La version officielle du meurtre de Don Roberto Malgesini, prêtre de Côme, telle qu’on la voit notamment sur le site du Vatican, est qu’il a été poignardé par un sans-abri qui « était atteint de problèmes psychiques et faisait partie des marginaux auxquels le prêtre consacrait l'essentiel de son sacerdoce ».
On oublie seulement de préciser que le « sans-abri » est un musulman tunisien de 53 ans qui a fait l’objet de plusieurs décrets d’expulsion depuis 2015. On oublie d'ajouter que la blessure mortelle a été portée « au cou », autrement dit que le prêtre a été égorgé. Quant aux « problèmes psychiques » du pauvre migrant ils ne sont documentés nulle part.
Commentaires
Comment s’étonner de ces mensonges par omission avec le pope actuel toujours plus pro-invasion