« C’est un changement tectonique », dit la présidente des Verts Regula Rytz. « Ce n’est pas une vague verte, c’est un tsunami, un ouragan », dit la vice-présidente Céline Vara. Et toute la presse reprend à son compte ces images.
Les Verts ont obtenu 13,2% des voix. Certes c’est un gain très net, de 6 points, et de 17 sièges (ils en ont désormais 28). Mais cela fait seulement des Verts une force d’appoint de gauche pour la coalition contre l’UDC qui reste le premier parti…
Les Verts surfent sur l’effet Greta, et c’est triste de voir qu’en Suisse aussi tant de citoyens succombent à l’« hystérie climatique », comme dit Oscar Freysinger qui ajoute : « On savait qu'on allait perdre des plumes », mais « le sujet essentiel, avant de vouloir sauver la planète, c'est de sauver la souveraineté suisse ».
Inutile de rappeler que ces Verts sont évidemment pour la contraception chimique, pour le meurtre des enfants à naître, pour le mariage contre-nature, et pour l’immigration… verte.
Commentaires
Revenons aux fondamentaux. J'appelle « chrétien » tout qui déclare et croit que « Christ est ressuscité ». La résurrection du Christ est le prélude et le moyen de notre propre résurrection, de la transformation de notre corps mortel corruptible en un corps glorieux incorruptible. La vie éternelle près du Créateur est l'espérance et le but de tout chrétien.
L'espérance découle de la foi ; c'est la grande vertu chrétienne qui engendre la charité. La charité (écologique) ne saurait se passer de l'espérance et ne saurait la précéder. C'est une absurdité de vouloir une Église pauvre pour les pauvres si elle n'est pas d'abord croyante. Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs, ni oublier d'atteler la charrue à Notre Seigneur, qui nous demande de prendre sur nous son joug.