Cela fait un an qu’a été promulguée la loi liberticide contre le délit numérique d’« entrave à IVG ». L’idée était de fermer les sites internet qui osent conseiller aux femmes enceintes de garder leur bébé.
Mais voilà. La mère Rossignol qui avait fait voter la loi par d’indignes parlementaires doit reconnaître que « le texte est difficile car il est contraint par les principes généraux sur la liberté d’expression ».
Cela veut dire qu’on n’a trouvé aucun site qu’on puisse faire condamner sans condamner le principe même de la liberté d’expression, or (regrets) on n’est pas encore dans un Etat totalitaire...
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé : les sites qui veulent aider les femmes en difficulté à garder leur enfant sont la cible régulière de faux témoignages et d’appels cherchant à les piéger…
Le seul résultat tangible est que le site gouvernemental de propagande pour l’avortement est en tête des recherches sur Google, puisque le gouvernement a les moyens d’y arriver. Mais ce n’était pas la peine de faire une loi pour ça…
Commentaires
" La mère Rossignol qui avait fait voter la loi par d’indignes parlementaires ". Oui, loi stalinienne votée à main levée (!!!!) dans un hémicycle aux 3/4 vide, ce qui laisse songeur sur la prétendue "opposition" de droite, puisque ses députés ne se dérangent même pas pour contrer une loi liberticide qui favorise encore plus le massacre des innocents.