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Salles de crack

Anne Hidalgo a déclaré hier au Conseil de Paris qu’elle va créer dès cet été à Paris un « premier lieu de de prise en charge » des « consommateurs de crack », puis « un réseau de lieux à taille humaine ». Sic.

Après les salles de shoot, les salons de crack.

Au lieu d’arrêter et condamner ou soigner les « consommateurs » et les dealers, on leur offre l’hébergement.

Il paraît qu’on est dans un Etat de droit…

Commentaires

  • Difficile de soigner un héroïnomane, mais quasiment impossible de soigner un cracker. On ne peut que "gérer" la dépendance à ce que je sais.
    D'autre part, soigner pour guérir si possible, c'est reconnaître qu'il y a un problème, humain, spirituel, social à la base de cette dépendance, alors que le progressisme sociétal nie la nature humaine et prétend apporter le bonheur sur terre avec ses réponses magiques.
    Aussi, ils agissent logiquement avec leur idéologie progressiste en vue du paradis sur terre, le drogué pourra se droguer confortablement, "en sécurité", quitte à mourir de ses excès selon les droits de l'Homme sans Dieu et sans amour.

  • Si quelqu'un sait où cela est prévu, cela m'intéresse (juste pour prévenir des personnes qui sinstallent à Paris en août).

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