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A une demi-heure près

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A Saint-Eustache, au Québec, Suzanne Desjardins, 54 ans, est hospitalisée : elle souffre d’un grave emphysème pulmonaire depuis longtemps, et elle vient d’attraper la grippe. Le 23 mai, les médecins considèrent qu’il n’y a plus rien à faire : tout ce que l’on pourra faire pour la maintenir en vie ne fera qu’aggraver ses souffrances. Son fils et sa fille, avec l’accord du reste de la famille, décident de la débrancher. Cela devait se faire le lendemain à 18 heures. Vers 17h 30, les deux jeunes sont avec le médecin qui leur explique ce qui va se passer. Le frère de Suzanne est alors auprès d’elle. Et il la voit qui ouvre un œil…

Commentaires

  • A une demi heure près, le corps médical aurait convaincu sa famille que c'était une libération, mais son réveil démontre que c'aurait bien été un assassinat.
    Comme pour Vincent Lambert, si le corps médical qui a confisqué son sort se fait complice de son meurtre, la société est convaincue que c'est une libération alors que si on montre des vidéos récentes et qu'on laisse s'exprimer ceux qui s'y refusent, dont beaucoup de médecins spécialisés dans ces cas, la conviction de la société ne peut être emportée qu'en refusant la réalité et en diabolisant les opposants.

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