Propos d’Agnès Buzyn, ministre de la Santé, à propos de cette femme qui se vante dans un livre d’avoir tué son enfant handicapé :
"C'est une situation atrocement douloureuse, mais rien évidemment ne justifie qu'on puisse donner la mort à un enfant."
Elle aurait dû préciser : après la naissance. Parce que donner la mort à un enfant avant la naissance, c’est un droit, grâce à la loi de son ancienne belle-mère.
Commentaires
On s'en sort bien. Elle aurait pu dire :
"Rien ne justifie qu'on puisse donner la mort à un enfant, sauf évidemment une situation atrocement douloureuse."
Evidemment est un adverbe qu'on emploie pour caractériser une situation qui n'a le plus souvent rien d'évident, de même que sûrement et certainement, pour ce dont on n'est ni sûr, ni certain.
Schizophrénie obligatoire dans les têtes individuelles que dans la société
Sinon il lui faudrait contempler l'horreur de la réalité de l'avortement
Une parenté avec la madonne de l'avortement...