Quoi qu’il en soit de la propagande des uns et des autres, il est indubitable que l’enfant retrouvé par un journaliste russe est celui qu’on voyait en gros plan « soigné » en urgence après l’« attaque chimique » de Douma.
Et il est indubitable que cet enfant va très bien, comme avant et comme pendant l’« attaque chimique »…
Commentaires
Le fameux lobby qui tient les médias depuis la déclaration Balfour-Milner, si pas depuis l'affaire Dreyfus, ne se sent plus. Il fallait déjà croire à Pearl Harbor, au 11 Septembre, aux bébés koweitiens brûlés sur les cuisinières, et même aux Amerloques dans la Lune, ah ! ah ! ah ! Maintenant, il exige qu'on croie aux attaques chimiques d'Assad : les nier reviendrait à nier l'existence des chambres à gaz (dixit Jacubowicz).
Si les hum-hum parviennent à en finir avec Assad, ils trouveront un autre type à exiger que nous haïssions. Aucun doute là-dessus.
De son côté, un des fondateurs du groupe Pink Floyd, Roger Waters, a osé s’affirmer contre les frappes de l’Otan et contre les Casques blancs. Ces derniers avaient essayé de lui proposer une collaboration avec eux comme ils l’avaient déjà fait avec George Clooney, Aziz Ansari, Ben Affleck, Justin Timberlake et le groupe Coldplay. Un reporter photographe français, qui s’était présenté comme un «militant» des «Casques blancs», lui avait demandé de l’inviter sur scène lors de son concert le 13 avril à Barcelone pour qu’il puisse adresser un message aux enfants syriens.
https://www.youtube.com/watch?v=_r2s9ppgCGA
Ayant visité Douma pour retrouver des signes d’usage d’armes chimiques, des journalistes américains de la chaîne de télévision One America News Network n’ont pas réussi à recueillir de preuves confirmant que l’attaque chimique avait réellement eu lieu :
« J’ai parlé avec une dizaine d’habitants de la région qui se trouve dans le quartier où l’attaque présumée aurait eu lieu. Personne parmi ces gens-là, avec lesquels j’ai parlé, ne m’a dit qu’il avait entendu parler ou qu’il avait vu quelque chose concernant l’attaque chimique. » témoigne le journaliste Pearson Sharp.
Puis il s’est rendu dans un hôpital. « Un médecin m’a répondu que le 7 avril était une journée ordinaire mais qu’il y avait beaucoup de poussière. Beaucoup de gens sont venus se plaindre de toux et d’irritations des voies respiratoires. Mais aucun autre symptôme n’a été signalé. Soudain, un groupe d’inconnus est arrivé en criant qu’une attaque chimique s’était produite. Ils ont apporté des personnes qui, comme ils l’affirmaient, étaient affectées et se sont mis à les asperger d’eau. Les médecins ont commencé à s’en occuper tandis que des inconnus filmaient la scène. En fait aucun n’avait le symptôme d’une attaque chimique. »
https://www.youtube.com/watch?v=lSXwG-901yU
Forfaiture
Haute Cour
Dans la gueule de Mac Fakenews Macron.
Qu'on inonde le net.