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Poutine

Le président russe a tenu hier sa grande conférence de presse annuelle. Un propos n’est pas passé inaperçu :

« Personne ne connaît les causes du changement du climat mondial. Évaluer l’influence que peut avoir l’humanité contemporaine est très difficile, voire pas possible. »

Il a dit aussi que les accusations des démocrates contre Donald Trump étaient « fantaisistes », « totalement inventées » : « Le parti qui a perdu les élections, le parti démocrate, tente d'obtenir des résultats via d'autres moyens et d'autres outils, en accusant Donald Trump de complot avec la Russie. Il s'avère qu'il n'y en a pas eu. Et maintenant, ils ont inventé une histoire de pression sur l'Ukraine. »

Commentaires

  • Oui, Poutine est le grand coryphée des sciences, comme Staline, par ailleurs largement réhabilité. L'enquête 2019 de l'institut Levada montre même que l'opinion vis à vis de Staline tend à être meilleure chez les électeurs de Poutine que chez ceux de Groudinine (communiste), le record de bonnes opinions étant chez ceux de Jirinovski. https://www.levada.ru/en/2019/04/19/dynamic-of-stalin-s-perception/
    Pas si étonnant puisque beaucoup de victimes sont mortes et que les bourreaux n'ont jamais été jugés : l'histoire russe a littéralement sélectionné, au sens quasi darwinien, les plus adaptés à un pouvoir de type stalinien.
    Tout cela pour souligner cette curiosité historique de voir la droite conservatrice française confite d'admiration devant un ex-lieutenant-colonel du KGB, qui, entre autres, se moque totalement de l'opposition de cette même droite à la GPA et à la PMA. S'il y a un pays où tout s'achète et ou règne aujourd'hui le cynisme de l'argent et de la corruption, c'est bien la Russie. Malheureusement ! Nous y sommes loin de l'éthique et du souci d'auto-limitation que prônait Soljénitsyne.

  • Et Bush n'était pas un dirigeant de la CIA par hasard ? Assimiler la Russie actuelle à l'URSS de Staline ressort d'une propagande typiquement étatsunienne beaucoup plus attachée à "contenir" la Russie de toujours qu'à combattre le communisme, comme historiquement les Anglo-saxons l'ont toujours fait, à commencer par l'activation et le financement de la révolution de 17 par les banques américaines et anglaises. Ce n'est pas la Russie mais bien les USA qui imposent à l'Europe les "normes" LGBT et qui collaborent avec les djihadistes au détriment des chrétiens d'Orient, et les exemples de ce genre foisonnent. D'ailleurs, beaucoup de jeunes français, chrétiens et "traditionnels" ne s'y sont pas trompés, tel Fabrice Sorlin (pour ne citer que lui - qui est parti s'établir en Russie avec sa nombreuse famille (huit enfants).

  • vous etes qui monsieur pour critiquer le seul président chrétien de la planete a l'heure actuelle

  • le seul president chretien de la planete ? non mais on nage en plein delire la ? il ne suffit pas de se referer a des principes chretiens pour vivre chretiennement...

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III) et encore : "Nous savons, et nous venons d'en parler maintenant lors d'une réunion avec la presse que, malgré le fait que le Moyen-Orient soit le berceau du christianisme, nous assistons maintenant à la situation très difficile dans laquelle se trouvent les chrétiens du Moyen-Orient - ce sont des meurtres, violence, viols. Nous voyons l'exode en masse des chrétiens du Moyen-Orient. Cela ne peut que nous alarmer. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter, et nous en avons parlé aujourd'hui lors d'une réunion avec M. le Premier ministre (Orban, ndlr.), car la base de notre propre identité est la culture chrétienne. Et nous ne pouvons pas, comme on dit, regarder ce qui se passe au Moyen-Orient avec des chrétiens sans larmes. (lors de la récente visite de Poutine en Hongrie)... Citez-moi donc un discours semblable d'un chef d'Etat "occidental" ? Et de fait, l'église orthodoxe russe avec l'aide de l'Etat russe (par l'intermédiaire du ministère des AFF.-Etrangères russe) prend une part croissante dans la reconstruction des églises, des monastères et des églises chrétiennes détruites au Moyen-Orient par les islamistes, souvent appuyés par Washington, avec l'assentiment des Européens : Fabius ("Le Monde" du 13 décembre 2012), alors ministre des Affaires Etrangères de Hollande, n'avait-il pas "critiqué la décision des Etats-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot” ?

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III) et encore : "Nous savons, et nous venons d'en parler maintenant lors d'une réunion avec la presse que, malgré le fait que le Moyen-Orient soit le berceau du christianisme, nous assistons maintenant à la situation très difficile dans laquelle se trouvent les chrétiens du Moyen-Orient - ce sont des meurtres, violence, viols. Nous voyons l'exode en masse des chrétiens du Moyen-Orient. Cela ne peut que nous alarmer. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter, et nous en avons parlé aujourd'hui lors d'une réunion avec M. le Premier ministre (Orban, ndlr.), car la base de notre propre identité est la culture chrétienne. Et nous ne pouvons pas, comme on dit, regarder ce qui se passe au Moyen-Orient avec des chrétiens sans larmes. (lors de la récente visite de Poutine en Hongrie)...

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III) et encore : "Nous savons, et nous venons d'en parler maintenant lors d'une réunion avec la presse que, malgré le fait que le Moyen-Orient soit le berceau du christianisme, nous assistons maintenant à la situation très difficile dans laquelle se trouvent les chrétiens du Moyen-Orient - ce sont des meurtres, violence, viols. Nous voyons l'exode en masse des chrétiens du Moyen-Orient. Cela ne peut que nous alarmer. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter, et nous en avons parlé aujourd'hui lors d'une réunion avec M. le Premier ministre (Orban, ndlr.), car la base de notre propre identité est la culture chrétienne. Et nous ne pouvons pas, comme on dit, regarder ce qui se passe au Moyen-Orient avec des chrétiens sans larmes. (lors de la récente visite de Poutine en Hongrie)...

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III) et encore : "Nous savons, et nous venons d'en parler maintenant lors d'une réunion avec la presse que, malgré le fait que le Moyen-Orient soit le berceau du christianisme, nous assistons maintenant à la situation très difficile dans laquelle se trouvent les chrétiens du Moyen-Orient - ce sont des meurtres, violence, viols. Nous voyons l'exode en masse des chrétiens du Moyen-Orient. Cela ne peut que nous alarmer. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter, et nous en avons parlé aujourd'hui lors d'une réunion avec M. le Premier ministre (Orban, ndlr.), car la base de notre propre identité est la culture chrétienne. Et nous ne pouvons pas, comme on dit, regarder ce qui se passe au Moyen-Orient avec des chrétiens sans larmes. (lors de la récente visite de Poutine en Hongrie)... Citez-moi donc un discours semblable d'un chef d'Etat "occidental" ? Et de fait, l'église orthodoxe russe avec l'aide de l'Etat russe (par l'intermédiaire du ministère des AFF.-Etrangères russe) prend une part croissante dans la reconstruction des églises, des monastères et des églises chrétiennes détruites au Moyen-Orient par les islamistes, souvent appuyés par Washington, avec l'assentiment des Européens : Fabius ("Le Monde" du 13 décembre 2012), alors ministre des Affaires Etrangères de Hollande, n'avait-il pas "critiqué la décision des Etats-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot” ?

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III) et encore : "Nous savons, et nous venons d'en parler maintenant lors d'une réunion avec la presse que, malgré le fait que le Moyen-Orient soit le berceau du christianisme, nous assistons maintenant à la situation très difficile dans laquelle se trouvent les chrétiens du Moyen-Orient - ce sont des meurtres, violence, viols. Nous voyons l'exode en masse des chrétiens du Moyen-Orient. Cela ne peut que nous alarmer. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter, et nous en avons parlé aujourd'hui lors d'une réunion avec M. le Premier ministre (Orban, ndlr.), car la base de notre propre identité est la culture chrétienne. Et nous ne pouvons pas, comme on dit, regarder ce qui se passe au Moyen-Orient avec des chrétiens sans larmes. (lors de la récente visite de Poutine en Hongrie)... Citez-moi donc un discours semblable d'un chef d'Etat "occidental" ? Et de fait, l'église orthodoxe russe avec l'aide de l'Etat russe (par l'intermédiaire du ministère des AFF.-Etrangères russe) prend une part croissante dans la reconstruction des églises, des monastères et des églises chrétiennes détruites au Moyen-Orient par les islamistes, souvent appuyés par Washington, avec l'assentiment des Européens : Fabius ("Le Monde" du 13 décembre 2012), alors ministre des Affaires Etrangères de Hollande, n'avait-il pas "critiqué la décision des Etats-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot” ?

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III)

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III) et encore : "Nous savons, et nous venons d'en parler maintenant lors d'une réunion avec la presse que, malgré le fait que le Moyen-Orient soit le berceau du christianisme, nous assistons maintenant à la situation très difficile dans laquelle se trouvent les chrétiens du Moyen-Orient - ce sont des meurtres, violence, viols. Nous voyons l'exode en masse des chrétiens du Moyen-Orient. Cela ne peut que nous alarmer. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter, et nous en avons parlé aujourd'hui lors d'une réunion avec M. le Premier ministre (Orban, ndlr.), car la base de notre propre identité est la culture chrétienne. Et nous ne pouvons pas, comme on dit, regarder ce qui se passe au Moyen-Orient avec des chrétiens sans larmes. (lors de la récente visite de Poutine en Hongrie)... Citez-moi donc un discours semblable d'un chef d'Etat "occidental" ? Et de fait, l'église orthodoxe russe avec l'aide de l'Etat russe (par l'intermédiaire du ministère des AFF.-Etrangères russe) prend une part croissante dans la reconstruction des églises, des monastères et des églises chrétiennes détruites au Moyen-Orient par les islamistes, souvent appuyés par Washington, avec l'assentiment des Européens : Fabius ("Le Monde" du 13 décembre 2012), alors ministre des Affaires Etrangères de Hollande, n'avait-il pas "critiqué la décision des Etats-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot” ?

  • Vu le renoncement aux racines chrétiennes de la constitution de l'Union européenne (jusqu'à la suppression des croix sur l'église qui fait partie de l'indicatif de début du journal d'Euronews), oui, Poutine apparaît comme un président chrétien, lui qui a été baptisé clandestinement lorsqu'il y avait danger mortel à l'être en URSS, et lui qui n'a pas peur d'affirmer «Nous sommes conscients de la situation difficile des chrétiens du Moyen-Orient dans leur berceau. Et ici, nous avons besoin d'un effort commun pour protéger les intérêts des chrétiens. Toute déconnexion entraînera des dommages énormes pour le monde chrétien en général et pour les chrétiens du Moyen-Orient » (lors de sa rencontre avec le Patriarche de Jérusalem, Théophile III) et encore : "Nous savons, et nous venons d'en parler maintenant lors d'une réunion avec la presse que, malgré le fait que le Moyen-Orient soit le berceau du christianisme, nous assistons maintenant à la situation très difficile dans laquelle se trouvent les chrétiens du Moyen-Orient - ce sont des meurtres, violence, viols. Nous voyons l'exode en masse des chrétiens du Moyen-Orient. Cela ne peut que nous alarmer. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter, et nous en avons parlé aujourd'hui lors d'une réunion avec M. le Premier ministre (Orban, ndlr.), car la base de notre propre identité est la culture chrétienne. Et nous ne pouvons pas, comme on dit, regarder ce qui se passe au Moyen-Orient avec des chrétiens sans larmes. (lors de la récente visite de Poutine en Hongrie)... Citez-moi donc un discours semblable d'un chef d'Etat "occidental" ? Et de fait, l'église orthodoxe russe avec l'aide de l'Etat russe (par l'intermédiaire du ministère des AFF.-Etrangères russe) prend une part croissante dans la reconstruction des églises, des monastères et des églises chrétiennes détruites au Moyen-Orient par les islamistes, souvent appuyés par Washington, avec l'assentiment des Européens : Fabius ("Le Monde" du 13 décembre 2012), alors ministre des Affaires Etrangères de Hollande, n'avait-il pas "critiqué la décision des Etats-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot” ?

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