3 mois environ de vaccinations Covid, le CDC annonçait déjà 2 509 décès. Après environ 9 mois, 17 128 décès au 15 octobre 2021. Extrapolé à l'ensemble de l'année 2021, cela représente 21 635 décès ! Par rapport au taux de déclaration annuel moyen de 235 décès avant le début des vaccinations Covid, cela fait une augmentation de 9 200 % !
https://www.kla.tv/20719
Le lanceur d’alerte Dr. Andreas Noack, chimiste autrichien renommé expert sur le carbone, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’adjuvant hydroxide de graphène (qui biologiquement ne se décompose pas) , une nanotechnologie (50 nanomètres sur 0,1 nanomètre) qui serait présente dans l’injection, expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, « comme des nano-lames de rasoir ». A cause de ces lames, les cellules épithéliales lisses deviennent rugueuses. Ceux qui ont une circulation sanguine rapide auront plus de dégâts créés par ces lames. D'où ces athlètes qui s'effondrent peu après leur injection. Et à la longue, il n'y aura pas que les vaisseaux sanguins de lacérés mais aussi le cerveau, le coeur... Mais ce découpage ne chercherait-il pas à favoriser l'introduction d'un ferrofluide (solution liquide qui contient des nanoparticules de métal d'une taille inférieure ou égale à 10 nanomètres) ? Grâce à l'affaiblissement du système immunitaire de l'hôte (ce que l'on constate chez les vaccinés), ce dernier n'aura plus la force de se défendre contre cette intrusion qui permettra par la suite de le contrôler.
https://reseauinternational.net/le-dr-andreas-noack-chimiste-autrichien-renomme-est-mort-quelques-heures-apres-avoir-denonce-les-risques-de-lhydroxide-de-graphene/
Le site auquel vous faites référence publie par exemple ce genre d’article délirant : https://reseauinternational.net/vaccination-et-affichage-sur-les-smartphones-dun-code-alphanumerique/
Comment peut-on croire à toutes ces élucubrations paranoïaques ?
@André Oui, l'astuce luciférienne c'est de ne pas avoir mis de l'hydroxyde de graphène dans tous les lots de "vaccins". Ainsi les effets mortels sont moins nombreux et le fabriquant de "vaccins" pourra toujours dire que beaucoup de "vaccinés" n'ont aucun effet indésirable. Et pour cause, ils auront reçu du sérum physiologique isotonique. Comme les hommes politiques, médecins, journalistes "vaccinés" à l'eau salée à 0,9 % en public... Que le pot aux roses soit dévoilé ne gêne pas vraiment ces dictateurs, car les populations ne croient pas à ces révélations, tellement cela paraît invraisemblable. Et les contre-feux de la presse collabo sont virulents. Pourtant la réalité est encore pire: ciblage de populations spécifiques (génocide spécifique), ciblage des opposants (assassinats sélectifs). Le prochain grand forcing sera la "vaccination" des bébés et enfants.
@Jerome Vous n'avez qu'à faire le test vous-même, mais choisissez un "vacciné" aves les lots n°2 (graphène) et pas avec le placebo ou faites-vous vacciner. Le placebo ne donne aucune réaction épidermique au niveau de la piqûre, les autres au minimum une inflammation ou rougeur. C'est comme cela que des hôpitaux ont fait analyser des lots: aucune réaction cutanée=placebo.
@Dauphin
Dites-moi, vous ne croyez pas en ce que vous dites quand même ?
S'il y a des placebos, quel en est le pourcentage ? Comment sont-ils distribués ? S'agit-il d'une opération basée sur un calcul de probabilités ? A la troisième, quatrième ou cinquième injection, avec distribution aléatoire, on serait certains d'avoir un pourcentage donné de gens ayant reçu au moins une fois leur poison...
Regardez ça, c'est amusant :
https://www.bufale.net/vaccinati-morti-in-forma-piu-leggera-in-israele-in-attesa-di-riscontri-da-ansamed/
Traduction :
"Israël : sur les 20 décès dus au COVID hier, 15 ont été vaccinés. Le ministère de la Santé a toutefois déclaré qu'ils étaient décédés d'une forme plus légère. La campagne de vaccination se poursuit."
Fake news, vous croyez ? Moi je pense que les gens sont prêts à tout avaler.
@Jérôme. Vous croyez bien à ce que vous entendez et voyez sur BFMTV.
Les techniques d'analyse biochimiques par chromatographie et spectrométrie ont fait de très grands progrès. Rien de plus facile
que de différencier différents lots de vaccins si leur composition n'est pas identique. Ces techniques détectent les fraudes et contre-façons. Pfizer a d'abord prétendu que le sérum était destiné à diluer le vaccin (mais il est sous forme liquide, pas de dilution de poudre) puis inventé un histoire de fraudeurs imitant leur "vaccin". Comment ces contre-façons peuvent se retrouver dans les réseaux de distribution de Pfizer? Ou c'est bien Pfizer qui noie le poison (avec un "s") et qui vend de l'eau salée au prix fort.
Personne ne se pose la question du pourquoi les -90 °C initiaux nécessaires à la conservation de Pfizer et Moderna ne sont plus d'actualité? La formulation a changé? Ils ont vendu assez de super-frigos?
Les médecins espagnols qui les premiers, ont observé en microscopie électronique du graphène auraient-ils acheté les doses analysées Pfizer à des charbonniers hindous?
Pourquoi les labos d'Etat super équipés n'analysent-ils pas, par échantillonnage, ces vaccins dès réception dans une démarche qualité-sécurité? Une micro-goutte suffit.
"Comment ces contre-façons peuvent se retrouver dans les réseaux de distribution de Pfizer?"
"Sans contrefaçon, je suis un garçon", la chanson préférée de Jean-Michel Trogneux, la "femme" du président de la république française.
Trognon et Macreux, ils étaient pas élus.