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Trump sur Castro

Donald Trump :

Aujourd'hui, le monde note la disparition d'un dictateur brutal qui a opprimé son propre peuple pendant près de six décennies. L'héritage de Fidel Castro est celui de pelotons d’exécution, de vols, de souffrances inimaginables, de pauvreté et de déni des droits humains fondamentaux.

Alors que Cuba reste une île totalitaire, mon espoir est que ce jour marque un mouvement vers la fin des horreurs subies trop longtemps et vers un avenir où le merveilleux peuple cubain vivra finalement dans la liberté qu'il mérite si amplement.

Bien que les tragédies, les morts et les souffrances causées par Fidel Castro ne puissent être effacées, notre administration fera tout son possible pour que le peuple cubain puisse enfin commencer son chemin vers la prospérité et la liberté. Je me joins aux nombreux Cubano-Américains qui m'ont tant soutenu dans la campagne présidentielle, y compris l'Association des Vétérans de la Brigade 2506 qui m'a appuyé, dans l'espoir de voir un jour Cuba libre.

Paul Ryan, président de la Chambre :

Maintenant que Fidel Castro est mort, la cruauté et l’oppression de son régime doivent mourir avec lui. Aujourd’hui, pensons au souvenir et aux sacrifices de tous ceux qui ont souffert sous Castro.

Ted Cruz, sénateur du Texas :

La mort de Fidel Castro ne ramènera pas ses milliers de victimes, ni ne pourra apporter de réconfort à leurs familles. Aujourd’hui nous nous souvenons d’elles et nous honorons les âmes braves qui ont combattu un combat héroïque contre la brutale dictature communiste qu’il avait imposée à Cuba.

Marco Rubio, sénateur de Floride, de parents cubains :

Fidel Castro a pris le pouvoir en promettant d'apporter la liberté et la prospérité à Cuba, mais son régime communiste l'a transformé en une prison insulaire appauvrie. Pendant plus de six décennies, des millions de Cubains ont été forcés de fuir leur propre pays, et ceux qui étaient accusés d'opposition au régime étaient régulièrement emprisonnés et même tués.

Malheureusement, la mort de Fidel Castro ne signifie pas la liberté pour le peuple cubain ou la justice pour les militants démocrates, les chefs religieux et les opposants politiques, que lui et son frère ont emprisonné et persécuté. Le dictateur est mort, mais pas la dictature. Et une chose est claire, l'histoire n’absoudra pas Fidel Castro, elle se souviendra de lui comme d'un dictateur mauvais et meurtrier qui infligeait la misère et la souffrance à son propre peuple.

L'avenir de Cuba reste en fin de compte entre les mains du peuple cubain, et maintenant plus que jamais le Congrès et la nouvelle administration doivent être à ses côtés contre ses dirigeants brutaux et soutenir sa lutte pour la liberté et les droits humains fondamentaux.

Commentaires

  • oui l'icône Castro avec son cigare, son treillis et dernièrement son survêtement.... La Castromanie encore aujourd'hui. à Paris, même à "droite"...
    Il suffit bien de se dire "de gôôôôche" pour que tout vous soit pardonné...
    Ah l'immonde compère de Hitler, Mussolini, Staline, Lénine, Pol Pot, Ceaucescu...
    Les bobos peuvent se rabattre sur le Phénix de Corée du Nord ; il n'est pas encore aussi "fashion", on se demande pourquoi Castro l'était, mais il peut le devenir, qui sait? Car avec le juvénile Kim Jong Il on en a au moins pour 60 ans encore...

  • D. Trump : " Castro était un dictateur brutal"
    J.C. Junker : " Castro, un héros"
    Lequel est un imbécile ?

    source officielle:
    http://europa.eu/rapid/press-release_STATEMENT-16-4042_en.htm

  • Et voici le télégramme de condoléances du "pape" François à l'occasion de la mort de Castro :
    http://en.radiovaticana.va/news/2016/11/26/telegram_for_the_death_of_fidel_castro/1275046

  • Trump oublie la dictature économique imposée par les USA aux pays de l'Amérique du sud !


    Bookmarquez ce permalien.
    Non, après le 13 et le 24, ce n’est pas barjot de transformer l’essai politiquement, contre cette dictature mondialiste !
    Avr
    9
    par duc

    Marionnette mondialiste
    L'oeil de la pyramide dictatoriale européenne

    L’oeil de la pyramide dictatoriale européenne

    .

    La dette est une arme utilisée pour conquérir et asservir les sociétés, et les intérêts en sont les outils principaux.

    Les banques en association avec les gouvernements et les corporations continuent de nos jours à étendre et à perfectionner leur machine de guerre économique qui génère à chaque fois de nouvelles structures paralysantes telles que la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International.
    Nimrod dirigeait la ville de Babylone. Il se prenait pour dieu. Il mourut à cause d'un moustique

    Nimrod dirigeait la ville de Babylone. Il se prenait pour dieu. Il mourut à cause d’un moustique

    Leurs soldats sont de véritables petits assassins, dotés d’aucune moralité. John Perkins fut l’un d’eux et le regrette amèrement aujourd’hui ! Mais qui l’écoute ?

    http://www.youtube.com/watch?v=TFC18pFvo1g

    « Il y a deux manières de conquérir une nation ! Soit par l’épée, soit au moyen de la dette ! » Nous confirmait déjà John Adams (1735-1826) ! Bien évidemment, celles qui détiennent des ressources naturelles comme le pétrole, le gaz, l’uranium, sont les premières dans le collimateur. La tactique est simple. On pousse le pays en question à se mettre sur le dos, un énorme prêt auprès de la Banque Mondiale ou l’une de ses consœurs. Bien entendu, tout est virtuel ! L’état en question ne verra pas la couleur de cet argent.

    Il sera transféré directement sur le compte de corporations apatrides déjà choisies. Le prétexte sera soit de réaliser des infrastructures routières, soit des parcs industriels ou encore des ports… Mais en général, ces aménagements ne profiteront qu’à la minorité régnante et riche. Pas à sa population. Celle-ci a souvent bien plus urgent à régler ! La manière de se loger, de se nourrir, d’éduquer ses enfants ou de se soigner. Une autoroute ne lui sera d’aucune utilité. Pourtant, c’est lui qui en final devra s’acquitter de cette dette. Une dette qui aura été intentionnellement exagérée pour qu’il ne puisse pas la rembourser.
    L'Antichrist dirigera l'Europe. Il se prendra pour dieu.

    L’Antichrist dirigera cette Europe voulue par les USA. Il se prendra pour dieu.

    C’est à ce stade que « l’assassin économique » (terme utilisé judicieusement par Perkins) va intervenir. Il exigera de l’état qu’il fasse tout pour la réduire au minimum. Comment ? En vendant aux corporations internationales et à bas prix toutes ses richesses. Mais il peut aussi lui imposer une base militaire étrangère sur son territoire, ou à ce que ses troupes armées, soient envoyées défendre des intérêts qui ne sont pas les siens, dans des pays tels que l’Iraq, la Libye ou la Syrie ! Ou encore l’obliger à voter à l’ONU à leur profit…. C’est ainsi qu’un pays se fait voler de ses compagnies d’électricité, de pétrole, d’eau… après avoir été amené à devoir les privatiser. Et comme cela ne suffit jamais, d’autres emprunts lui sont accordés, le condamnant à passer à l’étape suivante : supprimer ses services sociaux, scolaires, de santé pour les remplacer par des corporations étrangères.

    john-adams-dollar

    .

    L’exemple de l’Iran est révélateur.

    En 1951, Mohammad Mossadegh est élu démocratiquement premier ministre. Il représentait l’espoir de toute une génération quand il demanda à ce « que le peuple iranien puisse enfin profiter de son pétrole ». Mais les compagnies étrangères qui l’exploitaient n’acceptèrent pas ce partage équitable « du gâteau ». Elles demandèrent aux armées occidentales d’intervenir. Dans le contexte de la guerre froide de l’époque, il fut trouvé plus sage d’utiliser une méthode Mossadeghd’action plus discrète. Pour se faire, on envoya en Iran, l’agent de la CIA Kermit Roosevelt (parent de Teddy Roosevelt) avec les poches remplies de millions de dollars.

    http://www.nytimes.com/2000/06/11/us/kermit-roosevelt-leader-of-cia-coup-in-iran-dies-at-84.html

    Les billets verts firent leurs effets. Mossadegh fut renversé et remplacé par un homme plus conciliant avec les multinationales, le Shah d’Iran. Cette brillante stratégie fut toutefois remise en question. Que serait-il arrivé si le pot aux roses avaient été découvert ? Si on avait pu prouver que c’était la CIA qui était derrière ce plan diabolique ? Aussi furent dorénavant utilisés des consultants privés et non plus officiels.

    Lorsque Jacobo Arbenz Guzman devint président de 1951 à 1954 du Guatemala, son pays était sous le joug de la société « United Fruit ». Son vœu le plus cher était de « redonner la terre à son peuple ». « United Fruit » s’y opposa en payant une entreprise de relations publiques pour faire propager l’idée aux USA qu’Arbenz était en fait une marionnette des Soviétiques.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/United_Fruit_Company
    Sa campagne mensongère fut si convaincante que la CIA promit de le destituer. Ce qui fut fait. Les présidents suivants comprirent la leçon et ne s’amusèrent plus à se confronter à cette entreprise bananière « United Fruit » au bras si long !

    En Equateur, les dictateurs furent longtemps pro-étasuniens, jusqu’au jour ou les habitants se réveillèrent et décidèrent d’élire Jaime Roldos Aguilera qui deviendra leur président de 1979 à 1981. Son but, « redistribuer les gains du pétrole équatorien à ses habitants ». Les USA tentèrent de le soudoyer en lui promettant « richesse et honneurs » s’il se pliait à leurs injonctions. Comme ils n’arrivèrent pas à le corrompre, ils l’assassinèrent. Dès que son avion s’écrasa, ils prirent la précaution de boucler la zone de l’accident, pour être les seuls à s’y approcher. Mais curieusement, lors de l’investigation, deux témoins clefs moururent eux aussi, d’un accident de voiture, juste avant de témoigner. Un hasard bien providentiel !

    De son côté, Omar Torrijos, président du Panama de 1968 à 1981, tenait à ce que les bénéfices du canal de Panama reviennent en partie au peuple panaméen. Comme il ne se laissait pas corrompre, un jour, un agent de sa sécurité, lui donna avant de prendre l’avion, un magnétophone contenant à son insu une bombe. Ce qui devait arriver arriva ! L’avion fut retrouvé quelques jours après l’accident.
    http://www.youtube.com/watch?v=FcifIjMI-us

    Hugo Chavez, succéda comme président en 1998, après une lignée de politiciens très corrompus, qui détruisirent littéralement l’économie du Venezuela. Le Venezuela avant et apres Chavez : http://www.francoisasselineau.fr/2013/03/le-venezuela-avant-et-apres-hugo-chavez.html
    Dès son arrivée, il exigea à ce « que le pétrole serve son peuple en premier, avant le portefeuille des multinationales ». La CIA commença à s’occuper de son cas dès 2002, en organisant un coup d’état. On alla jusqu’à payer des gens pour qu’ils sortent manifester dans la rue, afin de faire croire, dans les médias leur appartenant, que ce président était devenu impopulaire ! Heureusement pour Chavez, ce plan machiavélique ne fonctionna pas. Ce fut comme un moment extraordinaire dans toute l’Amérique Latine. David avait surmonté Goliath ! Mais cet échec ne pouvait que renforcer la stratégie de l’agence américaine et perfectionner sa tactique d’approche dans les différentes phases de domination, qui restent toujours la corruption, suivi du renversement ou de l’assassinat si le besoin se faisait sentir. Là encore, curieusement, Chavez mourra d’un cancer à 59 ans, le 5 mars 2013. De nombreux chefs d’état seront présents à son enterrement. Hollande par contre, n’envoya qu’un ministre de seconde zone : le ministre d’Outre-Mer Victorin Lurel. Une faute diplomatique du président français, quand on sait le combat que Chavez a mené pour défendre les intérêts pétroliers du Venezuela. Hollande met ainsi en évidence, ses scandaleuses attaches pro-mondialistes.
    http://www.guardian.co.uk/world/video/2013/mar/08/hugo-chavez-funeral-video

    Y-t-il besoins ici de rappeler comment était Cuba avant Fidel Castro ? Et ce qui est arrivé à l'Iran, l'Irak, l'Afghanistan, la Syrie etc....

  • Une documentation sérieuse et complète.
    Les USA sont un empire qui dès l'évidence affirmée de sa puissance a su mettre en avant le sucre de sa dragée.dont son American way of life était la vitrine enviable. , La grande dépression dont elle affligea le monde entier fut oubliée par son indéniable victoire de la 2ème guerre mondiale.
    Pour en revenir à Cuba , bien mal acquis !, du temps de Battista c'était le bordel où les prudes (et hypocrites) descendants ( protestants) des puritains de Nouvelle Angleterre venaient chasser leurs tourments autant alcooliques que sexuels.
    Un peu d'intelligence de leur part aurait évité de jeter Fidel Castro dans les bras de l'URSS.
    Mais la force est mauvaise conseillère surtout quand elle est soutenue par le mépris de qui n'est pas WASP.
    L 'Amérique aux américains, chère au Président Monroe pour chasser les européens colonialistes de toutes tentations de ce côté de l'océan fut traduite par la main mise des usa sur les portions centrale et sud de ce continent.
    On est puni par là on a péché . C'est valable en tous temps et en tous lieux.

  • Lire les livres de l'irlandaise Deirdre Manifold, décédée en 2013, sur les complicités de la finance américaine et internationale dans l'arrivée et le maintien de Castro au pouvoir à Cuba:
    Fatima and the great conspiracy (Galway, 1982) (which was translated into French and Polish and you can read it online here: http://www.tnsradio.com/uploads/7/1/...conspiracy.pdf )
    Karl Marx: True or False Prophet (Galway. 1985) (which was later translated into French)
    Towards world government: New World Order (Galway, various editions from 1982 to 2005)
    Towards Utopia (Galway, 1998) (a novel on the War of Independence)
    Raoul Castro ne dévie pas d'un pli des méthodes criminelles de son frère, mais il a la cote avec papi Francis.

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