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Au Kilimandjaro

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"Souvenez-vous des enfants à naître", Jérémie 1,5: "Avant que je ne t'ai formé dans l'utérus, je t'ai connu."

Le 12 juillet dernier, une équipe des « Life runners » parvenait au sommet du Kilimandjaro et déployait son message pro-vie. Parmi eux, le fondateur du mouvement, le Dr Pat Castle, et Mgr Joe Coffey, évêque auxiliaire du diocèse américain aux armées.

Les « Life runners » avaient été invités en Tanzanie par Mgr Paul Runangaza Ruzoka, archevêque de Tabora, qui reçut l’ordination épiscopale des mains de Jean-Paul II.

L’escalade du Kilimandjaro n’est pas d’une difficulté majeure semble-t-il, en tout cas en été, et c’était la troisième fois que Mgr Coffey la réalisait. Et le Dr Castel a déjà escaladé le Pic Pikes, aux Etats-Unis. Mais les Life runners l’ont fait au péril de leur vie. Car ils ont été pris dans une tempête de blizzard avec une température descendant en dessous de zéro. Ils ont perdu de vue leur guide pendant deux heures. Lequel guide leur a dit ensuite que si cet épisode avait duré ils seraient morts.

Pendant l’épreuve ils ont été soutenus par leur foi et l’épreuve a augmenté leur foi. Bernadette Costello, assistante exécutive des Life runners, a déclaré que pendant ce temps elle méditait la montée du Christ au Calvaire : « Cétait un tel poids : pas d’oxygène, et chaque pas si lourd, quand le pied touche la glace on tombe comme si on tombait avec la croix. »

Mais, aussi dangereux que ce fut, conclut le Dr Castle, l’endroit le plus dangereux de la planète est le sein maternel : c’est là qu’on perd la vie plus que partout ailleurs.

Commentaires

  • "Aussi dangereux que ce fût... (imparfait du subjonctif)
    Dieu les a mis à l'épreuve pour scruter leur conviction mais il les a sauvés !

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