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Le journal d'après-demain

Vu sur Riposte catholique, cette nouvelle donnée par RCF:

Screenshot_2021-02-06 Mgr Luc Crépy nommé à Versailles - Riposte-catholique.png

Addendum. La nomination a été annoncée par le Vatican cet après-midi.

Commentaires

  • Le 8 février ???

  • Une mauvaise nomination hélas, mais comme l'a dit un commentateur sur le Forum catholique, Luc Crépy devra composer avec ce qu'il y aura dans son nouveau diocèse et Versailles n'est ni Le Puy ni Orléans !

  • en quoi serait-ce une mauvaise nomination ?
    ce genre d'apréciation doit pouvoir être expliqué

  • ce n'est pas la première fois qu'on nous enlève notre évêque : le 15 aout 1987, à l'issue de la procession, Mgr Lustiger nous annonçait qu'il emmenait à Meaux Mgr Cornet; celui-ci revint chez nous pour mourir, longtemps aprés
    il est vrai que le diocèse de Meaux avait besoin d'un bon évêque

  • Je vous renvoie à l'article de riposte catholique pour plus d'informations.
    A noter que cet évêque est bien noté de la revue Golias

  • de quel évêque parlez-vous, Mgr Crépy ou Mgr Cornet ? vous devriez apprendre à vous servir de cet engin
    je suppose que c'est vous qui aviez déversé des horreurs sur son compte, ici même, quand il a été fait évêque du Puy
    j'ai donc été trés surpris, quand j'ai consulté quelque temps plus tard, le site du diocèse, d'apprendre qu'il avait de trés bonnes relations avec la communauté Saint Martin et avec Mgr Aillet, qui ne me semble pas progressiste du tout
    je ne sais pas trés bien qui dirige Riposte catholique, mais je pense qu'il vaut mieux aller directement à l'original plutôt que se fier à des tiers

  • Je parlais évidemment de Mgr Crepy.
    J'habite non loin de Bayonne, et jamais je n'ai vu Mgr Crepy rendre visite à son confrère,
    Mgr Crepy aime tellement la communauté Saint Martin, que celle ci a quitter le Puy peu de temps après l'arrivée de Luc Crépy.
    Puis franchement, quand on compare les homélies de Mgr Aillet et celles de Mgr Crepy, c'est le jour et la nuit !
    Relativisons quand même, on annoncé pour Versailles la nomination du crypto maçon Mgr Herouard.

  • Je parlais évidemment de Mgr Crepy.
    J'habite non loin de Bayonne, et jamais je n'ai vu Mgr Crepy rendre visite à son confrère,
    Mgr Crepy aime tellement la communauté Saint Martin, que celle ci a quitter le Puy peu de temps après l'arrivée de Luc Crépy.
    Puis franchement, quand on compare les homélies de Mgr Aillet et celles de Mgr Crepy, c'est le jour et la nuit !
    Relativisons quand même, on annoncé pour Versailles la nomination du crypto maçon Mgr Herouard.

  • autant que je sache, les évêques n'ont pas l'obligation de se rendre visite, et je suis assez surpris que vous fassiez profession de surveiller celles de votre évêque; mes informations, assez différentes des votres, viennent du site du diocèse du Puy, pas de Golias ou de Riposte catholique
    je suis d'ailleurs assez surpris que vous accordiez foi au premier, quant au second, sur lequel j'ai cherché des informations, il est dirigé par des gens en qui je n'ai aucune confiance
    j'ai quand même pu constater, grace à vous, que ces deux organes en principe antagonistes s'accordent trés bien quand il s'agit de dénigrer quelqu'un

  • @Evry
    Dans ma région au contraire les communautés qui suivent la forme extraordinaire célébrée par l'IRCSP sont irréprochables

  • zut ! c'est à la loco de Johny Crash et non de Joël que je voulais raccrocher ce commentaire,

  • je trouve navrant que les fidèles qui préfèrent la forme "extraordinaire" du rite romain se regroupent en communautés, de même qu'il y a des communautés musulmanes ou des communautés LGBT

  • @Théo. Là, vous me scotchez encore plus fort! C'est-il navrant de voir, ma bonne dame, des bénédictins se grouper en communautés de bénédictins, les dominicains, les chartreux les chanoines, etc, idem. Quoi, ils osent former des communautés distinctes au lieu d'un magma informe manipulable par nos évêques sous prétexte "d'unité". Vous avez dit navrant?, comme c'est affligeant!
    Et les pauvres époux qui vivent sous un régime de communauté, le savent-ils les malheureux qu'ils vous navrent?

  • @ Théofrède
    Ce ne sont pas des fidèles qui se regroupent en communautés, ce sont les évêques (et le Motu Proprio) qui exigent des "groupes stables". On ne peut pas les appeler paroisses. Alors le mot communauté vaut mieux que groupe ou que sous-paroisse, semble-t-il. Si vous en avez un autre à proposer, on vous attend.

  • avant de proposer un mot, il faudrait me dire à quoi il pourrait servir; vous ne me proposez pour l'instant que des groupes composés la plupart du temps de fanatiques incultes plus ou moins en rupture avec l'Eglise; on pourrait effectivement les appeler paroisses comme on parle de paroisses protestantes, tout aussi peu légitimes

  • Théofrède est comme toujours à ne pas prendre avec des pincettes mais ce qu'il dit est la sagesse même, il a raison en tout.
    Je suis un fidèle absolu de la forme extraordinaire.
    Le récent document de la Conférence épiscopale sur celle-ci est une abjection totale et anachronique.
    Après, et je suis bien triste de le dire, il y a des prêtres et des groupes "forme extraordinaire" qui la font détester, même à des prêtres diocésains ultra sympathisants de nature, en utilisant des méthodes inadmissibles à toute époque de l'Eglise.
    Jusqu'à l'instrumentalisation au service du mensonge, je le dis la mort dans l'âme.
    Et quand c'est avec des évêques naturellement "non convaincus" l'effet est ravageur et les ennemis de la "liturgie tridentine" se frottent les mains.
    Mgr Crépy n'est pas exactement celui que les blogs tradis décrivent.
    Il y a eu des blessures infligées aux tradis, Mais tout n'est pas permis "au nom de la vérité "

  • je me permets de considérer que la querelle entre les partisans des formes ordinaire et extraordinaire du rite romain me laisse de marbre
    arrivé à Lyon à l'âge de 10 ans, c'est dans le rite lyonnais et non dans le rfite romain, que j'ai appris à servir la messe, et je n'ai toujours pas compris pourquoi ce rite a disparu
    lorsque le rite de Paul VI a été introduit, j'habitais à Paris, et j'ai été révolté par la façon violente, et méprisante pour les fidèles, dont ce rite a été imposé par le clergé; j'ai appris depuis que dans d'autres pays, comme la Pologne, il avait été introduit d'une façon plus humaine, donc plus chrétienne
    j'habitais Paris à l'époque et ai trouvé asile liturgique à Saint Julien le Pauvre; pour y aller, je devais passer devant Saint Nicolas du Chardonnet, où l'atmosphère était plutôt à la violence : on reconnaissait à la grossiéreté de leurs propos, mais pas à leur costume, les prêtres de la paroisse voisine de Saint Séverin, mais aussi à la bêtise de leur argumentation les partisans de l'ancien rituel : "nous venons à une vraie messe, une messe en latin" expliquaient-ils aux journalistes
    le curé de Saint Julien, Mgr Nasrallah, avait trouvé une jolie formule pour décrire la situation : "il s'agit d'une querelle interne au rite latin, qui ne nous concerne pas; on reconnait le Christ à la charité"

  • @Théo
    "Mgr Nasrallah, avait trouvé une jolie formule pour décrire la situation : "il s'agit d'une querelle interne au rite latin, qui ne nous concerne pas; on reconnait le Christ à la charité""
    Ah bon? Parce que Mgr Nasrallah croyait que la charité a toujours régné entre catholiques de rite orthodoxe? Et entre orthodoxes? En tant que catholique Mgr Nasrallah aurait dû se sentir concerné par cette querelle. Qu'aurait-il fait si Paul VI l'avait obligé à dire "sa" messe en français et à abandonner le rite orthodoxe? Il se serait révolté.

  • Fidèle de la forme extraordinaire moi même, j'ose affirmer qu'actuellement les pires ennemis en sont les communautés elles-mêmes, leurs fidèles étant souvent plus excessifs que leurs prêtres : telle qui s'organise autour d'un gourou complètement timbré sinon pire... telle qui refuse de concélèbrer alors que, sans excès et à condition que ce soit à une messe épiscopale c'est traditionnel (dans l'usus antiquior, ordinations, jeudi-saint du rite lyonnais,...) .... , telle qui par un visuel complaisammment anachronique fait obstacle à la reconnaissance par les diocèses de ses évidentes qualités naturelles, telle dont le lieu de culte se confond avec un siège social d'association royaliste ou pseudo-chevaleresque ridicule....
    Je suis royaliste moi même mais comment être crédible sauf avec les déjà inconditionnels? Comment être missionnaires? Comment ne pas revulser le clergé local, évêque en tête ?
    Moi je les comprends et quelque part je les approuve !!!

  • j'ai assez bien connu l'abbé Denis Coiffet, qui nous racontait beaucoup d'anecdotes sur le séminaire d'Econe et sur ses relations avec les fidèles, en particulier avec les vieilles dames à héritage qui éprouvaient le besoin de lui expliquer comment il devait dire la messe, et auxquelles il avait pris l'habitude de rappeler que c'était lui le prêtre, réponse qui souvent provoquait l'écriture d'un nouveau testament par la vieille dame et les récriminations du trésorier d'Econe; je reconnais d'ailleurs que je n'ai jamais eu l'audace de lui demander des explications sur l'introduction du rite romain dans l'ancien diocèse de Lyon, dont il fut l'un des responsables

  • Pour faire court, je dirais que les ponots (les habitants du Puy) que je connais sont plutôt soulagés, ou tout au moins pas mécontents, du départ de Mgr Crepy. Celui-ci a déconstruit beaucoup de ce qui avait été élaboré par son prédécesseur, Mgr Brincard. Le départ de la communauté Saint-Martin s'est plutôt fait dans la douleur et le froid.
    Je souhaite donc bon courage aux catholiques des Yvelines !

  • pauvre Dauphin
    Mgr Nasrallah était catholique, et les querelles entre orthodoxes ne le regardaient absolument pas; je ne vois pas à quelles querelles entre catholiques arabes de rite byzantin, et non de rite orthodoxe, ce qui ne veut absolument rien dire, il peut bien faire allusion
    quant à supposer qu'un pape veuille suprimer les églises catholiques orientales, ça relève d'un esprit malade
    si Dauphin savait de quoi il parle, il saurait que le rite byzantin accepte fort bien les langues vernaculaires et qu'à Saint Julien le Pauvre, la liturgie comportait des passages en français
    je m'y suis une fois trouvé mal à l'aise : quand un prêtre américain de passage a chanté intégralement la messe en anglais
    enfin, en quoi Mgr Nasrallah devait-il se sentir concerné par cette querelle ? la formule que j'ai citée était la réponse qu'il faisait à ses paroissiens melkites quand ceux-ci s'inquiétaient de ce qui se passait dans le quartier, où les membres du clergé de Saint Séverin se conduisaient comme des voyous

  • je remercie Philippe d'avoir voulu m'apprendre que les habitants du Puy s'appellent les Ponots; il se trouve que je suis ponot moi-même, et que je sais que Le Puy est le pays des guerres intestines
    un de mes arrière grands pères, sénateur pendant plus de quarante ans, vivait à Paris, mais avait laissé sa femme au Puy; elle lui écrivait tous les deux jours pour le tenir au courant des ragots locaux; c'est édifiant
    Philippe s'est-il livré auprés de ses amis ponots au même exercice à propos de Laurent Wauquier ?

  • Riche Théo: pour faire baisser vos humeurs voici un résumé du livre de Robert Taft Ed du Cerf 1996:
    "Ce que les liturgistes, faute d'un terme plus suggestif et plus neutre, appellent le « rite byzantin » est le système liturgique qui s'est développé dans le patriarcat orthodoxe de Constantinople et qu'adoptèrent progressivement au Moyen Age les autres patriarcats orthodoxes chalcédoniens d'Alexandrie, d'Antioche et de Jérusalem. Cette synthèse byzantine, que certains préfèrent appeler « liturgie orthodoxe », est de loin l'héritage liturgique chrétien oriental le plus répandu et il est toujours en usage dans toutes les Églises qui se réclament de la pentarchie orthodoxe. Le système liturgique byzantin, renommé pour la somptuosité de son symbolisme cérémonial et liturgique, héritage des fastes impériaux de Constantinople avant le VIIIe siècle, est en fait une synthèse des rites de Constantinople et de Palestine. Il fut graduellement élaboré du IXe au XIVe siècle dans les monastères du monde orthodoxe, depuis le temps de la lutte contre l'iconoclasme jusqu'à son épanouissement au XVIIe siècle qui correspond à ce que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de « rite byzantin ».
    N'oubliez pas votre tisane de camomille.

  • je ne vois pas trés bien ce que Dauphin comptait m'apprendre en m'assénant des faits connus de tous ceux qui s'intéressent aux liturgies orientale
    en revanche, je note la grossiéreté avec laquelle il le fait

  • lou pobre !
    Dauphin m'a déjà expliqué, ce qui est sans doute faux, mais il s'agissait avant tout de me contredire, qu'il était navarrais et natif de Pampelune
    je vois surtout qu'il n'a aucune connaissance de l'Auvergne et de ses marges, puisqu'il voit dans "pauvre" le contraire de "riche"
    un professeur de lycée parisien, moins inculte, avait deviné au premier coup d'oreille les origines partiellement auvergnates d'un de mes cousins égyptien
    cela ne l'empèche pas de disserter sur notre évêque

  • Quelle famille ! Jusqu'en Egypte ! Les pauvres !

  • je note à l'actif de Mgr Crepy qu'il a lancé les procés de béatification ou de canonisation des victimes de la Terreur dans son diocèse; je ne pense pas que ce soit une marque de progressisme; évidemment, quand on consulte les archives, on se rend compte que beaucoup de bonnes familles ponotes descendent d'assassins de cette période et peuvent ne pas aimer que ce puisse être rappelé; la garde nationale ponote avait d'ailleurs un autre divertissement, le viol collectif, et quand on consulte le registre des naissances, on y trouve fréquemment celles d'enfants "nés des oeuvres de plusieurs volontaires de la République", la mère étant toujours une paysanne venue accoucher en ville; l'une d'elles, plus lettrée que la moyenne, nomma son enfant Félonie; en fait, les paysans vellaves n'étaient généralement pas de fervents républicains et nos braves bourgeois ponots, outre leur plaisir physique, se faisaient de vaillants propagateurs des idées nouvelles, de vrais intellectuels de gauche !

  • Mgr Crepy a entrepris de béatifier ou faire canoniser les victimes de la Terreur dans son diocèse; je ne vois pas trés bien ce que cela a de gauchiste, et m'étonne que cela n'ait pas été fait depuis longtemps et dans toute la France; cela peut effectivement gêner certaines bonnes familles ponotes qui descendent, et quelquefois doivent leur fortune aux assassins de cette époque; ces assassins avaient d'ailleurs d'autres divertissements, en particulier le viol collectif de paysannes; qauand on étudie les registres des naissances, on trouve fréquemment celles d'enfants "nés des oeuvres de plusieurs volontaires de la République", dont la mère était venue accoucher en ville; l'une d'entre elles, sans doute plus éduquée que la moyenne, puisqu'elle savait suffisamment de français, appela son enfant Félonie

  • @Philippe
    Je souhaite, non seulement aux Ponots, mais à tous les Vellaves (les habitants du diocèse du Puy) de n'avoir pas à regretter Mgr Crépy à la vue de son successeur.
    Par les temps qui courent, le "malheur" des uns (Versailles) pourrait bien faire aussi celui des autres (Le Puy)

  • les Vellaves ne sont pas tous les habitants du diocèse du Puy; ils n'occupent, et en partie seulement, que les arrondissements du Puy et d'Yssingeaux
    l'arrondissement de Brioude, et le nord de celui du Puy, sont auvergnats; le pays de Saugues est partie du Gévaudan et celui de Pradelles du Vivarais

  • Riche Théo: pour faire baisser vos humeurs voici un résumé du livre de Robert Taft Ed du Cerf 1996:
    "Ce que les liturgistes, faute d'un terme plus suggestif et plus neutre, appellent le « rite byzantin » est le système liturgique qui s'est développé dans le patriarcat orthodoxe de Constantinople et qu'adoptèrent progressivement au Moyen Age les autres patriarcats orthodoxes chalcédoniens d'Alexandrie, d'Antioche et de Jérusalem. Cette synthèse byzantine, que certains préfèrent appeler « liturgie orthodoxe », est de loin l'héritage liturgique chrétien oriental le plus répandu et il est toujours en usage dans toutes les Églises qui se réclament de la pentarchie orthodoxe. Le système liturgique byzantin, renommé pour la somptuosité de son symbolisme cérémonial et liturgique, héritage des fastes impériaux de Constantinople avant le VIIIe siècle, est en fait une synthèse des rites de Constantinople et de Palestine. Il fut graduellement élaboré du IXe au XIVe siècle dans les monastères du monde orthodoxe, depuis le temps de la lutte contre l'iconoclasme jusqu'à son épanouissement au XVIIe siècle qui correspond à ce que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de « rite byzantin ».
    N'oubliez pas votre tisane de camomille.

  • pobre !
    savez-vous enfin ce que ça veut dire ?

  • Oui, je sais: "pobre" cela veut dire "eskasa"
    Zoro zoriontsua, Théo

  • Dauphin devrait se renseigner sur sa "ville natale"
    à Pampelune, on parle espagnol

  • @ Théo. Là, vous me scotchez! Je pensais qu'à Pampelune, nous parlions hongrois. Mille excuses.

  • si dauphin allait faire un tour à Pampelune, il saurait enfin quelle langue on y parle

  • @Dauphin
    A part une ou deux histoires de corps de garde que la pudeur interdirait de raconter devant une mère maquerelle qui s'est fait passer dessus par l'Armée Rouge, les cosaques et tout un avion de Jeffrey Epstein, Théofrède a le même sens de l'humour qu'un jambon-beurre de chez Hassan Séhef. Le second degré fait un irrémédiable flop avec lui. Vous le constatez une fois de plus.

  • @Théo. Comme je ne vais à Pampelune qu'à la San Fermin et que la ville passe de 200 000 à 3 millions, vous comprendrez que la dialecte Navarrais est noyé au milieu du japonais, chinois, esperanto, patagon, vellave, pingouin, turc, arabe, verlan, yankee, inouit, russe, wisigoth, hongrois, monégasque, teuton, breton et un peu de castillan (malheureux, ne parlez pas de langue espagnole à un Catalan! C'est du castillan, sans plus). Et comme j'ai les taureaux aux fesses, j'ai pas trop le temps d'identifier les "parlers" de tous ces gens.

  • raté, mon grand ! il n'y aura pas de Sanfermines cette année pour cause de virus; contrairement à ce que vous imaginez, la langue étrangère que l'on entend le plus pendant ces fêtes est l'anglais, mais c'est quand même l'espagnol qui domine; on y entend aussi un peu de français, mais les Navarrais n'ont pas beaucoup d'affection pour les Gavachos; c'est d'ailleurs Hemingway qui trone à l'entrée des arènes; vous ne l'aviez pas remarqué ? et je ne vois vraiment pas pourquoi j'y parlerais catalan, même si un ami navarrais s'y appelait Llorens et appelait espagnol sa langue habituelle; j'ai simplement vexé un de mes voisins californien, manifestement japonais d'origine, qui parlait un tel espagnol que je lui avais proposé de continuer la conversation en anglais; quant au basque, il joue aux abonnés absent, sauf dans la formule rituelle "gora San Fermin" toujours doublée en espagnol, ou certains soirs d'émeute où il devient "presoak galera" et amène à la cloture inopinée de la fête:
    contrairement aux apparences, "presoak galera" est bien de l'espagnol et se dirait plus correctement "los presos en la calle"
    je dois avouer que je n'ai jamais vu à Pampelune deb carte postale doublée en espagnol, vce qui déplairait surement aux habitants; on en trouve peut-être en Guipuzcoa, ou plus surement du coté français de la frontière, surtout depuis que Bayonne tente de se faire passer pour une ville basque
    je dois subir dès que ce sera possible une cure thermale à Cambo, ville où est mort mon grand-père; on y en trouve peut-être aussi

  • J'ai vu une superbe corrida avec un miura qui s'appelait Teofredodellabarbosa (du nom d'une exceptionnelle vachette protestante sur laquelle le grandiose mais inégal Rafael de Paula s'exerçait à la cape). Il était brave, mais moins intelligent que le matador, ce qui est souvent le cas des taureaux. Une partie du jury voulait le gracier, sous prétexte que les taureaux blogueurs sont encore plus rares que les taureaux blagueurs. Le président a dit non : au vu des écrits immondes de ce taureau diabolique, il faut l'euthanasier. Si on lui donne mille vaches, il répandra ses erreurs à travers le monde.

  • Satan change son fusil d'épaule et tache de nous faire croire qu'il est aficionado; malheureusement pour lui, il n'y connait rien, au point d'imaginer un jury statuant sur le sort du taureau, comme dans un tribunal, aprés nous avoir expliqué qu'un miura n'était pas limpio, ce qui peut toujours arriver, bien sur, mais produirait une corrida lamentable dans laquelle Rafael de Paula, qui n'a jamais été suicidaire, se serait bien gardé de briller
    il nous avait déjà prouvé qu'il ignorait que c'étaient des européens qui avaient peuplé l'Amérique aprés sa "découverte", et en particulier le Cone Sud;
    ça fait vraiment un monceau d'affirmations ridicules et les Enfers devraient fournir un nouveau porte-parole

  • Ah, la corrida ! On pourrait en parler pendant des semaines. Je connaissais une Ida en Espagne. Je lui ai dit : "J'aime ton corps, Ida." Elle m'a répondu : "J'aime ton corps d'obèse."
    Hemingway a écrit des livres merveilleux sur le corps d'Ida. Il a défoncé Manolete, le plus célèbre de tous les matadors, dans un livre où il traite Greco, ce génie absolu et viril, de peintre pour "maricones" (pédés). Il s'est emballé pour Ordonez, au point de trainer dans la boue Dominguin, qui était un bien meilleur tueur. Moi, j'ai tenu à voir Rincon, parce qu'il ne trichait pas sur la mise à mort. Il s'est fait siffler à San Sebastian, alors qu'il essayait péniblement de tuer son taureau proprement et honnêtement. J'étais à côté d'un Espagnol, qui avait tenu à m'expliquer que le Colombien Rincon était un célèbre torero mexicain...
    Il n'y a pas de vérité, sur la corrida. Les toreros de génie, comme Gallo, sont des froussards. Les grands tueurs, comme son frère Joselito, bâclent la faena. Les meilleurs se donnent un peu de mal à Madrid, comme Rincon ici, en 1994, face à Bastoncito, un sommet qu'on ne risque de voir ni à Nîmes, ni à Arles, encore moins à Béziers ! Pourquoi un matador jouerait-il sa vie pour un public de rigolos français ?
    https://www.dailymotion.com/video/xbtxig

  • il en rajoute, mais il n'est pas plus savant
    il est vrai qu'il est peut-être le seul au monde à avoir vu Rafael de Paula s'exercer à la cape avec une vachette
    attention : les gitans sont vindicatifs, et Rafael risque de se vexer de se faire traiter de razetteur; je ne pense pas, d'ailleurs, que Miura vende son jeune bétail femelle pour ce genre de spectacle qui ne peut de toute façon être que lamentable

  • Je ne suis pas savant, je suis passionné, toujours en dilettante. C'est pas génial, mais c'est mieux qu'un expert en tout qui n'aime rien ni personne. Moi, par exemple, en tauromachie, j'aime César Rincon, en tennis McEnroe, en cinéma Ozu. J'ai du goût. Vous, Théofrède, il y a quelqu'un que vous admirez, quelque chose que vous aimez ?

  • passionné par la tauromachie ? peut-être, mais comme un touriste;
    j'aimais beaucoup Cesar Rincon, et ai du être un des premiers français à le voir toréer, à Mont de Marsan, à une époque où il était un inconnu; mais j'en ai aussi aimé d'autres;
    ;j'ai du aussi être un des premiers français, tout à fait par hasard, à voir "Le voyage à Tokyo", à la Cinémathèque, alors qu'Ozu était inconnu en France; tant qu'elles existèrent, j'étais un habitué des Journées cinématographiques de Poitiers, qui passaient quatre films d'un pays étranger en une semaine, ce qui curieusement n'était pas fatigant; j'y ai vu de trés beaux films qui ne sont jamais sortis en France, ou alors plusieurs années plus tard; on voyait aussi des films intéressants au Centre Pompidou
    le tennis ne m'intéresse pas, encore qu'un de mes frères en soit arbitre en Provence; lorsque je travaillais à Nïmes, ma sieste était souvent interrompue par des gens qui cherchaient un arbitre et s'étonnaient qu'il puisse y avoir dans le pays deux personnes avec un nom aussi peu provençal

  • Eh ben voila. Je me demandais d'où venait cet antipathie foncière qu'on avait l'un pour l'autre. Maintenant, j'ai compris. C'est vous qui avez fait dérailler le train du Lotus Bleu. Et le taureau qui a encorné Rincon à Séville, c'était vous ? Et le 11 septembre, hein ? Vous, encore vous ! Quelle horreur ! Vous, Rastapopoulos, qui avez tenté de détourner la fusée lunaire et de faire sauter Moulinsart ! Vous êtes un monstre, Monsieur ! Votre place est en prison, avec BHL comme compagnon de cellule !

  • au fou !
    lachez les chiens !

  • Le Voyage à Tokyo est un très grand film. C'est l'antépénulptième film en noir et blanc d'Ozu. Ce metteur en scène avait des trouvailles prodigieuses, comme celle qu'il invente au temps du muet, dans Le Chœur de Tokyo, qui consiste à demander aux acteurs de fixer un point très proche de l'objectif de la caméra. Il n'y a personne pour avoir su diriger les acteurs comme lui. Il passait pour un tortionnaire, ce qui doit être nuancé car très peu de cinéastes ont fidélisé leurs acteurs comme Ozu. Chishu Ryu prétendait avoir eu un rôle dans tous ses films, ce qui n'est pas certain. En tout cas, les "torturés" devaient trouver une certaine gratification à tourner dans les chefs-d’œuvre du plus grand metteur en scène de tous les temps.
    Ce type faisait tout à la perfection, y compris la couleur. Quelqu'un qui a aimé Le Voyage à Tokyo devait sauter comme un cabri dans le fauteuil de la maison de retraite, si les infirmières lui montraient Fleurs d'Equinoxe.
    Dans Crépuscule à Tokyo, son dernier film en noir et blanc, et le plus noir, une fille se fait avorter. La bonne femme qui gère le truc lui pose une ou deux questions avant de dire : "Vous avez raison, vous n'avez pas l'air très solide." Je ne sais pas comment ce type immense fait passer la réponse de la fille, mais elle passe, dans le regard désespéré d'Ineko Arima : "Salope ! Si tu m'avais seulement dit le contraire..."

  • et oui !
    changer son fusil d'épaule peut être trés pratique

  • quelle est la langue maternelle de Dauphin ?
    il nous a déjà montré son inculture en français en m'appelant "riche Théo", sans doute parce que je l'avais appelé "pauvre Dauphiné et qu"il ne connait pas tous les sens que peut avoir le mot pauvre en français courant
    il ré&cidive doublement en disant qu'il croyait qu'à Pampelune on parlait hongrois; il a dit ailleurs qu'à Pampelune on parlait basque, mais, effectivement, le hongrois comme le basque utilisent un pluriel en K; cela lui a peut-être fait croire que c'était la même langue, confusion qu'il ne ferait sans doute pas si l'une des deux était sa langue maternelle

  • qu'y a-t-il d'extraordinaire à avoir des égyptiens dans sa famille
    pour ajouter à l'horreur, je précise qu'ils ont un nom espagnol et sont un tantinet stambouliote
    un de mes neveux en a rajouté : sa femme à moitié égyptienne porte un nom crétois

  • pour avoir précisé que mes parents égyptiens étaient de langue espagnole, je m'attendais à une explosion de la part de quelqu'un qui prétend avoir passé sa jeunesse dans le Proche Orient; il n'en a rien été, sinon des considérations de petit bourgeois franchouillard
    "comment peut-on être persan ?"

  • C'est-à-dire qu'on s'en fout un peu de ta famille, mon coco. Si je dis "les pauvres", c'est parce que ça ne doit pas être drôle tous les jours, pour eux, du Puy à Alexandrie en passant par Lyon et Constantinople, d'être arrêté dans la rue toutes les cinq minutes par les lecteurs du blog de Daoudal :
    - Ah, bonjour Madame. Vous êtes la cousine du fameux Théofrède ? Du blog de Daoudal ?
    - Sans blague, LE THEOFREDE ? Celui dont la grand-mère était à l'exposition coloniale de Nogent en 1907 ?
    - Mais oui, dans une cage.
    - Et son prof de gym du lycée Ampère, il était célèbre aussi, je crois ?
    - Il est en cage aussi, mais pour d'autres raisons.
    - Ah oui... Ben, vous m'en direz tant, ma pauv'dame.
    - Ça explique bien des choses.
    - Que voulez vous, tout le monde n'a pas eu une jeunesse illustre, héroïque, à graver sur des feuilles d'or...
    - Signez-nous un autographe, ma bonne dame. Vous n'avez qu'à écrire : Albertine Trucmuche, cousine de Théofrède.

  • lamentable pauvre con !

  • cet analphabète patenté qui se croit seul sur ce blog et a de plus en plus de peine à cacher des origines diaboliques qui le méneront au bucher le jour où la France aura un gouvernement digne de ce nom a semble-t-il cessé de lire des philosophes qu'il est incapable de comprendre et revient à sa vraie nature

  • Je n'ai jamais prétendu avoir passé ma jeunesse dans le Proche-Orient, mais j'ai passé l'année 1976 en Irak, où mon père travaillait pour Elf. Nous étions catéchisés, allions à la messe et l'une de mes sœurs y fit sa première communion. Je me souviens que les prêtres, là-bas, avaient des tendances arianistes, et de Mgr Rupp, qui me lava les pieds le Jeudi saint.
    Pour l'anecdote, mes parents avaient invité un soir à Bagdad Mgr Rupp, ancien évêque de Monaco, qui leur avait raconté qu'ayant perdu son parapluie (sans doute n'était-ce pas en Irak), une pieuse dame lui avait conseillé de prier saint Antoine. Le bon évêque se prit à railler cette dévotion naïve, et c'est ce qu'il était occupé à faire quand on lui rapporta son parapluie.

  • @théo
    gaxo gaizto negargarria, zeure burua!

  • Quels philosophes ? Montesquieu ? J'avais déjà remarqué que, si l'on ne relevait pas vos citations de Questions pour un champion pour les agrémenter d'un long commentaire admiratif sur l'à-propos de votre dernière trouvaille cacochyme, on se faisait traiter de sanglier analphabète. Vous, par contre...

  • j'ignore ce qu'est Questions pour un champion : la télévision n'est jamais entrée chez moi
    quant au philosophe préféré, je crois qu'il était à Königsberg, autrement dit, pour vous, Kaliningrad; je ne pense pas qu'on puisse qualifier Audiard de philosophe

  • On ne peut pas qualifier Michel Audiard de philosophe. Quand il fait dire à un personnage : "Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît", c'est à peu près le contraire de la réalité : un con, ça met son masque, ça se fait vacciner et ça ferme sa gueule.

  • vous avez trouvé du vaccin ?
    où ?

  • "vous avez trouvé du vaccin ?
    où ?"
    J'avoue que je n'ai pas cherché. Il semble qu'une des ruses des voyous qui commandent, en France, soit de faire croire qu'on manquerait de vaccins. C'est un vieux truc, qui a déjà marché avec le blé en 1789. Moi je trouve qu'on manque d'un "Père du peule", pour virer à coups de lattes les innommables et ceux qu'ils ont fait rentrer chez nous, virus compris.
    Philippe le Bel, priez pour nous...

  • de toute façon, il me semble évident que Satan ne sait pas qui peut parler espagnol dans le Proche Orient; et manifestement Michel Audiard n'a pas abordé le sujet

  • Tartignole ! Clochard ! Epouvantail à moineaux ! Archéoptéryx ! Zigomar ! Blattoptère ! Forficule ! Histrion ! Tartiflette ! Résidu de fondue savoyarde ! Double crème ! Cornegidouille ! Sacripant ! Petit-fils de poilue ! Espèce de pacemaker sur pattes !
    Je sais parfaitement que les Arabes parlent espagnol depuis Al-Andalus. Et vous, vous savez combien d'Argentins parlent le yiddish ?

  • il y avait une bêtise à dire, elle est dite; Satan n'a manifestement jamais entendu parler de Fernando et Isabel; quant à l'Argentine, c'est évidemment le pays d'une des plus grandes communautés juives du monde, mais quelle langue parle-t-elle ?
    la majorité de sa population semble être d'origine italienne, ce qui permet de dire que le pape actuel n'est pas italien, alors que sa langue maternelle est sans doute le piémontais; dans ce domaine on peut tout supposer
    j'ai d'ailleurs une requête à faire : quelqu'un sur ce blog connaitrait -t-il les origines bretonnes de Juan Domingo Peron, soigneusement tues alors que celles d'Augusto Pinochet ont toujours été proclamées

  • Bien sûr que je connais Fernando. Je suis né avec Bjorn Borg et le groupe Abba :
    "Can you hear the drums Fernando? "
    Quant à Isabelle, quel délicieux prénom !
    "Isabelle a bientôt seize ans !
    Pompe-moi le nœ(...)d, prends-moi les joy(...)uses !
    Isabelle a bientôt seize ans !
    Pompe-moi le nœ(...)d, suce-moi le gl(...) !"
    C'était la chanson préférée d'un certain prof de gym du lycée Ampère, qui malheureusement n'avait que des garçons pour élèves.

  • l'inculture de cet individu m'ahurit
    et il prétend faire la loi !

  • "quelqu'un sur ce blog connaitrait -t-il les origines bretonnes de Juan Domingo Peron,"
    Excellent ! J'en ai une dans le même genre que la vôtre :
    Quelqu'un sur ce blog connaîtrait-il la couleur blanche du cheval d'Henri IV ?

  • lou pobre
    de plus en plus inculte !
    il ne sait même pas, semble-t-il que tous les américains blancs sont forcément originaires d'Europe, ou, plus vraisemblablement, le gâtisme le lui a fait oublier

  • qu'est-ce qu'une tendance arianiste ?
    pour votre gouverne, je vais avoir la bonté de vous apprendre que dans l'Espagne musulmane, les Musulmans ne parlaient pas une langue latine, même si vous l'appelez l'espagnol, mais que c'était les Chrétiens Mozarabes, de pure souche chrétienne par application de la loi musulmane, qui parlaient arabe
    vous ne savez toujours pas qui sont Fernando et Isabel ?

  • Le nombre record de commentaires démontre que, contre toute attente, la nomination de monseigneur Crepy à Versailles est l'événement majeur de l'histoire de l'Eglise en ce début de troisième millénaire.

  • ce commentaire est la plus grosse ânerie de ce blog !
    son auteur a-t-il lu ce dont il parle ?

  • Vous êtes très dur avec votre ancien prof de gymnosophie. Répondez à ses lettres ! Allez le voir en prison ! Faites jouer vos relations pour qu'on lui envoie son sommier-planche à clous !

  • Satan se fait soeur de la Charité, mais il ne répond jamais à ce qu'on lui dit
    quant au pamplonico Dauphin, il doit ignorer que les Sanfirmines sont organisées par les Hermanas de la Caridad qui ont oublié de traduire leur nom en basque pour lui faire plaisir

  • Cher Théo, en effet j'ignorais, parce que c'est faux. Las Hermanas de la Caridad reçoivent des fonds provenant des bénéfices des courses de taureaux pour entretenir les quelques 500 anciens sans foyer ni famille logés nourris à la Casa de la Misericordia qui surpasse de loin toutes les EHPAD aux mains des multinationales. Las Hermanas sont bien trop occupées pour organiser cette gigantesque fête.
    Vous avez sûrement eu le prix du "Guiri del año"
    Ces fêtes représentent 20 % du chiffre d'affaire des restaurants/hôtels de Pamplona. Les dictateurs sanitaires sont arrivés à interdire cette fête en 2020 parce que les Espagnols, de taureaux sont devenus des veaux, comme les Français. La pourriture mondialiste est passée par là.

  • ce sont par exemple aux Hermanas de la Caridad qu'il faut s'adresser pour obtenir des billets de corrida si l'on veut échapper aux revendeurs gitans, ou pour obtenir un abonnement
    en garderaient-elles le prix pour elles ?
    je constate que c'est bien en espagnol, et non en basque que Dauphin se résigne à les désigner, ainsi que la Casa de Misericordia
    je suppose qu'il ne parlerait pas, lui, de grandiose corrida pour désigner une simple capea où Rafael de Paula se serait exhibé sur une pensionnaire des Miura, ce qui ne me semble digne ni de ce diestro, mais encore avec les gitans il faut s'attendre à tout, ni de cette ganaderia

  • @Théo Ce n'est pas la guichetière du théâtre qui écrit la pièce et fait la mise en scène.
    Vendre les billets n'est pas organiser la fête. Comme vous ne comprenez pas le navarrais en bon guiri que vous êtes, elles vous parlent en castillan. D'ailleurs toutes ne sont pas navarraises. Elles ont un pourcentage sur la recette, c'est la tradition. Dauphin: 2, Théo: 0

  • vous semblez ignorer qu'il y a des guichets aux arènes de Pampelune, et que pendant la feria ils n'ont rien à vendre; pour avoir des billets, il faut s'adresser aux revendeurs gitans, qui ne sont pas des guichetiers, ou , si on est introduit, aux Hermanas de la Caritad
    j'ajoute que, contrairement à votre credo, on ne parle pas basque à Pampelune, suf pour quelques rares chansons traditionnelles, et que les Pamplonais ont horreur qu'on les prenne pour des Basques
    je n'y ai jamais eu le moindre problème de langue, aussi bien pendant la feria que lorsque je suis allé m'y promener en temps normal, où la ville est trés différente, et horriblement triste

  • @Théo Si vous compreniez ce que vous lisez j'ai parlé de Navarrais pour la langue à Pampelune qui est un dialecte basque que cela vous plaise ou non. Que les Navarrais n'aiment pas les Basques gauchistes et rouges de Bilbao et alentours ont les comprend. Le general Mola a commencé la "reconquista " sur les rouges 4 jours après la San Fermin de 1936 (qui eut lieu) en partant de Pamplona.

  • je n'ai jamais entendu de pamplonais parler une autre langue que le castillan, même ceux que je connais qui ont de trés beaux noms basques, qui n'ont aucune honte de leurs origines, mais se désignent comme navarrais; il suffit d'ailleurs de faire un tour chez les marchands de journaux : la presse basque y est pratiquement inexistante
    lorsque la gauche a voulu concurrencer le Diario de Navarra, elle a lancé un autre journal en castillan, Navarra hoy, sous-titré un diario nuevo por un reyno viejo sous une luxueuse couverture sur papier glacé; il n'a eu aucun succés; pensez-vous qu'il en aurait eu s'il avait été en basque ?
    quant au général Mola, s'il est bien enterré à Pampelune, c'est bien d'ailleurs qu'il devait déclencher l'insurrection; il en est mort

  • Les rouges sont revenus au pouvoir en Espagne, héritiers des spécialistes de la profanation de tombes de prêtres et religieuses de 1931 à 1938.
    On a parlé de la scandaleuse exhumation de Franco du Valle de los Caidos, mais a Pampelune la municipalité, après une bataille juridique a fait exhumer fin 2019 les restes des généraux Mola et Sanjurjo et de 6 requetés du Monumento a los Caidos de la ville. L'archevêché d'abord opposé, avait donné son accord. La haine des rouges poursuit même les restes mortels 83 ans après. Des démons. Les conseillers municipaux écrivaient avec satisfaction que certains des descendants avaient des idées opposées à leurs ascendants. C'est bien là le drame.

  • Dauphin découvrirait-il que déterrer les morts est une des manies de la gauche espqagnole ?
    il est vrai que depuis que, maîtrisant mal les formes locales du français, il avait découvert que j'étais riche, j'avais de la peine à le prendre au sérieux
    tout cela nous emmène bien loin du transfert de Mgr Crepy à Versailles

  • Quelqu'un aurait-il le mail de Mgr Crepy, pour lui passer le lien vers ce fil de discussion, et accessoirement lui apprendre que sa mutation en Yvelines a été la cause du plus oulipien des échanges jamais diffusés sur ce blog?
    Vertigineux...

  • a priori, c'est un renseignement facile à trouver sur internet, mais Mgr Crépy serait-il vraiment passionné par la tauromachie, le cinéma japonais ou les langues parlées à Pampelune ?

  • Que chic-choc se rassure, nul besoin de déranger Mgr, la CEF paye un permanent pour scruter quotidiennement les blogs et sites des pélagiens, ennemis du progrès sanitaire et autres complotistes anti-tout. Ce n'est pas sur BFM-TV qu'ils vont trouver l'info, ni sur la Croix ou L'(im)Monde (2 millions de $ de subvention de Bill Gates en 2020) . D'ailleurs la seule occasion pour ce permanent de se marrer, c'est sur ce blog.
    Mais si vous y tenez: lcrepy@cef.org. Bises de ma part.

  • vous êtes bien naïf : à l'époque où on faisait dire des messes pour l'amnistie, l'évêque du Puy en fonction expliqua à son banquier : "je m'informe, je lis toutes les semaines La Croix du Dimanche" apparemment, il n'avait pas besoin d'un permanent de la CEF

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