Le scandale Trump du jour, c’est sa remarque à une journaliste irlandaise. Naguère on aurait dit son « compliment ». Mais désormais il est interdit de faire un compliment à une femme. C’est du « sexisme ». Et même du « harcèlement ». Et sur Twitter c’est une avalanche d’excuses adressées à la jeune femme victime de l’immonde goujaterie sexiste du président qu’on n’a pas élu…
Donald Trump avait décidé de s’entretenir par téléphone avec le nouveau Premier ministre irlandais, qui vient de prendre ses fonctions. Pour l’occasion, il avait fait venir des journalistes irlandais au Bureau ovale, pour assister au début de l’entretien. Trump commence donc à féliciter Leo Varadkar, et il lui dit : « Nous avons beaucoup de journalistes irlandais qui nous regardent. » Puis il s’adresse à une jeune femme : « Approchez ! Qui êtes-vous ? » La jeune femme s’approche, dit qu’elle s’appelle Caitriona Perry et qu’elle est la correspondante de la télévision nationale irlandaise. Trump reprend, s’adressant à Leo Varadkar : « Elle a un joli sourire. Je gage qu’elle vous traite bien… »
Voilà. C’est tout.
Sur le moment, Caitriona Perry s’est montrée amusée du propos. Puis elle a été sermonnée et elle a fini par publier un tweet sur le « moment bizarre où le président Trump m’a appelée pendant son appel avec le Taoiseach »…
En fait, personne n’a remarqué que le propos de Trump était… « homophobe »…
Commentaires
Ça fait rigoler quand on se souvient des premières réactions des défenseurs de DSK, présenté avantageusement comme un homme qui "aime les femmes", façon arrangée pour dire que c'était un pauvre bougre qui avait une bite à la place du cerveau.
Franchement, même Arlette Laguillier avait un "joli sourire" quand elle oubliait son numéro "travailleuses, travailleurs"...
Il y a 3 jours à France-info, une journaliste s'est également scandalisée du propos d'un député à qui on demandait s'il savait qui serait son voisin à l'assemblée. Il disait que pour l'un, oui, mais pour le second, il ignorait. Le journaliste lui demande "avez-vous une préférence?" et il répond en riant "une jolie fille!". Vous vous rendez-compte un peu de la violence du propos?
Le délire féministe comme tout le discours égalitariste depuis deux siècles et demi est le masque de la haine, du ressentiment, de la jalousie, de l'agressivité... Toute la gauche et tout le politiquement correct occidental sont basés sur cette haine déguisée en fausse vertu, qui est un des pires vices possibles.
Que Trump résiste à ce nouveau délire comme à tous les précédents pour la plus grande insatisfaction de la gauche politico-médiatique mondiale !
Du temps d'Obama, on était moins regardant ! Le délire n'existait pas. Il n'y a qu'avec Trump que cela a commencé.....
Pourtant la célèbre comédienne juive Joan River (Molinsky), déclarait en juillet 2014 que Michelle Obama était bien un transsexuel et que son mari était homosexuel.
https://www.youtube.com/watch?v=ixpGKJKRZmo
Il est vrai que pendant des années en Indonésie, c'est Turdi, une "Nounou" qui s'est occupée de Barack Obama, alors enfant. Quarante ans plus tard, il ne rêve que d'une chose: revoir un jour son "petit Barry", évoquant un garçon bon et tolérant qui se gardait bien de le juger, lui, un transsexuel.
https://www.youtube.com/watch?v=E3n3Rltutr0
Leurs enfants viendraient d'un couple ami : Martin Nesbitt and Dr Anita Blanchard
http://educate-yourself.org/cn/Undeniable-Photographic-Evidence-That-Martin-Nesbitt-and-Dr-Anita-Blanchard-Nesbitt-Are-the-True-Parents-of-Sasha-and-Malia-Obama28nov16.shtml