Le projet de loi dépénalisant l’avortement a été adopté par le Parlement par 68 voix contre 51. Le ministre de la Justice Andrew Little a déclaré : Pendant plus de 40 ans, l’avortement a été le seul acte médical (sic) considéré comme un délit en Nouvelle-Zélande. Mais à partir de maintenant les avortements seront traités à juste titre comme une question de santé » (sic).
La nouvelle loi enlève l’avortement du code pénal, permet l’avortement jusqu’à 20 semaines, et encourage la promotion de l’avortement.
Jusqu’ici l’avortement n’était permis en théorie dans les cas d’inceste, de déficience mentale, de malformation du fœtus, de danger pour la santé physique ou mentale de la « mère » (sic). Dans les faits les femmes pouvaient avorter à peu près comme elles le voulaient. La nouvelle loi permet seulement, de l’avis même du ministre, que ce soit plus rapide…
Reste que sur le plan des principes la Nouvelle-Zélande est passée d’une reconnaissance du droit à la vie à l’acceptation (et glorification) de la culture de mort.
Commentaires
Les Etats-Unis sont hélas dans le monde occidental le seul pays où la lutte contre l'avortement ne faiblit pas, où la culture de vie résiste voire progresse à force de courage et de ténacité des chretiens. Il faut vraiment prier tous les jours pour que les conservateurs américains et Trump l'emportent en fin d'année ! Les conséquences d'une victoire démocrate sur le monde seraient très très mauvaises. Et que d'autres s'inspirent d'eux en Europe occidentale. Le clergé américain a été plus combattif que les clergés d'Europe de l'ouest sur cette question si fondamentale.
J ignorais que la Nouvelle Zélande avait résisté si longtemps !₩