Vitrail de Notre-Dame de Paris
Deus, qui beátum Felicem Confessórem tuum ex eremo ad munus rediméndi captívos cǽlitus vocáre dignátus es : præsta, quǽsumus ; ut per grátiam tuam ex peccatórum nostrórum captivitáte, eius intercessióne, liberáti, ad cæléstem pátriam perducámur. Per Dóminum.
O Dieu, qui, par une inspiration céleste, avez daigné appeler votre bienheureux Confesseur Félix, de la solitude du désert à l’œuvre du rachat des captifs ; faites, s’il vous plaît, que son intercession nous obtienne de vous la grâce d’être délivrés de l’esclavage de nos péchés, et de parvenir à la patrie céleste.
L’Oraison propre met en relief deux actes de sa vie : son séjour dans la solitude et le rachat des captifs, et nous en fait l’application pratique : Puissions-nous être délivrés de la captivité de nos péchés et conduits dans la céleste patrie. Ainsi la liturgie insiste sur une pensée qui lui est chère à la fin de l’année ecclésiastique (voir les deux fêtes de Dédicace et aussi l’oraison de demain).
Dom Pius Parsch