Israël et la Syrie sont officiellement en état de guerre (et réellement par les attaques aériennes israéliennes permanentes). Or il vient d’y avoir une négociation surréaliste entre les deux pays, sous l’égide de la Russie.
Le 2 février, une Israélienne de 23 ans franchit la frontière sans se faire voir des soldats. Peu après elle est arrêtée et emprisonnée. Dans les heures qui ont suivi (habituellement c’est beaucoup plus long), Benjamin Netanyahu entre en contact avec Bachar al-Assad par l’intermédiaire de Vladimir Poutine. Et bientôt un accord est trouvé : Israël va payer à la Russie pour 1,2 million de dollars de vaccin Spoutnik-V, livrable à Damas…
L’accord étant conclu, la jeune Israélienne est libérée le 23 février, et pour faire croire à un « échange de prisonniers » Israël annule la condamnation d’un druze du Golan et libère deux bergers syriens…
La vraie transaction devait rester secrète, mais elle a été révélée conjointement par le New York Times et Haaretz.
Tout le monde est content… Mais le grand gagnant est évidemment Poutine, une fois de plus. Et ça ne doit pas plaire au Bidon US…
Commentaires
Euh...Il y a 1,2 millions de doses c'est pas cher à un dollar la piquouse. Mais pour vacciner les Syriens? Si le vaccin est une saloperie d'arme à létalité différée, ce n'est pas une bonne nouvelle. Spoutnik-V contient autant d'aluminium, mercure, formaldéhyde et ADN humain que les vaccins "classiques" occidentaux. Affaire très bizarre.
A moins que la Russie ne fournisse que du sérum physiologique et les Israéliens pourront attendre longtemps que les Syriens en crèvent.
Les Israéliens, c'est-à-dire leur merdique gouvernement, en terme de vaccination, semblent surtout soucieux de montrer l'exemple. A mon avis, il s'agit surtout d'être en première ligne du nouveau génocide. Si quelques milliers (qui deviendront très vite 666 zilliards de milliards de billions) d'Israéliens clamsent des suites du vaccin, ça dédouanera les grands juifs de la City, de la Réserve fédérale et des think tanks. Les maîtres, chez eux, n'ont jamais hésité à sacrifier les petits (qui ont ma sympathie et mes prières) pour leur ignoble cause...
C'est un peu la question qu'on est en droit de se poser à propos des juifs européens que leurs coreligionnaires résidant aux USA ont refusé d'accueillir durant la seconde guerre mondiale.