Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Délire sans fin

Une mère de famille de North Shields en Grande-Bretagne, Sarah Hall, demande à l’école primaire de son fils de 6 ans de cesser de raconter l’histoire de « La Belle au bois dormant ». Parce que le baiser du prince n’est pas consenti et pose donc un problème d’agression sexuelle.

Elle ne veut pas cependant que le conte soit interdit, mais qu’il serve de base pour une discussion avec des élèves plus âgés sur la notion de consentement…

Commentaires

  • Le délire, il vient notamment de la propagande LGBT, encouragée par des politiques "pro gender" ou sous couvert d'"égalité hommes-femmes", déversée à jet continu depuis quelques années. Une emprise totalitaire sur les consciences et les imaginations.
    Sans parler de la pornographie rampante qui infiltre de nombreux contenus (publicité, cinéma, etc.).

    Où est le consentement ?
    S'il y a agression, c'est plutôt à ce niveau qu'elle se situe.

  • Cette histoire se termine bien, l'université s'étant excusée.
    http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1068617/liberte-expression-universite-ontarienne-excuse-jordan-peterson

  • Mon commentaire était pour le billet précédent.

  • Merci. C'est curieux qu'en faisant mes recherches je n'aie rien trouvé... en anglais. Tout ce que j'ai trouvé datait.. Il faut croire que je n'ai pas assez cherché...

  • La guerre homme-femme s'intensifie. Avec les harpies qui courent les rues les hommes vont devenir homosexuels et pourront porter plainte contre les folles qui leur feront des avances. Satan se roule de rire devant l'imbécillité abyssale de l'humanité sans Dieu.

  • J'ai lu et relus la réaction de cette mère de famille, bien sotte. C'est elle rendue compte que c'est par un bisou que la belle au bois dormant sera réveillée ? Que c'est grâce à ce baisé qu'elle sera délivrée du sortilège ? Comptes d'autres fois et iniquité perverse des temps présents.

  • Le conte en question est revisité à la mode multiculturelle dans l'ouvrage utilisé pour raconter cette histoire: le prince charmant est un vieux "paki". Tout un symbole quand on sait les histoires sordides de viols collectifs commis par des "asiatiques" non poursuivis par la police par crainte d'être accusée de racisme. Est-ce que la contestation de la mère n'est pas à comprendre à l'aune de ces tristes faits? Contre une tentative d'apologie du métissage à l'insu de vôtre plein gré?

Les commentaires sont fermés.