Et chez nous aussi : "Il n'y a jamais eu autant de cas depuis la fin du confinement".
On ne nous dit évidemment pas la différence qui change tout : fin avril TOUS les cas détectés l’étaient sur des malades. Aujourd’hui la PLUPART des "contaminés" ne sont pas malades.
Commentaires
Les dictateurs n'ont même plus besoin d'essayer d'être crédibles. N'importe quel mensonge fonctionne et plus il est gros, encore mieux. Et le pire, c'est de voir la majorité des médecins croire que c'est vrai. Ils ont bien gobé que l'avortement et la contraception étaient des soins de santé, il est normal qu'ils gobent n'importe quoi.
« Ce serait bien triste si l’on devait donner la priorité aux plus riches pour le vaccin contre le Covid-19. Ce serait bien triste si ce vaccin devait devenir la propriété de telle ou telle nation, et non un bien universel à disposition de tous », a affirmé Frankie lors de l'audience générale du 19 août.
C'est beau comme l'enfer.
Un lien intéressant, et en plus, ce docteur est très agréable à regarder :
https://www.youtube.com/watch?v=QNHejA4mJPw
L'OMS : "même un vaccin ne mettra pas fin au Covid-19" !
https://www.youtube.com/watch?v=9PnYTnyaBZI&feature=emb_logo
PS Qui mettra fin à l'activité de l'usine à gaz Bergoglienne ?
Décidément, il n'y aura eu qu'Yves Daoudal pour garder la tête froide sur ce sujet.
Nous sommes partis pour encore une longue interdiction de la communion sur la langue.
Heureusement je suis loin d'être tout seul. Il y a même des sommités qui s'expriment dans les médias, même à la télévision, mais les autorités sont autistes.
Je ne voudrais pas remuer le couteau dans la plaie, mais quant à moi je communie tous les jours sur la langue. Et l'autre jour un cardinal (qui ne me connaissait pas, d'ailleurs il n'y en a aucun qui me connaît) m'a salué par une franche poignée de mains...
qui aurait interdit la communion sur la langue ?
[YD
Réponse: les évêques.]
Je peux vous dire qu'à Ars elle est interdite en tout cas. Et l'avant-dernière fois que j'y suis allé à confesse (ils ont réservé une ancienne boutique, à côté de la chapelle du cœur, à cet usage. Je ne sais pas pourquoi ils ne veulent plus confesser dans l'église...), je me suis fait rabrouer par le prêtre italien de service, qui voulait que je mette un masque !
Merde alors ! C'est un lieu public, un confessionnal ?
Notez qu'à Lourdes, je crois que c'est encore pire. Ils sont très embêtés avec cette Sainte Vierge complètement ringarde, qui a besoin d'eau pour faire des miracles. Elle pourrait pas avoir une appli sur son portable ?
On peut observer, à cet égard, que, depuis qu'on a enlevé l'eau des bénitiers, il ne pleut plus. Si on a soif, on n'aura qu'à boire leur saloperie de savon antibactérien.
par qui la communion sur la langue aurait-elle été interdite à Ars ?
quant au lieu où un prêtre confesse, on peut penser qu'il est choisi en fonction des contraintes locales; a priori, c'est le curé de la paroisse l'autorité responsable, tant sur le plan civil que sur le plan canonique; le prêtre qui exige le port du masque par son pénitent peut seulement avoir peur pour lui-même, et cela n'a aucun effet sur la validité du sacrement
Vous posez des questions d'ordre juridique. Qui a le pouvoir d'ordonner, de résister aux ordres, jusqu'à quel point, où et à quel moment ? Il est difficile de vous répondre, mais je trouve que Daoudal a de la chance.
Pour ma part, ne communiant que sur les lèvres, j'ai eu sur ce sujet une petite altercation avec mon curé de paroisse, au demeurant un très brave homme plutôt conservateur, peu avant le confinement. Je l'ai vu ensuite se passer et repasser les mains au détergent, avant chaque communion. L'hostie a le goût de détergent. A Ars, bien que je me fusse présenté le dernier, un prêtre malien tout ce qu'il y a de bien m'a refusé l'eucharistie parce que je ne voulais pas la recevoir dans la main.
J'ai fini par trouver un curé raisonnable, dans ma campagne lyonnaise pouilleuse et desséchée, qui dit la messe sur le parvis de l'église quand il fait beau et n'emmerde personne avec les masques quand il faut s'abriter. Il donne la communion comme on veut la recevoir. Je dois juste me cogner vingt-cinq bornes tous les dimanches.
C'est sûr que si Vigano était Pape et Pétain président, on n'aurait moins de problèmes. Mais il faut voir le bon côté des choses : les innommables servent Dieu, c'est du moins l'espérance que la foi nous permet d'entrevoir. Pour la charité, cher Théofrède, c'est une vertu dont ni vous, ni moi, n'avons jamais eu la moindre idée. Ce sera notre grand regret, en enfer.
On aurait moins de problèmes.
et vous, vous posez des questions idiotes et surtout ne répondez à rien
dans les grands pélérinages comme dans les camps scouts, pour ne citer que ces exemples, on se confesse en général en plein air; à vous en croire, cela aurait donc un impact sur la validité du sacrement ?
qu'il y ait à Ars un prêtre malien ne me paraitrait scandaleux que si le Mali, pays musulman, manquait de prêtres
cette question de la communion dans la bouche ou dans la main me semble une superstition digne de Saint Nicolas du Chardonnet ou du séminaire d'Ecône
dont j'ai bien connu d'anciens élèves qui en riaient encore tout en n'ayant rien renié de leurs convictions; l'un d'entre eux, chassé de ce haut-lieu parce que fils d'ouvrier, puis poursuivi par la hargne de l'épiscopat français "conciliaire" a même écrit un excellent livre là-dessus