Le martyre de saint Cassien par Innocent Francucci d'Imola, vers 1500.
Bibliothèque sacrée, des Rds Pères Richard et Giraud, dominicains, 1822.
Saint Cassien d'Imola par Adam Baldauf, 1616, pour l'autel de saint Cassien de la cathédrale de Bressanone (Brixen), aujourd'hui au musée diocésain.
Commentaires
Dommage, j'étais à Toulouse aujourd'hui, mais je n'ai lu votre article d'hier sur Saint Cassien à l'instant même...Dommage...
Très intéressant! en fait c'est le saint patron de tous les éducateurs et et professeurs en établissement public ou même privé qui sont les martyrs d'une jeunesse sans repère et qui leur en font voir de toutes les couleurs au nom du principe très actuel de : il est interdit d'interdire ou le jeune a toujours raison, l'adulte est un gros méchant par principe
Rien de nouveau sous le soleil....
La modernité de ce Saint Cassien est extrême!!
Dans le public et le privé sous contrat, je pense que c'est le contraire: les professeurs et éducateurs ont fait un travail de dé-construction avec les méthodes subversives de la révolution (voir les torchons de Peillon).
Ensuite que les élèves suivent et se persuadent qu'ils savent tout sans avoir rien appris, ce n'est pas de leur faute. Et que cela retombe sur les quelques professeurs encore corrects est un des effets pervers. Mais je ne plains pas les syndiqués de gauche (presque tous) qui ont les conséquences qu'ils méritent.